Orléanisme

fois au moment de la guerre d’Algérie. Les autres n’ont pas utilisé. Article 19 parle de ces articles qui permettent le pvr au chef. Cet article renvoie aux autres articles, il englobe tout ces articles. Retour au plmt dualiste. Dualisme = orléanisme. Dux sources de légalités : élection législative et celle issu des élections présidentielles (1er ministre nommé par le président). Deux élections donc deux sources de légitimité. Le 1er ministre doit sa position grâce aux deux sources. Deux têtes

Nationalisme centré sur l'exaltation de l'idée de nation qui emprunte les éléments qui compose sa doctrine aux autres familles politiques : Ordre → bonapartisme, décentralisation → Droite contre-révolutionnaire, défense des intérêts économique → orléanisme Nous nous demanderons quelles ont été les idées influentes de l'Action française et quels ont été ses conséquences politiques mais aussi historiques. Dans uen première partie nous étudierons la doctrine maurassienne, puis nous verrons comment

mouvement antigouvernemental: les opportunistes au pouvoirs déplaisent. ainsi, MONARCHISTES leur repproche leur politique anti cléricale RADICAUx et socialistes contestent le parlementarisme tel qu'il fonctionne depuis 77, on le taxe d' “orleanisme “ , en n'accomplissant aucune réforme fondamentales un antiparlementarisme nait dans le pays. Ainsi, le mouvement boulangiste trouve bien sa place et sa chance de percer dans cette situation d'instabilité économique mais surtout politique qui

principes. b/ L'orléanisme -Un descendant du libéralisme (+ état d’esprit que pol) Parti monarchiste qui peut accepter le 19é s, on ne peut le voir que par défault : *Hobbes > Locke > Montesquieu : liberté = essentielle, souveraineté = éclairée. Orléanisme a du mal a affirmer sa légitimité : se méfie de la pop, vision pol moyenne qui se traduit par une approche intellectuelle. -Le pro­blème de l'orléanisme, c'est le peuple *Cousin, Villemain : prend tout ce qui existe pr faire de la philo du juste

Constitutionnel, P.U.F., 1992, page 3 ► P. Albertini, Le droit de dissolution et les systèmes constitutionnels français, P.U.F., 1978, page 4 ► J. Grevy, Intervention lors du débat sur le statut du Président de la République, 1848, page 5 ► P. Pactet, « Orléanisme », in O. Duhamel, Y. Meny, Dictionnaire Constitutionnel, P.U.F., 1992, page 6 ► Extrait de la constitution du 14 janvier 1852, page 7 ► Message de Mac Mahon aux chambres, 14 décembre 1877, page 8 ► Message du Président Grévy au Sénat, page 8 ► V

politiques ne sont pas des choses et l'approche relationnelle doit permettre de sortir de cet accueil réifiant. La détail de cette typologie n'est pas complètement certain : certains de droite se revendiquent du bonapartisme, du légitimisme et du orléanisme. Le problème des droites a toujours été la gestion de cet héritage historique pluriel. Dès le 19ème siècle, on repère la constitution de différentes traditions politiques, la question de l'unité de toutes ces traditions politiques s'est toujours

formule constitutionnelle adoptée par le referendum de septembre, il apparaît immédiatement que, contrairement à une analyse généralement admise, elle ne peut être considérée comme un simple retour à un parlementarisme « plus authentique », à un orléanisme déguisé, à une séparation des pouvoirs plus effective ni 98 La Conception du Pouvoir comme un accomplissement du vœu rituel visant le « renforcement de l'exécutif ». Il s'agit d'un régime absolument inédit parmi les formes politiques et dont

à juin 1899». Avec le renversement du ministère Dupuy, «c'était la fin de vingt ans de gouvernement au centre». Du reste, A. Siegfried se souvient en 1913 que «des radicaux impatients reprochaient il y a vingt ans à la République modérée son "orléanisme" ». Et Joseph Paul-Boncour se rappelle : « Sauf la courte interruption du ministère radical homogène de Léon Bourgeois, et les colères qu'il souleva, nous avions vu défiler, avec assez d'indifférence, des gouvernements de concentration, assez

tradition parlementaire et droite bonapartiste dévouée à autorité du CDE perdurent. Centre de gravité de l’UMP: droite européenne parlementaire libérale. Pour maintenir discipline dans UMP, le chef doit tenir compte de spt de vue différents. Orléanisme: inclination pour l’initiative individuelle, bonapartisme: gout du volontarisme politique. Sarkozy: favorable à un état réformateur. Admire le dynamisme américain sans l’imiter ( en prône pas un ultra libéralisme). Courage détermination

jusqu’en 1960, mais après il devient une véritable seconde chambre. On s’oriente donc progressivement vers un parlementarisme Orléanisme (dualiste) : idée que les dirigeants peuvent à la fois être responsables devant le parlement et le chef de l’Etat. 3- Bilan et fin du régime Ce système a bien fonctionné pendant environ 20 ans, mais ce retour au parlementarisme Orléanisme est interrompue par la défaite de Sedan => la France s’effondre en septembre 1870. Les insurrections de la Commune de Paris.