Opposition Entre Créon Et Antigone

C'est le fait que la société établie des règles de Droit qui sont destinées à régir des relations (économiques, personnelles) entre les membres de la société. A travers ce constat , on peut voir 2 concepts du Droit. Il y a d'abord le Droit Objectif : L'ensemble des règles imposées par l'autorité publique en vue de gouverner l'organisation de la société et les rapports entre les hommes. Dans cet première acception , le Droit est général abstrait et impersonnel . On parle ici de Droit Objectif. Dans

TRAGEDIEET LUTTE DES CLASSES DANS L'ATI-IENESCLASSIQUE (A propos d'un ouvrage recent de V. Citti) Jaume Pórtulas La tendance 1 souligner les liens entre la tragédie grecque et les institutions, les valeurs et les conflicts de la société ii qui elle s'adresse a beaucoup avancé, au cours de ces dernieres années. Cela semble ftre tres positif, mfme du point de vue stricte de la critique littéraire. En effet, un concept rigide et pauvre de la condition humaine, c o n p e comme quelque chose

représente son idée, il l’incarne véritablement, ce qui peut donner plus de poids à cette idée. En effet, il arrive que les spectateurs aient plus de sympathie pour certains personnages, ce qui rend plus facile le partage ou la compréhension du dialogue entre ces deux sujets. Le dramaturge, en accentuant les traits de caractères de ses personnages, peut également attirer l’attention sur certains points de l’intrigue. Le jeu de scène du personnage peut aussi avoir un impact sur la défense d’idées. Dans ce

: 3 3. Egalité arithmétique et égalité géométrique : 3 B. Les droits de l’homme et du citoyen : 3 1. Quel est « l’homme » des « droits de l’homme » ? 3 2.Quels sont ces droits ? 3 3. Critique des Droits de l’homme : 3 C. La justice comme synthèse entre l’individu et le citoyen : la théorie de la justice comme équité ou le modèle de la justice sociale 3 1. Cartographie intellectuelle de la doctrine rawlsienne : une réponse à l’utilitarisme et une orientation déontologique appliquée 3 2. Eclairages:

seule représentation rationnelle de la loi). [Annonce de l’articulation logique:] Ce texte est articulé selon trois mouvements. Tout d’abord, le philosophe pose le problème de la recherche du ppe de la moralité et affirme l’opposition méthodologique entre recherche empirique et recherche métaphysique (« mais » l.3). Dans un deuxième temps, l’auteur explique l’erreur de ses adversaires (réfutation) qui manquent nécessairement « le principe suprême du devoir » et procède à une critique de leur méthode

droit que le droit, naturel qui est capable à son tour d’être l’idéal des sté justes ? Aucun juge n’est Dieu, et aucun jugement n’est le jugement dernier. Nécessite une réflexion sur le droit. La loi peut être injuste, même en démocratie. (Antigone contre Créon, droit du juste contre la loi, le droit naturel contre l’écrit.) Droits de l’homme. Notion se dédouble, le légal et le juste de l’autre. Ce dédoublement à l’analyse est ce qui constitue même le concept de droit, le droit s’oppose au fait, quel

des règlements et des lois : ne peuvent s’occuper que des conflits privés. Création juge spécial pour contrôler les affaires de l’Etat : - Juge administratif : règle contentieux entre personnes publiques et particuliers. Cour souveraine : Conseil d’Etat - Juge judiciaire : s’intéresse seulement aux relations entre particuliers. Cour souveraine : Cour de cassation 2 Cours suprêmes en France : Cour de cassation + Conseil d’Etat Il existe un 3e ordre : l’ordre constitutionnel, dont la cour souveraine

l’immédiat. Il entre constamment en conflit avec le « moi » et le « surmoi ». Si nous sommes gouverner par notre Ca, nous sommes obligé de le faire et tout de suite. 2) Le « moi » (l’instance consciente de la personnalité) : c’est le principe de la réalité qui se construit à partir de la naissance. Il nous donne conscience de ce qui nous empêche de satisfaire nos pulsions. Il exerce donc une contradiction avec le « ça ». Cette instance est chargée de réaliser un équilibre, un compromis entre les exigences

sait la d’un abus de droit de propriété. en effet se propriétaire peut être condamner a démolir la cheminer ou bien payer des dommage et intérêt. conclusion de la thèse : il y a donc des rapport étroit entre droit et morale. aucune des 2 thèse et complètement vrais , il faut prendre un juste milieu entre les deux: il ya des convergence indiscutable mais en aucune cas on peut dire qu’il y a identité. - les convergences: bien sur le droit consacre souvent des règles morales (ex: la piété filiales et une

inhérents à la personne, indépendamment de toute législation. Ex. DDHC 1789 , le droit naturel renvoie au citoyen avec la propriété, la liberté, la sécurité etc Un droit : c’est ce qui est reconnu par la loi et que l’on peut exiger ( s.subjectif) ≠° entre : _ les « droits de » ou « droits-liberté » ( DDH 1789) : il en résulte pour l’Etat une abstention, savoir ne pas faire obstacle à l’exercice de ces droits, d’où un rapport d’indépendance du citoyen. _ les « droits à » ou « droits-créance » ( ex