Opposition Kant Rousseau Morale Politique

revient à des dieux qui sont l'expression tutellaire des grandes formes sociales et des grands traits des caractères humains. Ce deuxième état part d'une idée de la société. Les sociétés changent, les hommes naissent, vivent, et meurent. Les ordres politiques changent, mais les grandes définitions de la société restent les mêmes. Le temps emporte toute chose mais des éléments demeurent qui constituent les aces de la société : la guerre par exemple. Une société peut être vaincue mais la concorde deumeure

Nous sommes de fait des hommes avec de la liberté. Mais la liberté suffit-elle au bonheur? mais qu'est ce qu'est vraiment la liberté? A l'origine la liberté est un statut politique dans l'antiquité est dit ''libre'', le citoyen par opposition à l'esclave. Nous avons aujourd'hui une conception plus individualiste de la liberté, distinguant souvent, la sphère publique de la sphère privée. Nous considérons en effet comme libre celui qui n'est pas soumit à un maître, qui dispose de lui-même ses biens

religiosité, mais encore il existe des approches multiples du « fait religieux ». D’un point de vue sociologique, on nomme « religion » l’ensemble des croyances et des pratiques relatives à un domaine sacré séparé du profane, liant en une même communauté morale tous ceux qui y adhèrent, et manifestant sous des formes très diversifiées les rapports des hommes à Dieu, au divin ou au sacré. Quant à la philosophie, elle distingue la « religion intérieure », rapport individuel et direct de l’âme humaine avec

conformité au droit positif : la justice des hommes est aussi bien le pouvoir de faire régner le droit et l’exercice de ce pouvoir. Du point de vue de l’idée, la justice est un idéal, une valeur, un horizon comme respect de la personne, en tant que sujet moral et sujet de droit. Selon le concept, on trouve comme qualité essentielle de la justice le pouvoir d’exercer et donc la force au service du droit : une force calculée, maîtrisée, limitée au service de la raison, pour tous et par tous ; au contraire

la raison, exaltant le mystère et le fantastique et cherchant l'évasion et le ravissement dans le rêve, le morbide et le sublime, l'exotisme et le passé. Idéal ou cauchemar d'une sensibilité passionnée et mélancolique, ses valeurs esthétiques et morales, ses idées et thématiques nouvelles ne tardèrent pas à influencer d'autres domaines, en particulier la peinture et la musique. Le romantisme peut être présent dans les romans du xixe siècle comme chez Hugo, Balzac, Stendhal, Flaubert, Maupassant.

nature 5 2. Peut-on « être naturel » ? 6 3. L’existence précède l’essence 7 II. Le procès de civilisation 8 A. La culture comme éducation de l’homme par la société 8 1. La perfectibilité, condition de toute culture (Rousseau) 8 2. Le conflit est le moteur du développement culturel (Kant) 9 3. Le développement culturel, progrès ou régression ? 9 B. La culture est édifiée sur du renoncement pulsionnel 11 1. Le malaise dans la culture (Freud) 11 2. Répression et révolution (Marcuse) 12 III. Culture particulière

L’origine du travail selon Rousseau 5 Le mépris grec du travail 5 Le travail est nécessaire pour cadrer l’homme : un argument ambigu 6 B. Le travail comme moyen de libération 7 1. La maîtrise de la nature (Descartes) 7 Le travail comme processus d’humanisation (Hegel) 7 Le travail comme devoir moral (Kant) 9 4. La libération par la technique : la fin du travail ? (Marx) 10 C. L’aliénation par la technique 10 La technique affaiblit l’homme (taoïstes, Platon, Montaigne, Rousseau) 11 Ce qu’on possède nous

constitutive de la condition humaine et à considérer l’homme comme étant essentiellement et même exclusivement bon par nature et le monde toujours déjà abondant ou en tout cas suffisant à la satisfaction des besoins et désirs de tous, ce que même Rousseau ne tient pas 2). Mais si la finitude est bien de l’essence de l’homme, est-elle la condition exclusi- ve de l’humanité et donc la guerre son indépassable destin? Non car si l’homme est bien un être en-soi fini, il est aussi un être pour-soi capable

juger notre liberté. En effet, liberté et morale s'associent : si l'homme parvient à se décider d'après un fait absolu et raisonné, au lieu de fonder sa volonté en fonction d'une valeur circonstancielle, cela révèle une liberté tangible par rapport aux conditionnements. C'est à Kant que revient le mérite d'avoir prouvé clairement en quoi « la morale est révélatrice de la liberté de l'homme ». Ainsi, pour agir librement, il est essentiel de posséder un sens moral, qui touche presque la responsabilité

La Profession de fois du Vicaire Savoyard, Rousseau (Partie 1) Plan : *Rousseau. *Contenu de la profession de fois. *Précision sur le titre. I/. Jean-Jacques Rousseau et Les Lumières. Rousseau est né en 1712 à Genève de tradition protestante. Son enfance, jusqu’en 1728 est marquée par une forte culture religieuse ainsi qu’une forte rigueur morale (Calvinisme). Dès ses 16 ans, il est envoyé en apprentissage chez un horloger, avec lequel ça se passe mal et c’est pourquoi il part (Référence