Opposition Entre Créon Et Antigone

atténuation classique à cette liberté qui apparait notamment dans les articles de la déclaration des droits de l’homme et du citoyen de 1789 la liberté de chacun est limitépar la liberté de l’autre. La liberté absolue n’existe donc pas. Quant aux oppositions qui peuvent apparaitre on oppose les libertés individuelles aux libertés collectives, on oppose la liberté matérielle à la liberté normative. On oppose la liberté formelle à la liberté réelle. C’est Marx qui àinsisté que les révolutionnaires bourgeois

J.-C., plus de 400'000 personnes ont été sauvagement tuées lors de la bataille de Changping en Chine. Lors de la destruction de Bagdad en 1258, plus d'un million d'individus on trouvé la morts. Plus récemment encore, pendant le génocide arménien entre 1915-1916, le gouvernement ottoman a massacré plus de 1'200'000 citoyens. Par ces exemples de massacres, on comprend aisément que l'homme est capable d'aller à l'encontre de sa conscience morale lorsqu'il est soumis à une autorité, et commettre des

courants esthétiques) et transversale (littérature « comparée » : étude des relations entre les différentes littératures européennes et mondiales, étude des relations entre la littérature et les arts). Nécessairement pluriséculaire et plurilinguistique, la question du mythe traverse les littératures anciennes et contemporaines. À travers ce cours, il s’agira donc de comprendre et d’analyser les interactions entre mythe et littérature. Nous aurons tout d’abord une approche synthétique : aspects théoriques

au carrefour de deux influences, humaine et divine ; il s’inscrit entre une pratique et un idéal. Section I La pratique orientale Le droit qui va naître dans cette pratique va utiliser deux expressions : • dans la vie publique les hommes de pouvoir, les gouvernements se disent inspirés par les Dieux (ce droit sert d’argument au pouvoir). • dans la vie privée, l’écriture du droit permet de fixer les négociations entre les particuliers. Les premiers documents gravés que nous ayons ont

droit a plusieurs significations C’est une matière, un ensemble d’articles. Mais au delà d’une simple construction intellectuelle, le droit relève de la vie (ex : code de la route; lorsqu’on achète quelque chose, il s’agit en fait d’un contrat entre l’acheteur et le vendeur: Apple, boulanger). En effet, le droit reflète la réalité, il l’encadre et l’ordonne. Directum = “en ligne droite“; au sens figuré, ce qui est conforme à la loi. Il n’y a pas de société sans droit” : les règles, les codes

Les relations entre art et politique apparaissent comme un objet d’étude à la fois classique et encore peu exploré par les sciences sociales. Classique parce que, d’une part, l’artiste engagé a été une figure majeure de la vie politique du vingtième siècle ; et que, d’autre part, les politiques culturelles, dont l’institutionnalisation remonte au moins à plusieurs décennies (en particulier en France – Dubois, 1999 ; Urfalino, 2004 [1996]), sont depuis longtemps étudiées par la science politique

droit : étudie le système juridique dans les sociétés. Ces trente dernières années, le droit de la famille et le droit du travail ont énormément changés. Le droit est une discipline évolutive car si le droit n'évolue pas, il y a un risque de blocage entre un droit rigide et une société qui évolue. Comment définit-on le droit ? Le droit est objectif : c'est-à-dire que c’est un ensemble de règles qui organise la vie en société s’appliquant à l’ensemble des individus formant le corps social. Ce sont

est une opération intellectuelle de qualification et ce n’est pas un objet réel donné par la nature. » Cette question du droit a passionné tous les philosophes, mais est devenue plus difficile avec la découverte d’autres mondes du droit. (Césure entre droit et Etat, pluralisme juridique en dehors de l’Europe). Le droit peut exister en dehors de l’Etat même si dans nos sociétés, c’est inconcevable. La qualification passe à travers le langage. Ce qui nous oblige à passer par le vocabulaire pour comprendre

temps par la pensée », ou encore tributaire de celle-ci. Or, la réflexivité moderne faillit toujours à la tâche; elle suit l'élan hégélien au mieux de ses capacités pour ensuite s'égarer et ne pas accéder à ce but d7«être chez soi dans le réel ». Entre les faits bouleversés et bouleversants de la modernité et l'intelligence de ces faits se glisse un nombre infini d'écarts et de dissembIances qui sont autant de degrés de schizophrénie et de pathologie. Tel est en fait le prix à payer pour faire partie

le roi est juge suprême. A l’époque du IXe siècle il n’y a pas encore de lois écrites, donc le roi, en prononçant un jugement, va annoncer ce qui est permis, ce qui est juste. Déjà à cette époque les grecques de l’antiquité faisaient la différence entre la loi écrite (le « nomos »), et le jugement du juge, du roi, qui va dire ce qui est juste (la « thémis »). Cette justice royale n’est pas une justice arbitraire, ni clanique, ni divine, la justice à cette époque est ce que le droit trouve juste selon