Pancréatite aiguë

dyspnée. Troubles gastro-intestinaux : Très fréquent : diarrhée, vomissements, nausées.Fréquent : élévation des lipases sériques, élévation de l'amylase, y compris de l'amylase pancréatique, douleurs abdominales, dyspepsie, flatulences.Rare : pancréatite. Troubles hépatobiliaires : Fréquent : augmentation des transaminases, hyperbilirubinémie.Très rare : hépatite.Fréquence indéterminée : stéatose hépatique. Troubles cutanés et du tissu sous-cutané : Fréquent  urticaire, éruption vésiculobulleuse

artérielle -Dyslipidémie, désignant une modification du taux normal des lipides sanguins. Elle désigne en pratique courante une concentration trop élevée d'un ou des types de lipides présents dans le sang. -Infarctus du myocarde en 1992 -Pancréatite aigüe en 1990, c'est une inflammation soudaine du pancréas Constat : Lundi 19 mai 2014, Mr B tombe de son lit en voulant aller aux toilettes pendant la nuit, il s'est ouvert l'arcade. C’est l'AS de nuit qui l’a découvert par terre. L'infirmière

classe l'alcoolisme en deux types : la forme aiguë (l'alcoolisme aigu) et l'alcoolisme chronique correspondant à une consommation excessive régulière. L'OMS définit l'état de dépendance lorsque « certains symptômes du trouble ont persisté au moins un mois ou sont survenus de façon répétée sur une période prolongée ; au moins trois des manifestations [selon une liste de six items] sont présentes en même temps au cours de la dernière année. ». La forme aiguë se manifeste par une consommation occasionnelle

* Allergie (souvent en association avec des traitements d'action rapide : adrénaline par exemple) * Œdème de Quincke * Urticaire géant * Choc anaphylactique * Réactions inflammatoires sévères * hépatite alcoolique aiguë * Maladies générales * Traitement de fond des asthmes sévères * Sarcoïdose * Fibrose pulmonaire * Syndrome néphrotique * Certaines Leucémie * Certains cancers * Transplantation d'organes * Soins

vésiculaire * -Définition * -Rappel anatomophysiologique * -Diagnostic : -Examen clinique -Examens para -cliniques :-biologie- imagerie * -Physiopathologie * -Evolution et complication :-hydro cholécystite aigue -cholécystite aigue lithiasique -Lithiase de la Voie Biliaire Principale * -Les personnes à risque * -Facteurs de risque * -Traitement : -médical -chirurgical * Les complications spécifiques de la technique cœlioscopique

secondaire Appendicectomie Varicocèle Plaie par balle en 1979 à l'armée avec une perforation intestinale Ses antécédents médicaux sont : Diabète insulino-dépendant Stéatose hépatique Hyper Tension Artérielle (HTA) Pancréatite aiguë d'origine alcoolique en 2010 Monsieur C à des traitements médicamenteux bien spécifiques : Créon : (Deux le matin ainsi que deux le midi).Ce médicament contient des extraits de pancréas. Ceux-ci remplacent ou complètent une production

de potassium sanguin trop élevé)). Elle a donc pour traitement Diffu-k (traitement des hypokaliémies) pour contrer l'effet hypokalcémiant du lasilix. Elle doit également prendre créon qui est un traitement qu'elle avait a domicile pour des pancréatite aigue. Son dernier bilan biologique montré une carence en vitamine D donc elle doit prendre uvédose. Pour éviter la constipation, elle doit prendre un sachet de duphalac et pour éviter les caillot de sang et fluidifier le sang elle a une injection

Une forte glycosurie peut être mise en évidence. La simple surveillance de la diurèse devrait permettre de dépister l’hyperglycémie et la deshydratation avant le stade du coma hyperosmolaire. Hélas, l’attention est souvent détournée par l’affection aiguë déclenchante. Le coma hyper-osmolaire associe : 1. Une intense deshydratation globale * intra-cellulaire : sécheresse de la face inférieure de la langue du sillon gingivo-jugal, disparition de la moiteur axillaire, hypotonie des globes

Présentation PowerPointMédicaments de la sédation Dr Sébastien Szajner Pharmacien Praticien Hospitalier - CHPO  Le terme « sédation » est utilisé fréquemment en médecine mais désigne des contextes et des objectifs différents : calmer la douleur, l’anxiété et le stress, permettre un meilleur sommeil, diminuer la perception d’une situation intolérable pour le patient…  Utilisation de moyens en majorité médicamenteux permettant de calmer le patient en vue d'assurer son confort physique

médicamenteuse. Maladie des vois biliaires (souvent associé avec une augmentation des phosphatases alcalines). Causes non hépatiques : Alcoolisme chronique (spécificité à 80%). Infarctus du myocarde. Insuffisance cardiaque. Insuffisance rénale aiguë. Syndrome néphrotique. Accident vasculaire cérébral. Maladies neurologiques. Epilepsie. La bilirubine Norme biologique 3,4 - 17 µmol / L Intérêt du dosage La bilirubine est un pigment biliaire qui provient de la dégradation de l'hémoglobine