Pansement

Infectiologie, hygiène Travail écrit individuel d’analyse d’une situation rencontrée en stage. CHOIX D’UN CHAMP STERILE LORS D’UN PANSEMENT 1. INTRODUCTION Lors de ma deuxième semaine de stage, un cas d’hygiène m’a interpelé. En effet depuis quelques jours, deux infirmières m’encadrent dans le service avec des techniques différentes de réfection de pansement stérile (ensemble de manipulations exécutées aseptiquement au niveau d’une lésion des téguments dans le but préventif et curatif).

stage. C’est un pansement simple. Le patient est un homme de 78 ans. Le soin est effectué à J-10 de son opération au centre hospitalier de Lagny sur marne en service d’orthopédie. Ce soin est fait par moi-même, avec la présence de l’IDE référente. Avant de préparer mon matériel je regarde la fiche pansement du patient. Avant d’effectuer le soin je prépare le matériel sur une tablette : du SHA (solution hydro alcoolique), un antiseptique (biseptine), du sérum physiologique, un pansement occlusif sec

Description de l’activité : Premier pansement : Réalisation d’un pansement stérile avec mobilisation de lame situé dans un collecteur Je prévient le patient de la réalisation du soin, Je prépare le matériel nécessaire (gant stérile, set a pansement, Bétadine scrubs et dermique, eau stérile, épingle a nourrice stérile, lame de bistouri stérile, compresse stérile, poubelle, SHA, gant vinyle), Je nettoie l’emplacement sur lequel je vais m’installer, J’installe mon matériel ouvre le set stérile

1. Description de la situation : J’ai réalisé un pansement avec retrait d’agrafes sur une personne âgée de 90 ans, qui a eut une surinfection puis une reprise de prothèse de hanche gauche. L’infirmier était présent pour me superviser. La plaie est située au niveau du short. J’ai désinfecté mon petit chariot avec les gants pour éviter les infections et mis le matériel dont j’allais me servir : un set à pansement, un champ stérile, des compresses stériles, la Bétadine dermique et la Bétadine scrub

du patient), une aiguille à vacutainer, un corps de vacutainer désinfecté, un coton stérile imbibé d’alcool modifié, un coton stérile sec, un garrot désinfecté, une protection en papier absorbant à usage unique, des gants non stériles, un petit pansement et un container à aiguille. Je me rends dans la chambre de Monsieur M. et je le salue. Je mets ma présence. Je l’informe du soin que je dois effectuer et lui explique les raisons de ce prélèvement. Je l’installe confortablement sur son lit que

doit être comblée. De même, elle est contre indiquée sur les lésions tumorales (risque d’évolution de la masse tumorale), les fistules non explorées, les vaisseaux ou organes exposés (susceptibles de ne pas supporter la dépression exercée par le pansement) et les ostéomyélites non traitées. Elle doit être mise en place avec précaution et sous surveillance si la plaie saigne (risque hémorragique), si le patient présente des troubles de la coagulation, ou s’il y a infection et/ou présence de fragments

deux jours, avec une prescription médicale, pour un pansement, suite à un abcès du sein gauche, causé par l’allaitement, à J9. Après avoir observé l’infirmière, les jours précédents, j’ai participé à l’ablation du pansement et à l’asepsie de la plaie. Dans un premier temps, j’ai retiré le pansement : décollé l’opsite, retiré les compresses souillées et tiré progressivement la mèche iodoformée, imbibée de pus, avec une des pince du set à pansement (pince patient). Dans un deuxième temps, j’ai procédé

physiologique, compresses stériles, bistouri, pansement … Je nettoie mon pansement selon le protocole bétadine (des agrafes dus à l’opération jusqu’au point du Redon). Je retire le fil qui permet de maintenir le drain de Redon à la peau. Je demande au patient de respirer profondément et au moment où ce dernier expire, je retire le Redon. Avec une compresse, j’appuie fermement sur la plaie puis je f ais un pansement compressif. Puis je termine en appliquant un pansement sur la plaie et la cicatrice. POURQUOI 

parle : elle est consciente : Poursuite surveillance Si elle ne parle plus : elle est inconsciente : Pratiquer les gestes qui s'imposent. Signaler l'aggravation. Brûlure simple : protéger la brûlure, ne pas percer les cloques et protéger par un pansement stérile. Surveiller et demander à la victime si elle est vaccinée contre le tétanos. Cas particuliers : Brûlures par produits chimiques : Projection sur la peau et les vêtements : Projection de liquide chimique dans l’œil

l'aiguille. J'attrape le pansement transparent occlusif stérile, je retire la moitié de sa protection, pour le coller sur la peau de Mme C. et pour permettre de laisser l'aiguille bien en place. En faisant attention de ne pas faire de plis sur la peau je dépose l'autre moitié du pansement en le guidant la paume de ma main. Je garde toujours un œil sur le débit de la perfusion, car si le pansement est mal placé ou trop serré, le débit s'arrêterait et il faudrait à nouveau faire le pansement. J'observe que le