Panslavisme

expression d’un « pan-nationalismes, » qui visait à étendre une nation en réunissant au sein d’une même et unique communauté politique des États, sur la base généralement d’ une culture commune . Néanmoins, la majorité des pan-nationalismes (panslavisme, panarabisme) ont échoué́ parce qu’ils étaient fondés sur un faux postulat selon lequel la contiguïté territoriale et les affinités culturelles seraient suffisantes pour faire émerger des intérêts communs et produire une proximité sociale.

formes qui susciteront, notamment en Bulgarie, de profonds ressentiments. L'objectif du Congrès de Berlin était de sauvegarder ce qui pouvait l'être d'un l'Empire ottoman faiblissant, donc dépendant des puissances occidentales, pour contrer le panslavisme et l'influence de la Russie, ainsi que la Megali Idea grecque, en jouant de la diversité nationale des Balkans pour constituer de petits États, eux-mêmes faibles et rivaux. Aucun ne devait se développer au-delà d'une certaine limite ; chacun se

tous les pays d’Europe. Aussi, les productions militaires traduisent que cette guerre était inévitable. De plus l’Allemagne veut regrouper tous les peuples d’origine allemande. Ce mouvement s’appelle le pangermanisme. De l’autre coté, il y à le panslavisme, qui veut réunir tous les slaves dans une grande serbie (serbes, croates, etc. qui font partis de l’Empire austro hongrois.). De nombreuses nationalités veulent devenir indépendantes au sein de l’Empire Ottoman et Austro-Hongrois. Ainsi ce qui

successeur désigné de Eltsine laisse entendre à plusieurs reprises qu'il est prêt à revenir à la "guerre froide", si l'Occident continue de le critiquer et surtout de se mêler de ce qui ne le regarde pas: "sa" guerre en Tchétchénie. Nationalisme et panslavisme obligent. Campagne électorale aussi. Depuis toujours parfait serviteur de l'état soviétique, puis russe, notamment au c£ur des services de renseignement, Poutine n'a eu non plus aucun mal à pousser vers la touche le seul rival sérieux: l'ancien

transforme si facilement les frustrations en haines, qu'il suffit ensuite de déguiser en nationalismes, comme si cela les rendait plus acceptables. En Allemagne, le pangermanisme se nourrit déjà des théories de la prétendue race supérieure; en Russie le panslavisme n'est pas si différent. En France, on rumine depuis 1870 la perte de l'Alsace et d'une partie de la Lorraine et remâche ses rancœurs contre « le Boche ». En Italie, on ne pardonne pas à la France sa main basse sur la Tunisie, et en Turquie, c'est

l'arrière-plan idéologique des années précédant la guerre ; la force de cette idéologie est à la fois ancienne et nouvelle : ancienne, car on la retrouve dans les guerres napoléoniennes, mais nouvelle par son ampleur : la guerre est aussi un choc entre panslavisme et pangermanisme, par exemple. Si les armements et les tactiques peuvent apparaître nouveaux, le blocus est un pratique très ancienne, qui correspond aux sièges des villes au Moyen Âge, ou plus près de 1914-18, au blocus continental sous Napoléon

aussi parmi les extrémistes hongrois, qui voulaient l'indépendance totale, et les pangermanistes autrichiennes, qui prônaient l'union de langue allemande en Autriche avec l'Allemagne. Le plus grand danger pour la monarchie était probablement le panslavisme, propagé de la Serbie et encouragée par la Russie parmi les Slaves du Sud. Politique étrangère L'Autriche-Hongrie au début se réconcilia avec l'Allemagne et rejoint la Ligue des trois empereurs. Lors du Congrès de Berlin en 1878, comte Andrássy

qui existe déjà auparavant se développe donc pour justifier l’hégémonie européenne. Hannah Arendt parle également d’impérialisme continental dont les acteurs principaux sont la Prusse, l’Autriche-Hongrie et la Russie. Celui-ci se fait au nom du panslavisme et du pangermanisme. L’impérialisme classique se base sur l’alliance des milieux d’affaires avec la populace, alors que l’impérialisme continental ne compte que sur l’appui de la population. Le problème des minorités et surtout celui des apatrides

quo ne veut pas que la Russie intervienne. Regain du nationalisme de la part de l’Etat et les tsars, il faut unifier l’empire disparate, imposé le plus possible la langue russe. La Russie doit être au centre, la patronne de tous les slaves : panslavisme. La Russie tiraillée entre deux grandes tendances, puissance à part, à la tête du monde slave, slavophile, l’âme de la Russie. Les occidentalistes, ce qui disent que la Russie doit se moderniser. 2) Développement économique : Russie pays

nationalité. Les différents peuples veulent appartenir à leur nation. Pangermanisme : Supériorité du peuple allemand (Volk)+ faire une grande Allemagne pour rassembler tous les Allemands + le droit de conquérir un territoire Panslavisme : Russie rassembler tous les peuples slaves+ protéger les slaves des Balkans contre l’EO 3 Facteurs de la primauté européenne : Le dynamisme démographique L’expansionnisme colonialeL’avance technologique et économique Europe