Pancréatite aiguë

virales, bactériennes ou parasitaires. Dans certains cas, elle protège cotre les substances nocives présentes dans l’intestin en hâtant leur évacuation. B. Conseils : Les enfants et les adultes souffrant d’une diarrhée, pouvant être chronique ou aigue, doivent respecter certains conseils pour éviter les complications graves : 1. Réhydratation orale : Il faut boire beaucoup d’eau. Un montage à sérum contenant les sels minéraux perdus est nécessaire. Chez les enfants, cette réhydratation est

transmission) chez un homme (hôte) et la présence de signes ou symptômes clinique (fièvre, douleur…), biologiques (élévation des leucocytes, de la CRP, de la VS….), radiologiques (radio pulmonaire évoquant une pneumopathie interstitielle, franche lobaire aiguë ou un SDRA) ■ La présence de micro organismes ne suffit pas à définir une infection sauf dans quelques rares cas (méningites) □ Ex: bactériémies post prandiales □ Ex: bactériuries asymptomatique ■ Pour qu’une infection

COMPLIQUÉ TRAITEMENT DES COMPLICATIONS 1 INTRODUCTION L’infarctus du myocarde (IDM) est une nécrose ischémique systématisée du muscle cardiaque le plus souvent due à une thrombose occlusive brutale d’une artère coronaire. Cette occlusion coronaire aiguë par un thrombus survient le plus souvent sur une plaque d’athérome devenue instable à la suite d’une érosion, d’une ulcération, d’une fissuration ou d’une rupture. L’IDM est une maladie avec un risque fatal important à court et à moyen terme mais sa

Epigastrique Epigastrique avec irradiation Perforation gastrique : douleur déchirante, inhibant la respiration Le cancer gastrique : douleur atypique pouvant être post prandiale précoce ou tardive. B. Douleurs pancréatiques (au cours d’une pancréatite aigue) Douleur à type de crampe, de broiement ; subite, très intense, intolérable, trans fixiante. Siège épigastrique avec des irradiations lombo thoracique, sous costale gauche et scapulaire gauche. Son évolution peut aller à plusieurs heures voire

n’existe pas de valeur guide pour ces paramètres. Composé Chlorure de zinc ZnCl2 Oxyde de zinc ZnO Sulfate de zinc ZnSO4 Sulfate de zinc dihydraté ZnSO4, 2H2O Sulfate de zinc heptahydraté ZnSO4, 7H1O TOXICITÉ EXPÉRIMENTALE Toxicité aiguë [4, 9 à 11] L’ingestion de composés de zinc provoque des troubles du système digestif, des modifications hématologiques ainsi que des lésions du foie, du pancréas et des reins. L'inhalation de composés de zinc (environ 1 mg/m3), en particulier

existe un espace qualifié de virtuel, permettant la mobilité de l’un sur l’autre. Le terme ascite (du grec askos: outre) désigne l'accumulation de liquide à l'intérieur de la cavité péritonéale. La péritonite est l'inflammation du péritoine, aiguë ou chronique, dont on décrit un grand nombre de variétés, selon plusieurs critères. Ainsi, quand la péritonite est étendue, on parle de péritonite généralisée. Elle peut être située en périphérie d'un organe : il s'agit d'une péritonite localisée.

nommer les signes cliniques. · Pancréatite aigüe : inflammation du pancréas suite à des calculs biliaires. Signes cliniques  : douleurs abdominales qui augmentent après avoir mangé, abdomen enflé et douloureux, nausées et vomissements, sensibilité de l’abdomen au toucher, fièvre, augmentation du rythme cardiaque · Angiocholite : inflammation aigüe qui se manifeste au niveau de la paroi des voies biliaires

prophylactique (préventif) à 1/2 dose chez les patients : • sous AAS, AINS ou anticoagulants • âgés • avec plus de 2 poussées par an. - Traitement endoscopique ou chirurgical Fibroscopie pour dilater une sténose ou stopper un saignement. III. GASTRITE AIGUE ULCERO-HEMORRAGIQUE Inflammation de la muqueuse gastrique & début duodénum avec lésions superficielles + ou – érosives, disséminées et hémorragiques. Lésions sont labiles (changeantes). Étiologies stress majeur (post-op, polytraumatisés, grands brûlés

INTRODUCTION : Le syndrome de Lyell est une dermatose bulleuse encore appelée nécrose épidermique toxique (NET). Il s’agit de l’un des accidents médicamenteux les plus graves car il est potentiellement létal, mais il reste rare. C’est une nécrose aigüe des kératinocytes de l’épiderme avec altération de la jonction dermato muqueuse sur toute la hauteur du corps muqueux. La nécrolyse se traduit cliniquement par un érythème et un décollement de l’épiderme avec les signes de Nikolsky (pression ou

accident ischémique cérébral transitoire ou constitué ; - réduction de l'occlusion des greffons après pontage aortocoronaire. En cardiologie : . 1 sachet de 300 mg par jour, à débuter le plus précocement possible dans les situations d'urgence (phase aiguë de l'infarctus du myocarde, angor instable...), après l'incident inaugural ou la récidive. le traitement sera ensuite poursuivi à la posologie d'entretien de 1 sachet de 300 mg par jour. - En neurologie : dans les 48 premières heures suivant l'installation