Ordre des Chartreux

béguines est clairement énoncé « elles ne font aucun vœu d’obéissance, ne renonce pas à leur bien et ne suivent aucune règle approuvée. » En effet, la vie des béguines était très spirituelle, elles ne font vœux d'appartenance et d’obéissance à aucun ordre religieux. Leur vie se caractérisait par l’absence de règles. Elles ne se mariaient pas, mais ne faisaient pas vœux de chasteté pour autant. Elles ne prononçaient d'ailleurs aucuns vœux, si ce n'est de s'investir dans le béguinage. Elles se considéraient

Résume de l’autobiographiePremière partieChapitre 1 : Naissance et Baptême de Claret Saint Antoine Marie Claret est né dans la ville de Sallent à Vic en 1807. Ses parents étaient des chrétiens très dévoués au service du Seigneur et à la Très Sainte Vierge Marie. Il reçut le baptême en 1807 à la fête de Noël. Son nom est une composition, du nom de son parrain, marraine et de son père. Il en ajouta plus tard Marie par dévotion à la Très Sainte Vierge Marie. Il est issu d’une famille de 11 enfants

Texte 1: Marcel Pagnol, Le Temps des secrets “La rentrée en sixième” Pendant les deux premiers mois, je fus entièrement dépaysé, et malgré l'intérêt de tant de nouveautés, il m'arrivait de regretter ma chère école du chemin des Chartreux, dont Paul me donnait chaque soir des nouvelles. Tout d'abord, dans cette caserne secondaire, je n'étais plus le fils de Joseph, le petit garçon que tous les maîtres tutoyaient, et qui jouait le jeudi ou le dimanche dans la cour déserte de l'école

dans les couvents de Cordeliers de Marseille et de Carcassonne tous les frères moururent sans en excepter un seul (8). A Bordeaux, l'épidémie emporte 12 sur 20 des chanoines du chapitre de Saint-Seurin (9). Le nombre des décès dans l'ordre des Chartreux qui n'excédait pas une centaine par an en moyenne avant 1348, passe à 465 en 1348, à 165 en 1349, à 270 en 1350 (10). Ainsi la proportion des décès dus à la Peste par rapport à l'en* semble de la population semble avoir oscillé entre les deux tiers

Texte 1: Marcel Pagnol, Le Temps des secrets “La rentrée en sixième” Pendant les deux premiers mois, je fus entièrement dépaysé, et malgré l'intérêt de tant de nouveautés, il m'arrivait de regretter ma chère école du chemin des Chartreux, dont Paul me donnait chaque soir des nouvelles. Tout d'abord, dans cette caserne secondaire, je n'étais plus le fils de Joseph, le petit garçon que tous les maîtres tutoyaient, et qui jouait le jeudi ou le dimanche dans la cour déserte de l'école

détail n’aurait pu, semble-t-il, être différent de ce qu’il est ». Donc, selon Bergson, il y a une sorte de nécessité dans l’œuvre classique, la nécessité en philosophie étant précisément ce qui n’aurait pas pu être autrement. Et c’est cette nécessité, ordre absolu et intangible, qui donne un air de fatalité à l’œuvre, et non je ne sais quelle divinité, dont on ne voit aucune manifestation dans le texte de Bergson. -« avec un air de fatalité » : mais cet air de fatalité… n’est qu’un air. Et cette idée

s’est éloigné de l’esprit de la règle : clôtures conventuelles levées, moins de vie commune, offices délaissés, tendance à transformer les ordres en ordre de chanoines (aux règles moins rigoureuses), retour à la propriété individuelle, baisse du niveau des études (trop coûteuses). Le rayonnement du clergé régulier baisse (sauf dans le cas des Chartreux). Pourtant, la situation était pire aux XIVe-XVe siècles. Un redressement a lieu avec le mouvement de l’observance, qui touche tous les ordres : congrégations

d'autrui pour satisfaire cette recherche. "LA solitude est un enfer pour ceux qui tentent d'en sortir, elle est aussi le bonheur pour les ermites qui se cachent" disait Kobo dans La face d'un autre. Guiges, appartenant à l'ordre des Chartreux, ordre religieux contemplatif, adressait une lettre à un ami dans laquelle il lui vantait les avantages de la vie en solitaire : "pour moi, celui qui est vraiment heureux n'est point l'ambitieux mais celui qui choisit de vivre humble et pauvre dans

Aussi des compromis sont-ils nécessaires entre pouvoirs spirituel et temporel. Par ailleurs l’objectif de la réforme est de faire du pape celui qui se place au-dessus de tous les rois ou empereur laïcs car ceux qui prient apparaissent comme le premier ordre dans la société Ils sont l’intermédiaire entre Dieu et les hommes, devant ceux qui combattent (seigneurs, chevaliers, les nobles qui ont reçu de Dieu la valeur guerrière) puis ceux qui travaillent. Cette division de la société médiévale s’impose à

Aussi des compromis sont-ils nécessaires entre pouvoirs spirituel et temporel. Par ailleurs l’objectif de la réforme est de faire du pape celui qui se place au-dessus de tous les rois ou empereur laïcs car ceux qui prient apparaissent comme le premier ordre dans la société Ils sont l’intermédiaire entre Dieu et les hommes, devant ceux qui combattent (seigneurs, chevaliers, les nobles qui ont reçu de Dieu la valeur guerrière) puis ceux qui travaillent. Cette division de la société médiévale s’impose à