Paradoxe Baroque

responsables et propriétaires de l’histoire que nous écrivons, dans l’autre notre histoire ne serait qu’un jouet de déterminants qui nous dépassent. » Aussi, bien qu’elle nous soit propre, notre histoire ne nous appartiendrait pas. Comment expliquer ce paradoxe ? (§3 : Présentation de la contradiction + Question problématique). Source : Corrigé du sujet de philosophie 2007 au baccalauréat de Polynésie française Le but du développement sera de décrire minutieusement les deux thèses, tour à tour, pour résoudre

me fallait quelqu’un avec qui les partager. Philippe Grimbert, Un secret, 2004. Vocabulaire à retenir (et à noter au tableau au fur et à mesure des besoins) Incipit : premiers mots d’un texte, par extension premières pages d’une œuvre. Paradoxe : image surprenante (créée par exemple par l’emploi d’un oxymore). Phrase paradoxale (antinomie/ opposition, contradiction réelle de deux idées…) Oxymore : figure de style qui consiste à place l’un à côté de l’autre deux termes contradictoires.

Les décisions sont prises en fonction des conséquences, mais les conséquences sont la plupart du temps imprévisibles. Ils n'ont pas non plus toute l'information sur les conséquences. M. Olson, La logique de l'action collective. 1978. Le paradoxe du vote : on ne peut expliquer de manière rationnelle pourquoi les gens vont voter. Tout le monde sait que son bulletin seul n'a pas d'importance sur le résultat final. De plus, se déplacer pour aller voter a un cout. Autre exemple : les syndicats

l’expression « être soi-même », signifie d’abord une simple relation d’identité ; renvoie surtout à l’essence Présupposés : - la question sous-entend d’abord qu’il est difficile, voire même impossible, de ne pas être soi-même : contradiction, paradoxe (je ne peux à l’évidence être en même temps moi-même, et différent de moi-même ! Je ne peux être autre que moi-même, ça ne veut rien dire, c’est une question de bon sens) - elle sous-entend donc aussi que normalement, nous sommes nous-mêmes

frère, on a l’impression qu’avec cette mort, son combat est anéanti, c’est une souffrance supplémentaire . Il extériorise sa souffrance par l’écrit comme une thérapie : ca devient sa raison de vivre . La libération pour lui n’est pas un bonheur ( paradoxe ) . Observateur lucide qui sait que tout peut revenir d’un moment à l’autre. Le regret de ne pas avoir vécu cette amitié avec Tarou jusqu’au bout. Une amitié avec des échanges éphémères. Dans cette scene, Rieu n’est réduit qu’au seule rôle de

raisonnement faux qui se sait faux et qui a pour but de tromper l’interlocuteur. DEMONSTRATION : raisonnement (relations logiques entre concepts), toujours abstraite et logique RAISONNEMENT : Discours cohérent, mais qui pourrait être faux PARADOXE : ‘’contre opinion’’, ce qui contredit l’opinion courante CRITIQUER : remettre en cause-rejeter/évaluer-circonscrire. DOUTER : être conscient de l’incertitude : faiblesse (manque de confiance : faiblesse de caractère, caractère vulnérable)

Paragraphe de dissertation critique Tout d’abord, on peut dire que l’espoir domine dans le discours poétique «Il était une fois… (Des géantes et des géants…)» écrit par Fred Pellerin. En effet, le conteur décrit toute l’espérance qu’il avait face à l’avenir. Cette idée est mise en lumière à l’aide de la comparaison suivante : « C’était comme un bout de voile taillé d’avance pour un bateau qui était pas là, mais voguait dans les espérances

a' ex : "La beauté sur les fronts, dans les cœurs la pensée" (Hugo, "Melancholia")  l'antiphrase (voir aussi "ironie") : consiste à faire passer une idée en exprimant son contraire. ex : dire "Quel courage !" pour souligner la lâcheté de qn  le paradoxe : énonce une idée contraire au bon sens, à l'opinion commune, de façon à choquer, et à faire réfléchir. ex : "Le pénible fardeau de n'avoir rien à faire" (Boileau ) 3 – les figures d'amplification/d'insistance ou d'atténuation  la répétition :

valeur des goûts, des préférences du poète (goûts iconoclastes=goût qui sont peu conventionnels)--> il est contre tous les mouvements littéraires Lignes 8 à 16: ses rêves, ses hallucinations Lignes 16: ipalage, phrase de transition qui annonce des paradoxes Partie versifiée Réécriture du poème "Larmes" La scène se passe l'après-midi et le soir Thème central : la boisson Mais échec de la quête de l'or--> il constate l'échec de sa voyance et de son alchimie PROBLÉMATIQUE: La révolution poétique Rimabaldienne

bouffonne d’animaux : « les chiens, les singes et les perroquets », et par l’hyperbole : « mille fois moins malheureux que nous ». Le nègre s’en prend alors directement à l’attitude des prêtres à l’égard des Noirs. Voltaire, par sa bouche, dénonce le paradoxe hypocrite qui consiste à convertir les Noirs et à prétendre qu’ils sont les égaux des Blancs, alors que dans les faits ils sont traités comme des sous-hommes : « Les fétiches hollandais qui m’ont converti me disent tous les dimanches que nous sommes