Optimisme Leibniz

à un événement qui le touche, sa pitié pour les victimes de la catastrophe. On peut aussi le définir comme « polémique ». En effet, Voltaire s’appuie sur cet événement dramatique pour argumenter contre les adeptes de l’Optimisme (philosophie de Leibniz, diffusée en France par le « parti religieux », notamment les Jésuites). Le sous-titre du poème l’indique explicitement : « Examen de cet axiome : Tout est bien » . Notre analyse du texte aura pour but d’éclairer ces divers aspects. Nous

conscience. I° Lutter contre le mal, c’est le définir et c’est le faire voir ! La lutte contre le mal ne peut pas se faire de façon personnelle, il est essentiel d’étendre la connaissance du mal au monde. Pour cela il faut pouvoir le définir. Leibniz distingue mal physique (souffrance qui affecte un être intelligent et possédant des sens), mal métaphysique (qui désigne l’imperfection de chaque créature) et le mal moral (qui fait référence au péché). Cependant définir le mal n’est pas aussi simple

possibles. L'inconscient est un concept utilisé par Sigmund Freud (1856-1939) dans sa théorie psychanalytique. Avant lui, ce concept était déjà utilisé dans un sens voisin par des philosophes comme Nietzsche et Hartmann. Il avait déjà été perçu par Leibniz au XVIIe siècle et par Schopenhauer dont Freud fut un lecteur attentif.

contradiction sans but précis. De plus Nous pouvons également évoquer le principe de raison suffisante introduite par Leibniz, c’est le principe selon lequel « rien n’arrive sans qu’il y ait une cause, ou du moins une raison déterminante, c’est-à-dire qui puisse rendre raison a priori pourquoi cela est existant et pourquoi cela est ainsi plutôt que de tout autre façon », selon Leibniz donc, tout acte est, d’une certaine façon, raisonnable, puisqu’il a forcement une motivation, donc une explication rationnelle

conscience de l’incohérence des propos de Pangloss coupé des réalités concrètes. Son raisonnement qui s’appuie sur sa propre expérience emporte l’adhésion de ses interlocuteurs. * L’expression « rage de soutenir » est une allusion à Pangloss et à Leibniz qui défendent obstinément l’optimisme, en dépit de l’évidence des faits. Il ne ménage pas ses propos « rage », « abominable ». * Ce chapitre : marche importante vers l’autonomie. * Candide saisit tout entier d’émotion : * Ton (apostrophe

la femme (insérer un extrait). La liaison de Voltaire avec Emilie de Châtelet le persuade d’autant plus qu’une femme peut très bien rivaliser avec un homme. Ils font de leur quotidien un débat permanent. Emilie croit profondément aux théories de Leibniz, ces mêmes théories que Voltaires déteste et dénigre dans « Candide ». Ils semblent avoir une relation aussi intellectuelle qu’amoureuse. Il lui dédie d’ailleurs Eléments de la philosophie de Newton. Toutes ces caractéristiques font de lui un philosophe

commencer, venons d'abord sur la définition philosophique du mal. Le mal décrit un certain type d'évènements ou d’états de fait jugés nuisibles, destructeurs ou immoraux et sources de souffrances morales ou physiques. Nous avons décidé de prendre Leibniz pour parler du mal car il est un grand philosophe du XXIII ème siècle.D'après lui,il existe trois formes du mal. Il y a le mal physique qui est lié à la souffrance, le mal métaphysique qui est lié à l’imperfection de l’homme, et le mal moral qui est

l’entendement divin peuvent ils devenir des mondes possibles? Comment comprendre la question des possibles? Nous étudierons cet aspect de la question en première partie, en second lieu, nous nous pencherons sur la question de savoir si avec des auteurs comme Leibniz, Kant et le système stoïcien il y a une notion de destin qui annihilerait toute notion de liberté chez l’homme, dans quelle mesure en effet l’homme peut il se proclamer libre si son destin est déjà tracé, il faudrait mieux à ce niveau de réflexion

mais la mémoire est là, ou bien alors la conscience n'y est pas. Une conscience qui ne conserverait rien de son passé, qui s'oublierait sans cesse elle-même, périrait et renaîtrait à chaque instant : comment définir autrement l'inconscience ? Quand Leibniz disait de la matière que c'est " un esprit instantané ", ne la déclarait-il pas, bon gré, mal gré, insensible ? Toute conscience est donc mémoire − conservation et accumulation du passé dans le présent.       Mais toute conscience est anticipation

• meilleur : 1. Supérieur, préférable, digne d'être choisi : pour LEIBNIZ, le meilleur repose sur une sorte de principe d'économie dans l'appropriation des moyens à la fin ; il correspond au maximum d'effets avec le minimum de dépenses ; dans le domaine moral le meilleur est le minimum de mal pour le maximum de bien. 2. Meilleur des mondes possibles : pour LEIBNIZ, Dieu ne crée pas les essences qui tendent toutes avec un droit égal à l'existence ; les existences ne sont pas toutes compossibles ;