Palefrenier

ses biens comme la présence de « portes » et de « fenêtres » à son château ce qu'il y a d'ordinaire dans quelconque demeure. Voltaire souligne implicitement que chez le baron tout est faux (ex: « chiens de basse-cour » complètent « la meute », « palefreniers » sont ici « piqueurs », « vicaire du village » « grand aumônier ». Il y a donc une confusion entre la réalité et l'apparence; on a dans un premier temps l'impression d'un noble qui mène grand train, alors qu'il ne s'agit que d'un petit seigneur

noblesse est contredit par le déterminant « un » qui montre la pauvreté de l'édifice et de son propriétaire car il ne possède « qu'une porte ». Le peut de personnage qui était au service du baron faisaient deux choses à la fois « ses palefreniers étaient ses piqueurs » (chap 1 ligne 15) ce qui démontre le peut de richesse dont disposé le châtelain, son personnel faisaient aussi preuve d’hypocrisie et d’ironie a son égard « ils riaient quand ils faisait des contes » (chap 1 ligne 16).

« meute »L15 « piqueur » L16 «  grands aumônier » qui sont des titres nobles _ opposé aux termes qui appartiennent à la réalité L14 « tapisserie » L15 «  chien de basse cour » L16 « palefrenier » « vicaires » 6) L17 à 14 accumulation de 4 propositions subordonnées. ( préjugés aristocratiques. _principale L13-14  « monsieur le baron était l’un des plus puissants seigneurs de la « westphalie » tourné en dérision par la

plus simple ». >SATIRE DE LA SOCIETE Voltaire oppose la prétention de richesse (« grande salle », « meute », « piqueurs », « grand aumônier », et titres) et la basse réalité (simples ornements de tapisserie, « chiens de basse-cour », « palefreniers », « vicaire »). Les serviteurs même, tout en affublant le baron du titre de monseigneur, rient de ses contes, même si on ne sait pas si c’est par moquerie ou hypocrisie. La satire de Voltaire sur la société de l’époque est au plus haut quand on

personnages relèvent donc de l'illusion, et non d'une réalité. - confusion et une distorsion dans la description, et le narrateur souligne implicitement que chez le baron tout est faux; ex: « chiens de basse-cour » complètent « la meute », « palefreniers » sont ici « piqueurs », « vicaire du village » « grand aumônier ». Il y'a donc une confusion entre la réalité et l'apparence; on a dans un premier temps l'impression d'un noble qui mène grand train, alors qu'il ne s'agit que d'un petit seigneur

place avec la précision de l’honnêteté du gentilhomme au moment où l’on décrit une conduite moralement discutable… - Le baron : sa puissance semble être discutable car ses chiens de basse-cour peuvent aussi servir pour la chasse et que ses palefreniers ont aussi une double fonction (« piqueurs ») : il n’a donc pas les moyens d’entretenir beaucoup de personnel, ce qui montre que sa richesse est limitée. - La Baronne : sa considération est étroitement liée à son poids, qui semble considérable :

relèvent donc de l'illusion, et non d'une réalité. Il y'a une confusion et une distorsion dans la description, et le narrateur souligne implicitement que chez le baron tout est faux; ex: « chiens de basse-cour » complètent « la meute », « palefreniers » sont ici « piqueurs », « vicaire du village » « grand aumônier ». Il y'a donc une confusion entre la réalité et l'apparence; on a dans un premier temps l'impression d'un noble qui mène grand train, alors qu'il ne s'agit que d'un petit seigneur

l’a condamnée à dormir pendant cent ans. En endormant : les gouvernantes, filles d’honneur, femmes de chambre, gentilshommes, officiers, maitres d’hôtes, cuisiniers, marmitons, galopins, gardes, suisses, pages, valets de pied, les chevaux, les palefreniers, galopins, les gros mâtins de basses cours, Pouffe (le chien de la princesse), le feu, les perdrix. * Cent ans après un prince vient réveiller la princesse en l’embrassant donc tout les personnages endormis par la fée se réveillent. Le conte

l'esprit le plus simple ». >SATIRE DE LA SOCIETE  Voltaire oppose la prétention de richesse (« grande salle », « meute », « piqueurs », « grand aumônier », et titres) et la basse réalité (simples ornements de tapisserie, « chiens de basse-cour », « palefreniers », « vicaire »). Les serviteurs même, tout en affublant le baron du titre de monseigneur, rient de ses contes, même si on ne sait pas si c’est par moquerie ou hypocrisie. La satire de Voltaire sur la société de l’époque est au plus haut quand on

toi ? Chapitre 4 : 10) Crooks est une personnage de couleur noir,son corps penchait du côté gauche car sa colonne vertébrale déviée,et ses yeux étaient enfoncé dans les orbites.Son visage est maigre et avit de profondes rides noirs.Il est palefrenier Crooks loge dans la scellerie qui est un petit hangar appuyé sur le mur de l’écurie, il est a l’écart de tout le monde car il est victime de racisme . Son lit est une longue caisse remplit de paille, il possède un fusil et des livres. Crooks est