Pacte Préférence Arrêt 3ème Civ 23 Septembre 2004

doctorale n° 74 LA PROTECTION DE L’ENFANT EN DROIT INTERNATIONAL PENAL : ETAT DES LIEUX Mémoire de Master recherche Mention Droit international présenté par Aurélie LA ROSA Sous la direction de Monsieur le Professeur LAVENUE Année universitaire 2003-2004 Mémoire publié après autorisation du jury sur http://edoctorale74.univ-lille2.fr « L’humanité se doit de donner à l’enfant le meilleur d’elle-même… » Déclaration de 1924 sur les droits de l’enfant. 2 SOMMAIRE SOMMAIRE……………………………………………………………………………………

précision, même lorsque la société est à risque limité,comme SARL.Les créanciers de la société, en particulier les banques, peuvent exiger des garanties personnelles des associés pour les prêts qu’elles effectuent à l’entreprise.comme la caution. *3eme précision: Si la société rencontre des difficultés telles qu'elle est soumise à une procédure de faillite, il sera possible de rechercher la responsabilité personnelle des associés sans limite de montant, pour combler les dettes de la société. -

Les conditions de formation des contrats 3 Le consentement 5 L’existence du consentement 6 La validité du consentement 13 La capacité à consentir 20 L’objet 23 L’objet doit exister 23 La licéité de l’objet 25 La cause au contrat 26 La notion de cause 26 La preuve de la cause 32 Les conditions générales de conformité au droit 33 La conformité à l’ordre public 33 L’absence de fraude 35 Les conséquences de l’abus 36 Titre 2 : Les sanctions de condition de formation des contrats 42 Chapitre

fiscalité indirecte par des dispositions du droit primaire. En application de ces dispositions chaque Etat-Membre a l’obligation d’intégrer dans son corps des normes interne et des normes communautaire. Trois séries de disposition : - les articles 23 et 25 du traité C E énonce un principe d’unité du territoire douanier fondé sur une union douanière qui vise 2 aspects : * l’élimination des droits de douanes et de toutes les taxes des faits équivalents à des droits de douane dans les

sujets sera donnée en fin d’année. Le galop d’essai, ça sera une réplique de l’examen. La note d’arrêt, ça n’est pas un commentaire, ça ne dépasse pas deux pages ! Cette épreuve est de nature à montrer notre aptitude à lire un arrêt et à le comprendre. Et si on a un arrêt ambigu, il faut le dire : « on peut comprendre ça, on peut comprendre ça, mais on ne comprend pas ». Si on a une erreur apparente, idem, il faut le dire ! C’est en gros une revue de presse, quoi. En fin de compte, on s’inscrit

actuellement la cour de cassation n’ordonne jamais l’exécution forcée de la promesse de vente. * La promesse synallagmatique de vente art.1589 du code civil, il y a déjà eu un accord des deux parties. * Le pacte de préférence: avant contrat aux termes duquel le promettant s’engage à proposer le bien en priorité au bénéficiaire si il s’engage de vendre. II. La classification des contrats On peut penser à

l’insuffisance de la loi pourra être poursuivi comme coupable du déni de justice » ( Dans l’esprit des révolutionnaires loi = expressions des volontés générales (la loi est parfaite ( le juge n’a qu’à l’appliquer mécaniquement) ( La prohibition des arrêts de règlement ( le juge ne saurait créer de sa propre initiative une règle générale. Il doit s’en tenir à trancher le litige qui lui est soumis en appliquant la loi ( Art 12 : Si par extraordinaire la loi présentait une lacune, une incertitude, le

Droit constitutionnel – La Ve République Avoir toujours avec soi la constitution à jour (23 juillet) = site du conseil constitutionnel ; n° 31 à 35 du JCP G du 30 juillet 2008. Etre rigoureux, nuancé et travailleur. La Ve république a fêté en octobre 2008 dernier son 50e anniversaire : de toutes les constitutions nombreuses accumulées par la France depuis 200 ans, la Ve république constitue le 2e régime le plus durable après la IIe qui a duré 65 ans. Cette longévité est rétrospectivement

contre la vie de l’enfant à naître ? Non car l’embryon n’a pas de personnalité juridique : La femme enceinte et lésée à donc porté cette affaire devant la CEDH en affirmant que c’était un « atteinte au droit à la vie ». La CEDH, dans son arrêt du 8 juillet 2004, laisse cette question à l’appréciation des états. Donc il n’y a pas de crime : principe pas suffisamment clair. L’IVG est donc une limitation au respect dès le commencement. L’Art.16 pose ce problème du droit à la vie : « La loi assure

revendiquer dans quelque main qu'elle se trouve. Il est possible de suivre le droit réel, où qu'il se trouve : on parle de droit de suite. Il existe également un droit de préférence : le détenteur du droit réel, le propriétaire de la chose, est préféré à tous les autres. Le créancier, au contraire, ne profite pas d'un droit de préférence, notamment lorsqu'il est en concurrence avec d'autres, hormis les cas dans lequels il dispose d'un privilège ou d'une sûreté. ...en vertu duquel l'une peut exiger