Ouranos

pacte) pour en assurer l’équilibre. Celui qui viole un pacte attire le malheur sur le pays tout entier (= origine divine de la Loi). Doit garantir la prospérité à la fois de la Nature et de la Société et donc l’harmonie des rapports homme-nature. Ouranos. Conserve chez les Grecs un caractère plus naturiste (il est le Ciel), mais à la différence des autres dieux célestes, engendre des monstres (thérogénèse) qu’il hait dès les premiers instants (cf. Théogonie d’Hésiode) et cache dans le ventre de Gaïa

son lit.[10] Il faut dire que cette action, hériter du trône et remplacer son père dans son lit, se répète dans la plupart de textes grecs, dont l’archétype est facile à trouver. Dans la Théogonie d’Hésiode, Chaos engendre Gaïa et celle-ci enfante Ouranos qui l’épouse ensuite. Mais le cas le plus célèbre, c’est l’histoire d’ Œdipe. Etant le meurtrier de son père et l’époux de sa mère, Œdipe, incestueux et parricide, ne mérite point ses malheurs, mais à cause de son caractère, il en est l’artisan. Pourtant

ainsi que le fleuve pressait toujours Akhilleus, malgré sa rapidité, car les dieux sont plus puissants que les hommes. Et toutes les fois que le divin et rapide Akhilleus tentait de s'arrêter, afin de voir si tous les Immortels qui habitent le large Ouranos voulaient l'épouvanter, autant de fois l'eau du fleuve divin se déroulait par-dessus ses épaules. Et, triste dans son cœur, il bondissait vers les hauteurs ; mais le Xanthos furieux heurtait obliquement ses genoux et dérobait le fond sous ses pieds

enceinte. Un oracle de la Terre-Mère déclara alors que l'enfant serait une fille et que si Métis enfantait de nouveau, le fils qu'elle porterait détrônerait Zeus, de la même manière que Zeus avait lui-même détrôné Cronos et que Cronos avait détrôné Ouranos.  C'est pourquoi après avoir entraîné Métis vers sa couche avec de douces paroles, Zeus ouvrit brusquement la bouche et l'avala, et ce fut la fin de Métis, bien qu'il affirmât par la suite qu'elle lui donnait des conseils de l'intérieur de son ventre

comment prendre la place de la génération du dessus, et pour cette dernière, comment empêcher la génération du dessous de la faire basculer ? » Dans sa propre famille, on retrouve ce qui est représenté dans la mise en place du monde chez les Grecs : Ouranos veut empêcher ses enfants de sortir du ventre de leur mère ; Kronos mange les siens et Œdipe est la représentation par excellence de ce rapport conflictuel. On aborde avec lui la troisième question importante, celle de l’identité sexuelle et du désir

d'abominations vendues sous licence Gibsonienne avec la sortie du film "la passion"(I et II)... Le culte Romain du "sacré-cœur" puise ses origines dans celui de Nemrod ressuscité, lié à Bel (le "Seigneur", le dieu protecteur de Babylone) et Moloch, Ouranos ou Mithra... au caractère totalement Antichrist dans son essence et Antéchristique dans la pratique, un signe précurseur parmi d'autres. L'usage des Zoroastrien l'Immaculée marial) est cierges et des lampes s'apparente à celui du culte solaire

sans fond dans lequel il est impossible de s'orienter. Au milieu du chaos naissent des luttes fondatrices opposant le fils au père et de formidables combats de géants appelés gigantomachies qui apportent à l’univers une nouvelle organisation. Ouranos qui régnait seul sur l'univers, craignait qu'un de ses enfants ne prenne sa place. Il se mit alors à les ensevelir dans la Terre, dans Gaïa elle-même. Celle-ci décida d'épargner le dernier, Cronos, et par ruse lui fit don d'une faucille

homosexuels. Le personnage de Pausanias dans le banquet de Platon représente 2 Aphrodite : vulgaire : Pandemos. Qui aime les corps. L'Aphrodite céleste, qui aime les âmes. (fille d'Ouranos, le ciel, qui a été châtré par son fils Chronos et c'est Ouranos, avec la mer, qui donne naissance à Aphrodite (Vénus)). On retrouve plusieurs sortes d'amour, que les grecs théorisent en 3 catégories : Éros : (dieu grec de l'amour) ; un amour passionnel qui a été théorisé par Platon (dans le banquet), amour lié

utilisés dans la formule d’invocation du dieu le confirment: « Zeus très-vénérable, Zeus incorruptible », « O Roi, tu commandes à Gaia, mère des montagnes, et aux montagnes hautes et sonores, et à Pontos, et à toutes les choses qu’enveloppe Ouranos. Zeus Kronion ! Porte-sceptre, au grand cœur, Générateur universel, source et fin de toutes choses, qui meus la terre, qui ébranles tout, étincelant, tonnant, foudroyant, Zeus créateur .» C’est F. G. WELCKER (1857-1863, vol. I, p

renforçant la protection divine de Dionysos. Les dieux grecs Gaïa, la Terre, première divinité de l’ordre cosmique grec, naquit du chaos qui régnait avant que la vie n’apparaisse. Elle donna naissance à Ouranos (les cieux) et ensemble, ils engendrèrent les géants, cyclopes et titans. Ouranos, mécontent de ses monstrueux enfants, décida de les enfermer dans les entrailles de la terre. Gaïa le désapprouva. Elle engagea donc le titan Cronos pour attaquer son père ingrat et s’emparer du pouvoir. Cronos