Panslavisme

appartiennent à l'empire austro-hongrois. Dans les Balkans, la Russie trouve un allié de poids en la Serbie, qui a l’ambition d’unifier les Slaves du sud. Le nationalisme serbe se teinte donc d’une volonté impérialiste, le panserbisme et rejoint le panslavisme russe, récoltant l’appui du tsar à ces mêmes Slaves du sud. Les Balkans, soustraits de l’Empire ottoman, sont en effet l’objet de rivalités entre les grandes puissances européennes[19]. En 1878, suite à une révolte des Bulgares et à une intervention

soviétique était une machine de guerre au service des slaves. Avec le changement du système, apparaissent des théoriciens. Douguine (http://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandre_Douguine) retrouve le thème Eurasiatique et slavophile, devenant théoricien panslavisme. Il promeut la réintégration d'Etats slaves dans l'ensemble russe (Ukraine, Moldavie, Biélorussie...). On trouve aussi des théoriciens favorables à une alliance avec l'Allemagne (ex : Jirinovski (http://fr.wikipedia.org/wiki/Vladimir_Jirinovski))

appartiennent à l'Empire austro-hongrois. Dans les Balkans, la Russie trouve un allié de poids en la Serbie, qui a l’ambition d’unifier les Slaves du sud. Lenationalisme serbe se teinte donc d’une volonté impérialiste, le panserbisme et rejoint le panslavisme russe, récoltant l’appui du tsar à ces mêmes Slaves du sud. Les Balkans, soustraits de l’Empire ottoman, sont en effet l’objet de rivalités entre les grandes puissances européennes22. En 1878, à la suite d'une révolte des Bulgares et à une intervention

frontières. Parabisme : repose sur l’identité arabe, la culture arabe, et sur la laïcité (on peut être arabe et chrétien). Qui ces dernier année au regard du monde tend a se rapprocher du panislamisme (article : www.cero-sciencespo.com O. Roy). Panslavisme : mouvement qui se base sur l’identité slave, la religion orthodoxe (toujours existante chez les vieux nostalgique de la grande Russie sous Staline). Panaméricanisme : c’est la volonté de faire surgir un sentiment de solidarité entre les états

un refuge sûr, il la quitte pour se rendre en Belgique en février 1844. Ce bref passage à Bruxelles aura une certaine importance puisqu'il y fait la rencontre de Joachim Lelewel, qui le sensibilise à la question polonaise et l'oriente vers le panslavisme. Contrairement à Lelewel et aux patriotes polonais, Bakounine rejette en effet le nationalisme et appelle à un soulèvement de l'ensemble des peuples slaves contre le despotisme, notamment russe, prévoyant pour ces peuples le premier rôle révolutionnaire

- difficile commerce maritime car enclavé et nombreux détroits à franchir (Bosphore , Suez..)  Les poussés russes vers le sud sont toujours déguisés : ils ne sont pas impérialistes et se présentent comme défenseurs de la chrétienté en Orient - Panslavisme : les Slaves forment une grande famille avec des points communs et la Russie dans le rôle de grand frère protecteur. —> Contexte de l’Autriche-Hongrie : 1867 : création de l’empire qui est coupé en deux avec une partie au Nord géré par Vienne

nationale de Jaurès, 1911, L'armée nouvelle ; hostilité du SPD allemand à la Russie). Mais aussi groupe sociaux prêts à accepter ou hâter la guerre. Influence de Nietzsche, du futurisme. Guerre comme « horizon logique du nationalisme agressif » : panslavisme en Russie ou en Serbie, nationalisme ethno-culturel (völklisch) en Allemagne, autour de la Ligue pangermaniste ou d'intellectuels comme Paul de Lagarde. Général von Bernhardi : L'Allemagne et la prochaine guerre (1912), présente la guerre comme

Tchèques suivent le mouvement amorcé par les Hongrois, et obtiennent par compromis des privilèges du gouvernement central. Les autres peuples slaves veulent suivre cet exemple, et se réunissent en un Congrès panslave à Prague (Bakounine parlera de panslavisme). L’Empire menace d’imploser, car s’ajoute aux révolutions à l’Est le désir pour l’Italie et l’Allemagne de se débarrasser de la tutelle de Vienne. L’Allemagne constitutionnelle ? En Allemagne du Sud, le mouvement commence dès que la nouvelle

de révolutionnaire car ce sont les armées rouges qui vont tenter de ramener la Pologne vers la Russie. Cependant, pour les russes, l’enjeu est de revenir sur l’humiliation imposée par les polonais. On joue aussi sur les anciens sentiments : le panslavisme est dans l’âme de la pensée russe. On fédère des pans entiers de la société en s’attaquant à la Pologne. (=joue sur l’opinion publique, construction du régime par guerre extérieure). Cette invasion s’accompagne de l’utilisation des partis frères

Extrême-Orient). Ce pays « prisonnier d'Asie » convoite la mer Noire et les détroits qui la commandent (thème de l'accès aux mers chaudes) + idéologie impériale « Nouvelle Rome! ». Au sein même de l'EO, on trouve des relais russes (orthodoxes+ slaves panslavisme russe) GB: Puiss maritime, coloniale par excellence: la Méd est tt d'abord une route, un axe, une voie de com°. GB contrôle Gibraltar depuis 1704. Elle est de+ en + intéressée par les Indes, concurrençant le traité de Paris (1763) dc routes