Optimisme Leibniz

Cette œuvre retrace le parcours de Candide, un personnage naïf et crédule vivant au château du Baron de Thunder-ten-tronckh. Ce jeune homme est amoureux de la fille de ce dernier, Cunégonde. Pangloss, son maître, est un philosophe défenseur d’un optimisme leibnizien. Candide fit chassé du château et va commencer une suite interminable de malheurs, il voyagera ayant la devise de Pangloss dans l’esprit « tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes possibles ». Son périple emmène Candide de Westphalie

1737 par les jésuites et donc très rare à l’époque de Voltaire (en effet, même le copiste de Voltaire, ne connaissant pas ce mot l’a d’abord orthographié « optismime »). Ce terme n’était utilisé à l’époque que par les partisans de la doctrine de Leibniz. L’Optimisme est une philosophie visant à voir le bien en tout et à considérer que tout est parfait : « le mieux possible se trouve dans tout ce qui est et qui arrive » (Dictionnaire de l’Académie, 1762). Il prône l’idée que ce monde est le meilleur

Candide ou l'optimiste, de Voltaire, on retrouve l’esprit critique du siècle des Lumières car ils critiquent l’optimiste métaphysique de Leibniz car voltaire parodie facétieusement les dénominations que reçoit la philosophie de Leibniz qui qualifiait la philosophie de métaphysico-théologo-cosmolonigologie qui est un terme mis a la mode par les disciples de Leibniz et voltaire y rajoute le terme nigo qui signifie idiot. Pour voltaire les physiciens sont idiots, Il y a une satire des malheurs de l’humanité

l'existence du mal. Depuis longtemps déjà, Voltaire est farouchement opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu, du « principe de raison suffisante » et son idée d'« harmonie préétablie ». Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait une raison valable. Cette croyance est ce que l'on appelle

d'emprisonnement à la Bastille), et de là il commencera sa carrière d'écrivain. La période de publication de Candide correspond à l'âge de maturité de son auteur, soit 60 ans, mais aussi à une période de désillusion, d'où la remise en cause de son optimisme philosophique suite a plusieurs évènements: -L'échec de son séjour avec le roi de Prusse en 1750. -Le séisme de Lisbonne en 1755. -La guerre de 7 ans en 1756. De plus d'intenses débats publics font rage autour de la publication de l'Encyclopédie

l’intolérance, la guerre et l’esclavage. a. Contre l’optimisme de Leibniz Le sous-titre souvent oublié de Candide est « ou l’optimisme ». Cette précision souligne l’enjeu du conte : la dénonciation de cette philosophie. La théorie du « tout est bien » est celle défendue par un certain Leibniz. Ce philosophe et mathématicien allemand publie en 1710 ses Essais de Théodicée où il s'interroge sur Dieu, le mal et l'harmonie du monde. Pour Leibniz, Dieu est parfait, juste et bon, et le monde qu'il a créé ne

Séance 5 : Lecture Analytique Support : chapitre 30, Candide, Voltaire Intro : L’optimisme de Candide a subit différentes épreuves au même titre que celui de Voltaire. Les différentes dénonciation remette en cause la philosophie de Leibniz (philosophe) optimisme. On se situe à la fin du passage il a retrouvé Pangloss ainsi que Cunégonde et ses amis en Turquie et ils vont vivre en métairie (ferme). Problématique : En quoi Candide et ses compagnons se remettent ils en cause ? I) Deux leçons de sagesse

théiste et Rousseau est un croyant 1) Voltaire pessimiste qui blâme Dieu pour tous les maux du monde 2) Rousseau optimiste qui blâme la société pour les maux. Ex : L’homme nait bon, la société le corrompt. -Meure en 1778. Vision optimiste de Leibniz et Rousseau : Dieu a crée le monde selon la conception du meilleur monde possible, le bien pour le bien et le mal pour une meilleur fin ! La vision pessimiste de Schopenhauer et Voltaire : Dieu est le créateur du monde, mais il n’interfère pas

s'interroge sur la nature de Dieu, du monde et de l'homme, comme sur les conséquences des découvertes scientifiques, sur les systèmes politiques ou sur la société, morale et culture. Dans Candide il y a un débat sur le Bien et le Mal (cf. Pangloss, Leibniz, le tremblement de terre de Lisbonne, Martin…) Voltaire se demande en quelque sorte comment dans un monde concu par Dieu, l'homme doit affronter autant d'horreur. Un conte philosophique mêle les élements du conte tarditionnel et le sérieux de l'oeuvre

exilé, persona non grata à la cour, persécuté par ses ennemis. Depuis son domaine des Délices, à Genève, il s’informe des drames de la guerre de Sept ans entre la France et la Prusse ainsi que du terrible tremblement de terre de Lisbonne. Son « optimisme » est, en quelque sorte, éteint. Avec Candide (1759), Voltaire nous invite à réfléchir sur la vie et ses aléas, sur l’homme et ce qui l’anime, sur les valeurs qui nous font vivre. Pour donner un sens à son existence, l'homme doit garder l’espoir