Pacs Mariage Concubinage

clients (B). A) Le devoir de conseil du notaire et la sécurité juridique des actes L’introduction de nouveaux statuts de vie commune entre personnes physiques (PACS), la multiplication du concubinage marque une étape forte et décisive dans une évolution très profonde des mœurs et de la conception traditionnelle de la famille, du mariage civil et de ses obligations. Le notaire se doit d’accompagner cette évolution en conseillant les personnes et les familles sur ce qui est conforme aux bonnes mœurs

législatif avec l'Assemblée nationale. Le mariage homosexuel est la possibilité pour les couples du même sexe de se marier, ce qui peut aussi, dans certains cas, donner le droit à la parentalité et à l'adoption. L'homosexualité a été longtemps criminalisée et classée dans la liste des troubles mentaux par l'Organisation mondiale de la santé jusqu'au 17 mai 1990. Aujourd'hui elle est de plus en plus acceptée par les sociétés contemporaines. Le mariage entre personnes de même sexe n'est pas autorisé

engagement de vie commune ou par la filiation. Avant la famille était plus facile à définir car cela se reliait au mariage et à la parenté. Aujourd’hui ce n’est plus le cas car il existe le PACS L’engagement de vie commune est juridique Ex: Mariage, PACS (loi du 15 novembre 1999, réformé par la loi du 23 juin 2006). La seule vie commune sans engagement cad le concubinage ne crée pas juridiquement une famille. La filiation est le lien juridique qui unit l’enfant à son ou ses auteurs (filiation

caractère personnel de certains actes ou soit par le fait que le mineur travaille. Parmi ces dérogations, tantôt la loi permet que l'acte soit passé par le mineur mais avec l'autorisation ou l'assistance de ses pères et mères ou du tuteur (ex : le mariage ou un contrat d'apprentissage). Le mineur n'est plus représenté par quelqu'un. Tantôt, la loi permet au mineur d'agir totalement seul (ex : reconnaissance d'un enfant). - Des tempéraments coutumiers à l'incapacité du mineur. Ainsi, il peut passer

personnes liées par le sang ou par les alliances.  Famille stricte : Sœur:/frère; couples  Famille etendue : dans le sens de personnes habitant ensemble. Lien de sang : lien de filiation.  Filiation « naturelle » hors mariage, « légitime » dans cadre du mariage, « Adoptive » fondée sur. L’adoption La parenté : lie les ascendants et les descendants. (Fils, père, grand père)  En ligne collatérale, lien qui unit les personnes ayant un auteur commun (ex: entre cousin, le grand père.

entre certaines personnes et leur attribut certaines conséquences, certains effets. La famille est constituée d’un ensemble de personnes descendantes d’un auteur commun et rattachées entre elles par le mariage et la filiation. Cette conception exclue toute les formes qui ne sont pas basé sur le mariage. Mais elle a correspondu à une définition de la famille à une certaine époque. Aujourd’hui elle est beaucoup trop restrictive. Aujourd’hui la famille est définie par un groupe de personne vivant sous

découle uniquement du mariage n’entraine qu’un élargissement limité de la famille fondé sur la parenté. C’est néanmoins l’alliance qui fait de la famille un groupe social ouvert, évite les risques de consanguinité et qui, historiquement, a permis, en partie l’essor du capitalisme. 3. La vie commune Sont concernés les personnes qui habitent ensemble. La vie commune est un critère, une situation de faite, dont le droit va tirer des conséquences. Par exemple : le concubinage ou la possession d’état

I-Les droits du concubin (union libre) A l'inverse du mariage, et aujourd'hui du PACS, le concubinage n'est pas une situation de droit, mais un état de fait. Les concubins ne bénéficient pas de droits particuliers définis par la loi. Ils sont considérés comme deux célibataires. Le droit français ne reconnaît pas le concubin comme un héritier. En l'absence de testament, le concubin du défunt ne pourra prétendre à aucun héritage. Les donations ou les legs sont limités par le droit français des successions

de 50 ans la vision du mariage et du couple c’est totalement transformé. A présent deux personnes ne sont plus montré du doigt par la société si il ne se marient pas. De nos jours un homme et une femme ne se marient plus par intérêt, mais parce qu’ils se choisissent, se trouvent des points communs. Et puisque l’amour n’est pas eternel les couples se séparent aussi. I) La vie ne couple : faut-il la réinventer ? a) L’évolution du mariage. Au cour des années 50 le mariage a été désacralisé, en

signifie "qui a une relation avec". En France, le concubinage, ou union libre, correspond à une union hors mariage caractérisée par une certaine continuité, une certaine stabilité. C'est l'union de fait entre deux personnes, de même sexe ou de sexe différent, qui vivent en couple. L'union de fait peut ou non être accompagnée d'un pacte civil de solidarité. Le concubinage, lorsqu'il est prouvé, entraîne alors certains effets juridiques. Le concubinage peut être officialisé de deux façons, soit par le