Pantoufle

et Gargantua montrent que l’Eglise n’est pas nécessaire pour accéder à la vérité, principe de la réforme évangélique.Etude linéaire n°16 : le Torche-cul – Gargantua - Rabelais Je me torchai, dit Gargantua, d’un couvre-chef, d’un oreiller, d’une pantoufle, d’une gibecière, d’un panier. Mais quels déplaisants torche-culs ! Puis d’un chapeau, et notez que les chapeaux sont les uns ras, les autres velus, les autres veloutés, les autres en taffetas, les autres satinés. Le meilleur de tous est celui de

interaction entre les lieux et les personnages : médiocrité, saleté, « odeur nauséabonde » va déterminer certains comportement des habitants de la pension. On va d’ailleurs s’apercevoir plus tard que les pensionnaires sont peu soignés : « dînent en pantoufle ». La description de cette pension se fait aussi par tous les sens : « gluants » ; « puant », ça nous donne donc l’impression que le lieu est vivant, a une vie autonome, qu’il se dégrade et vieilli. ( Une description réaliste ( Un point de vue

dans la salle, deux petits croquis d'elle, à la mine de plomb, qu'il avait fait encadrer de cadres très larges et suspendus contre le papier de la muraille à de longs cordons verts. Au sortir de la messe, on le voyait sur sa porte avec de belles pantoufles en tapisserie. Il rentrait tard, à dix heures, minuit quelquefois. Alors il demandait à manger, et, comme la bonne était couchée, c'était Emma qui le servait. Il retirait sa redingote pour dîner plus à son aise. Il disait les uns après les autres

mouchoirs nous laissent deviner que la source de ce bazar est à proximité. Petit à petit, on aperçoit une multitude de mouchoirs qui recouvrent le sol de la salle de séjour et le canapé. On découvre alors au second plan les jambes d'ANTOINE chaussés de pantoufles et vêtu d'un jogging et d'un peignoir. On continue de suivre les pyramides de mouchoirs parsemés dans la salle jusqu'à la table basse pendant la voix off. VOIX OFF: « Désormais... » Un éternuement gras et bruyant vient couper la voix off

1999 : Théâtre dans la nuit 1998 : Présidente 2001 : Pythagore, je t'adore 2002 : Torrentera 2004 : Le sang des roses 2004 : Le silence de Clara, Albin Michel 2005 : Jardin fatal 2005 : La reine du monde 2007 : Belange 2007 : Venge-toi ! 2008 : Les pantoufles du samouraï 2008 : La maison de l'été, éditions NiL 2009 : Déclic, Plon 2010 : Une seconde chance, Plon 2011 : La nuit de Skyros, Plon 2012 : La Forteresse de porcelaine, Le Cherche Midi

vêtements et des accessoires. Alicia, Manuel, Valentine, Camille, Romain La sculpture représente une femme poussant un caddie.  C’est une femme plutôt enrobée (symbole d’opulence alimentaire mais aussi de « malbouffe »)  Elle est chaussée de pantoufles d’intérieur (signifiant à la fois le confort et le laisseraller). Elle est vêtue d’une jupe bleue qui la serre et d’un haut rose ; elle porte un collier de petites fleurs jaunes autour du cou (kitch),une montre et un bracelet dorés au poignet

serviette, elle avance et se sent en sécurité, je la sèche en tamponnant délicatement, avec la serviette du haut puis avec la serviette du bas. Je lui met du sticks sous les aisselles avant même qu’elle me le réclame. Elle me dit merci. Je lui mets ses pantoufles justes devant ses pieds je lui dis qu’elle peut les enfiler. Elle les mets et avance au salon pour s’habiller, je range très vite la salle de bain je jette le gant en latex à la poubelle je me lave les mains. Je saisi une brosse puis je les rejoins

cœur, alors tout parait simple et facile Les SDF jouent au foot, mais rarement à domicile  J'suis pas Neil Amstrong, j'vais pas faire le premier pas parce que certaines se prennent pour la lune C'est quoi la différence entre une femme et des pantoufles ?? Aucune, les deux se font mettre par des pieds. Sur un porte-clé, on accroche des clefs; sur un pin's on accroche un con. Les mecs c'est comme un chewing-gum, au début c'est bon mais après ça colle ! Toi, un voyou, difficile à faire renoncer

n'envoyas-tu la mort à moi premier qu'à elle ? car vivre sans elle ne m'est que languir. Ha ! Badebec, ma mignonne, m'amie — mon petit con (toutefois elle en avait bien trois arpents et deux sexterées), ma tendrette, ma braguette, ma savate, ma pantoufle, jamais je ne te verrai. Ha ! pauvre Pantagruel, tu as perdu ta bonne mère, ta douce nourrice, ta dame très aimée ! Ha, fausse mort, tant tu m'es malivole, tant tu m'es outrageuse, de me tollir celle à laquelle immortalité appartenait de droit !

première prestation publique à MontMartre en disant ses textes. 1955 : rencontre avec le jeune compositeur Jean-Michel Arnaud, avec qui il écrira des chanson pour des vedettes féminines populaires de l’époque. Son premier « tube » de parolier : « Les Pantoufles A Papa », interprété par Philipe Cloy. 1958 : enregistrement de son premier titre sur le Label Président : Henri Salvador ayant composé un titre ; « Les Anges » et rédigé le texte de la pochette. Sa carrière de chanteur commence, il part en tournée