Oxymore Maupassant

les vers 10,11,12, nous lisons "dans un jardin, dans un bois, dans un forêt" 6. Hyperbole: Il n'y en a pas. 7. Imprécation: Il n'y en a pas. 8. Interrogation: Il n'y en a pas. 9. Inversion: Il n'y en a pas. 10. Litote: Il n'y en a pas. 11. Oxymore: Il n'y en a pas. 12. Périphrase: Il n'y en a pas. 13. Réticence: Il n'y en a pas.

cause, de l'autre, la conséquence. La cause : "Un moyen pour prévenir la ruine", "Un spectacle de personnes brûlées". Puis voltaire donne la conséquence : "Donner un bel autodafé", "Un secret pour empêcher la terre de trembler". --> Utilisation d'un oxymore pour appuyer l'absurdité. --> Antithèse entre la notion de spectacle et la personne brûlée. --> Le mot secret qui donne aux inquisiteurs un pouvoir magique. --> Ridicule complètement dénoncé avec la phrase "La terre trembla de nouveau avec un fracas

de ta chevelure'' La chevelure est comparée au feu d'une pipe a tabac, ce qui entraine le souvenir des plaisirs que Baudelaire appelé ''paradis artificiel''. -4° métaphore : La chevelure est comparée à la nuit tropicale où resplendit l'azur (oxymore). -5° métaphore : La chevelure est comparée à une plage couverte de végétations (on retrouve le thème de la mer). 3° un poème caractéristique de l'esthétique symboliste. Ce poème est caractéristique de l'esthétique symboliste, dont Baudelaire

et l’autre, dans une veine réaliste et burlesque, il insiste sur les défauts de l’homme. Il y a trois figures privilégiées du baroque : Les figures d’amplification (hyperbole, anaphore, gradation …) Les figures d’opposition (antithèse, oxymore, paradoxe …) Les figures d’analogie (métaphore, allégorie, personnification …) Les caractéristiques du classicisme Le classicisme correspond à une nouvelle conception du monde et à un nouvel ordre politique. On peut observer deux visions

éléments opposés qui coexistent. * Métaphore : «Tes baisers sont un filtre et sa bouche une amphore» (vers 7) Effet : Établit une identité entre deux réalités différentes. Comme une comparaison, elle illustre les propos du narrateur. * Oxymore : «le héros lâche» (vers 8) Effet : Comme une antithèse, amplifie l’effet de contraste. À une mendiante rousse (P.76) Thème exploité : Les faits relatés : L’idée directrice : Les effets des procédés langagiers : A * Résumé du poème :

c'est l'opposition entre deux groupes syntaxiquement indépendants. Elle fonctionne parfois avec une parallélisme = la reprise d'une même tournure syntaxique. ex : "j'ai pu vivre dans la servitude ; mais j'ai toujours été libre." (Montesquieu)  un oxymore : alliance, dans un même groupe syntaxique, de deux termes qui s'opposent. ex : "cette obscure clarté", (Corneille) – "Elle se hâte avec lenteur" (La Fontaine )  le chiasme : c'est une structure "en X", ou "croisée", dans laquelle quatre éléments

Valmont "Le dieu qu'ellle aura préféré" il se prend pour un dieu. B - Valmont cynique. - futur : l.29, certitude + projet clair - paradoxe : l.30 , vertu de Mme de Tourvel donne par à la conquête. - hyperbole : Perversité C - Valmont blasphème. - Oxymore : l.22, se moque des préjugés religieux - répétition du verble " adoré" : Critique religion - métaphore : l.36, Valmont joue sur 2 sens de adoré + blasphème III - Les indices d'un amour véritable. A - Eloge morale de Mme de Tourvel. - Champs lexical

comme l'amour, et des thèmes plus choquants. Ce titre est donc très important car il annonce les thèmes du recueil. Dans l'expression "les fleurs du mal", Baudelaire choisit de rapprocher deux mots "fleurs" et "mal" qui s'opposent (oxymore). La fleur connote la pureté et la beauté, elle représente le contraire du "mal". Cette incompatibilité entre les deux termes met en place le dynamisme d'une poésie déchirée entre ses contradictions où l'être est à la fois fasciné par le bien et par

allons donc voir en quoi cette scène est un affrontement tragique. L’interruption de la réplique « Et jamais », de Titus, marquée par les points de suspension, montre que Bérénice dirige le dialogue. La réplique « cruelle joie » par Bérénice, est un oxymore qui crée une tension tragique. « Ingrat !/ Ah cruel ! /Hélas ! » Sont des phrases non verbales exclamatives prononcés par Bérénice, qui traduisent sa colère. Les phrases non verbales interrogatives « Et pourquoi ?/Quoi ? » montre l’indignation de

une réalité Hypallage : attribuer à un terme l'énoncé d'un autre Hyperbole : exagération Litote : dire moins pour en sous-entendre plus Métaphore : comparaison sans élément de comparaison Métonymie : désigner quelque chose par un terme différent Oxymore : mots opposés l'un après l'autre Personnification : attribuer des choses humaines à un animal/objet Polyptote : utiliser plusieurs formes grammaticales d'un même mot dans une phrase ex: Pères, mères, dont l'âme a souffert ma souffrance (V. HUGO Les