Ordre de Cluny

cas de Gorze, Brogne ou Cluny. D'autres monastères utilisent des faux certificats d'immunité pour acquérir l'autonomie23[réf. insuffisante]. De tous, Cluny a le développement et l'influence les plus impressionnants. Sous la férule d'abbés dynamiques tels qu'Odon, Maïeul ou Odilon, l'abbaye, entraînant d'autres monastères qui lui sont rattachés, constitue bientôt un ordre très puissant (en 994, l'ordre de Cluny compte déjà 34 couvents)24. L'une des grandes forces de Cluny est de recruter une bonne

critiquée, l'Eglise se voit de répondre au jugement des non chrétiens, des hérétiques et des déviants mais surtout celui des chrétiens envers elle-même. En effet, Bernard de Clerveaux avait dénoncé l'enrichissement des « moines noirs » (les moines de Cluny) La réponse de l'Eglise est illustrée dans ces quatre documents qui ont pour thème : la charité prêchée par l'Eglise. L'Eglise se montre charitable et l'Eglise se réforme pour mettre fin au abus du clergé. Le document 1 représente une illustration

les Camaldoli en 1012, Jean Gualbert de Florence l’établissement de Vallombreuse (1039). L’exemple fut suivi en Bavière et en France, particulièrement par Etienne de Thiers, fondateur de Gandmont dans le Limousin (1074) autour duquel se développa un ordre. Plus décidé encore à rompre totalement avec le monde, tout en assurant la stabilité monastique à ses disciples, saint Bruno de Cologne alla s’établir en 1084 au cœur des Alpes pour jeter dans un « désert » les fondements de la Grande Chartreuse ;

la fois réaliste et répugnante. Cette représentation espagnole est importée au Nord par des auteurs comme Pierre Alphonse et Pierre de Cluny. Dans un contexte de la Renaissance du XIIe siècle, les théologiens recourent de plus en plus à la logique et à la science comme moyens pour démontrer la doctrine chrétienne. Pierre le Vénérable, abbé de Cluny, désire réfuter de façon définitive l’hérésie sarrasine et apporter un ouvrage digne d’être comparé avec les traités des Pères de l’Eglise sur

est variable selon les différents ordres monastiques. Il s’agit des moines et des religieuses, vivant dans des communautés dirigées par un abbé ou une abbesse. Ils ont prononcés des vœux de pauvreté, de chasteté et d’obéissance à la règle de leur ordre. A partir du 8ème siècle, la règle la plus répandue est la règle bénédictine écrite par un moine italien du 6ème Saint Benoit de Nursie. Elle prévoit un partage équilibré du temps des moines entre lecture, travail manuel (traduction, écriture) et prières

Carolingiens, leur alliance avec la papauté. La politique carolingienne : expansion extérieure, remise en ordre intérieure ; la renaissance culturelle carolingienne, fruit de la réforme de l’Église. Le naufrage de l’ordre carolingien au IXe siècle : causes internes et externes. La transition du Xe siècle : la "féodalisation" ; conséquences sur l’Église, réactions : réformes monastiques (Cluny) ; nouveaux progrès de l’évangélisation. II. Le Moyen Âge central (11–13 siècles) : Les médiévistes et

 Introduction  Je m’appelle LEON Perrie-Meli et je suis actuellement en Terminale Baccalauréat Professionnel Secrétariat au Lycée Saint-Joseph de Cluny. J’ai effectué ma période de stage du 05 mai au11 juin 2014 au « Garage JONVAUX » sous les ordres de Monsieur JONVAUX Jonathan qui occupe la fonction de gérant du garage. Le Garage J.JONVAUX est situé au 3 rue El Kantara à Magenta Ouémo. C’est un garage familial qui appartenait à Monsieur JONVAUX Marcel qui est le père de mon tuteur et

chrétienté au XI-XII ème siècle correspond à l'Europe actuelle durant cette période aura lieu la croisade des Albigeois en 1208, à Albi.Et nous nous intéresserons principalement aux 4 principaux foyers religieux (Rome, St-Jacques-de-Compostelle, Cîteaux et Cluny). En quoi le christianisme est-il au centre de la société médiévale ? Nous verrons donc le rôle important qu'à l’Église dans le Moyen Âge du XI° au XIII° siècle en Europe occidentale, avec sa réforme grégorienne (= politique sous l'impulsion de

(=mariage des prêtres), on redéfinis le comportement des prêtres et surtout l’église réaffirme son indépendance face au pouvoir temporel Conclusion ; Des conflits avec les rois Une vie chrétienne plus intense notamment par la création de nouveau ordre monastique 3-Une institution diverse. Les clercs au moyen- age s'occupent des âmes des chrétiens. Ils font partit d'une institution très organisée et très hiérarchisée et de plus en plus riche et notamment une richesse foncière (bâtiments) grâce

christianisme ). À partir du X ème siècle se cultive une véritable culture monastique avec la création d’une abbaye mère ( celle de Cluny, Bourgogne ), où l’on suit la règle bénédictine ( Saint Benoit de Nursie, définit ce mode vie monastique qui consiste à suivre une formation, formuler des voeux de pauvreté, obéir et observer une attitude chaste ). Le monastère de Cluny va créer des filiales et les moines deviennent très connus dans toute l’Europe. Une culture monastique et caractérisée par une architecture