Optimisme Leibniz

philosophique du XVIII° siècle écrit en prose. L’œuvre comporte 30 chapitres courts. Cet ouvrage s'inscrit dans un débat important du XVIII° siècle sur le fatalisme et l'existence du mal. Voltaire est opposé aux idées du philosophe Leibniz au sujet de Dieu. Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. C’est cette croyance que l'on appelle l'optimisme leibnizien. Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Dans Candide

philosophie abstraite pronée par Leibniz pour proner les valeurs et les opinions de la bourgeoisie. Ce sont des valeurs concraites basée sur le travail , l'argent , l'amitié , ... Les bourgeois fon preuve de réalisme de progmatisme. Tout çà cadre bien avec le XVIIIème S car on veut que la culture se tourne vers des applications beaucoup plus pratique ( = l'encyclopédie) > combattre par l'église. L' optimisme: L' optimisme est la théorie philosophique de Leibniz dans le roman. Selon lui , tout

argumentation / séquence 2 / autres formes d’argumentation indirecte/ apologue et philosophie des Lumières Candide, chapitre 1, incipit A Voltaire / F……..M…..AROUET Ecralinf O Tremblement de terre de Lisbonne Wolf  disciple de Leibniz « le mal n’existe pas » T Incipit du conte Fonctions de l’incipit  QTB !! - Fonction informative - Fonction générique ( genre) - Fonction dramatique/narrative - Fonction proleptique 1/ les caractéristiques

I-Définition : a) Optimisme b) Pessimisme Le pessimisme (du mot latin pessimus superlatif de malus signifiant "mauvais") désigne un état d'esprit dans lequel un individu perçoit négativement la vie. En particulier, d'après cette doctrine, la vie humaine est une perpétuelle douleur (Schopenhauer), parce que notre destination est d'agir et qu'agir consiste à obtenir ce que nous n'avons pas. Le pessimisme nie le progrès de la civilisation et de la nature humaine. Le pessimisme

est un secret infaillible pour empêcher la terre de trembler.’’ (Candide, 50) Donc, Pangloss était pendu pour ses opinions. Ici c’est évident que son optimisme ne pouvait pas le sauver, et encore une autre fois on voit la philosophie prendre une autre vie. Dans ce roman, le personnage de Pangloss représente le philosophe Leibniz et ses idées; Leibniz a écrit le Discours de Métaphysique en 1686, dans lequel il a parlé des sept principes fondamentaux philosophiques. Les deux principes qui sont ridiculisés

C'est une philosophie sans dogme, ni religion qui rejette toute révélation divine. Le déiste ressent Dieu de manière intuitive et ne cherche pas à se le représenter. Pour lui, la religion est souvent ramenée à la morale) et donc en conflit avec Leibniz, principal philosophe théoricien de l'Optimisme. Son idéal reste celui d’une monarchie modérée et libérale, éclairée par les « philosophes ». Il agit d'ailleurs auprès des élites éclairées de l’Europe des Lumières en se servant de son immense notoriété

Surinam =>Dénonciation de l’esclavage et l’exemple même de l’atteinte aux droits de l’homme. Candide ne croit plus à l’optimisme de Pangloss. Voltaire essaye de faire passer sa pensée au lecteur. Ce texte vient en opposition à la pensée optimiste de Leibniz. C’est un pamphlet. Pb : Comment Voltaire s’y prend-t-il pour dénoncer l’esclavage et l’optimisme ? I. Une mise en scène efficace : la rencontre avec un esclave 1. A) Un personnage symbolique : il a été choisit pour délivrer un enseignement

révolutions, de la pensée et de la raison et Voltaire, à travers plusieurs récits, ne cessera de dénoncer les injustices, les inégalités et l’intolérance de cette époque. Dans ce conte philosophique, Voltaire dénonce et critique la philosophie optimiste de Leibniz, caricaturé dans Pangloss. Candide vient d’être chassé du château de Thunder-Ten-Tronckh dans la Westphalie et devient un soldat dans l’armée Bulgare. Dans ce texte, extrait du chapitre 3 de Candide, Candide, la guerre éclate contre les Abares.

à tour la noblesse, l'église et la philosophie optimiste de Leibniz. Le contexte historique de l’œuvre a son importance : deux grandes catastrophes viennent de se produire, le tremblement de terre de Lisbonne de 1755 et la guerre de Sept Ans, dont les atrocités ont marqué Voltaire qui ne peut plus croire en la providence divine et la nature fondamentalement bonne du monde. L'auteur est en opposition avec la pensée du philosophe Leibniz, pour qui le monde, étant créé par un Dieu parfait, ne peut

(21 novembre 1694-30 mai 1778) Pour Leibniz, Dieu est parfait, le monde ne peut pas l'être mais Dieu l'a créé le meilleur possible. Le mal existe ponctuellement, mais il est compensé ailleurs par un bien infiniment grand. De plus, selon Leibniz, rien n'arrive sans qu'il n'y ait à cela une cause nécessaire. Cette croyance est ce que l'on appelle l'optimisme leibnizien. Voltaire voit dans cette philosophie un encouragement au fatalisme. Il oppose à cet optimisme qu'il juge béat, une vision lucide sur