Ordre du Mérite

la résistance de la norme constitutionnelle face à ce qui apparaît, dès lors, si ce n’est comme un assaut, du moins comme une intrusion voire une ingérence du droit de l’Union dans les systèmes de droits nationaux. Si cette approche conflictuelle mérite d’être tempérée au regard de l’évolution des rapports entre ordres juridiques, il n’en demeure pas moins que, d’une manière générale, la coexistence de règles issues de différents droits et applicable sur un même territoire ne va pas sans poser problème

1 CORRIGÉS-TYPES DE PHILOSOPHIE, SÉRIE A4 21-22 SUJET 1 : Que pensez-vous de cette affirmation d’Henri Bergson : « Ne parlez pas d’esprits différents des nôtres, dites seulement qu’ils ignorent ce que nous avons appris » ? I- COMPREHENSION DU SUJET 1- Explication des termes - Ne parlez pas d’esprits différents des nôtres : ne dites pas qu’ils (les autres) ont une mentalité primitive, qu’ils ont un esprit inferieur au nôtre. - dites seulement qu’ils ignorent ce que nous avons appris

société. De plus, ce serait porter atteinte aux libertés, ces inégalités de revenus ou de réussite sociale sont donc totalement légitimes et varient en fonction du talent et des efforts que font les individus. La réussite scolaire et sociale est liée au mérite personnel des individus et il est donc juste que les salaires soient inégaux, c'est la justice distributive. De plus, ces inégalités sont naturelles, car tous les individus n'ont pas tous les memes talents et capacités, il est donc tout aussi naturel

exemple d’un beau raisonnement. Mais de quelle beauté s’agit-il exactement ? Du rayonnement du Bien. Le beau est un éclat du Bien. Pourquoi, parce que le Bien est l’objet ultime de la connaissance philosophique et le Bien est la cause de tout ce qui est ordre et beauté dans le monde. Le Bien est ce qui dispose les choses pour le mieux parce qu’il les relie ensemble non pas par hasard mais avec intelligence et ordonnance. On peut donc distinguer deux mondes, deux régions, le monde sensible, visible et le

 D’une part, il y avait l’injustice sociale: une société alors divisée en trois ordres dont les fonctions sont hiérarchisées (le clergé, la noblesse et le Tiers État). D’une autre part, cet “ordre” social a donné lieu à une séparation qui repose sur une idéologie et une tradition, non sur un critère de mérite personnel d'où le sentiment d'injustice. Bien entendu, la séparation fut à tous les niveaux (politique, social, juridique,…); Hors, ce qui nous intéresse le plus, c’est surtout cette “fissure”

certaines justifications de cet ordre apparent font perde à ce monde ses aspects idylliques. Si candide décrit ce monde comme merveilleux, Voltaire, lui, le décrit comme un monde dans lequel le pouvoir est baffoué et ou la hiérarchie sociale est arbitraire. Candide, exclu, n'appartientpas à cette famille malgré ses qualités. Sa place n'est pas reconnues auprés de sa famille par sa généalogie. Voltaire montre ainsi que cette noblesse dépend des titres et non du mérite de la personne. Voltaire choisit

et reconnue d’emblée par les peuples raisonnables… d’où les uns déduisirent que la Loi divine était bien au fondement de l’ordre politique1, et les autres qu’au‑delà de la diversité et les oppositions des croyances, il était possible d’établir un ordre politique juste à partir du seul bon exercice de la raison. Au XXe siècle, une logique similaire d’occidentalo‑centrisme prévaut toujours : militarisme, communisme, parlementarisme, lorsqu’ils s’épanouissent en Asie, apparaissant peu ou

subsistance et réconfort moral. Dans cette organisation sociale, peu de place pour l’individu qui n’existe qu’en tant que membre d’un ordre, ou d’un corps. §1. Une société d’Ordres A. Une société trinitaire, l’empreinte du christianisme = une fonction sociale détermine la place de chaque homme dans la société = tripartition fonctionnelle CLERGE Ceux qui prient TIERS ORDRE Ceux qui travaillent NOBLESSE Ceux qui combattent Ce schéma a certes une forte vocation idéologique dans une société dominée

TS1 Devoir de Philosophie Le droit apparaît avec la nécessité de régler les rapports entre les hommes. Il crée des obligations et, partant, institue un ordre au sein de la cité. Mais qu’en est-il de cet ordre ? Peut-on envisager qu’il soit le reflet des rapports de forces s’établissant spontanément entre les hommes et quíen ce sens il soit fondé en nature ? Cela semble improbable dans la mesure où tout droit fondé sur la force

écrasé par les privilégiés. Devant le mécontentement de son peuple, il prend la volonté de changer le royaume et prévoit l'ouverture des états généraux. Il prépare les élections régionales pour nommer les députés qui sont censés représenter chaque ordre. De plus, Louis XVI exprime le voeu de réformer l'état et en établissant l'égalité devant l'impôt et rendre la convocations des états généraux périodiques. Jusque là, le peuple semble enthousiaste, surtout quand le roi annonce que le nombre de députés