Parallélisme Le Cid

de l'indiviu avec les contraintes sociales, politiques et morales -l'idéal d’équilibre et d’honnêteté | Théâtre, fable portrait | -maximes et formules générales -litote (permet le respect de la bienséance) -effets de parallélisme et de symétrie | -Corneille, Le Cid (1637) -Racine, Andromaque (1667) -Molière, L'Avare (1668) -La Fontaine, Fables (1668-1693) -Malherbe, Boileau, Mme de La Fayette, La Bruyère | XVIIIè | Les Lumières | Les lumières réfléchissent par eux-mêmes et

social mais il est sublime pour ce qu’il est à l’intérieur. D’ailleurs quand on fait l’onomastique de son nom, on se rend compte que c’est une synthèse de la noblesse et du peuple : Ruy pareil à Rodrigue est un prénom noble (personnage présent dans le Cid de Corneille) et Blas qui est une contraction du nom populaire Blaise. b) Ruy Blas, un être sensible : Il apparait comme un être sensible, on le voit à la grande tirade lyrique (expression exacerbée des sentiments). Il fait part de ce qu’il a

vus sous un autre plan (4 lignes) 3. récit dans le récit : réplique foudroyante de Bonaparte aux responsables de la municipalité de Brescia, en 1796 (8 lignes). A elle seule l’anecdote “pèse” autant que le reste ! Noter le “mais” : indique le parallélisme des sentiments dans le temps mais le récit est impuissant à le faire : donc il évoque d’abord V. puis P. 1.2 Les verbes. des imparfaits évoquent le temps qui dure (“ne doutait pas”, “semblait”, “retentissait”, “influençait” etc.) mais un imparfait

allégories, -création de mots nouveaux -l’antithèse, les effets de contraste et l’hyperbole -le théâtre dans le théâtre & la complexification de l’intrigue romanesque - utilisation de maximes, -litotes (pour respecter la Bienséance) - parallélisme & symétrie - dialogue argumentatif -ironie, implication du lecteur - éloquence Ecrivains & œuvres T. More (L’Utopie,1516), Erasme (Eloge de la folie,1509), Rabelais (Pantagruel, 1532 et Gargantua,1534) ; Montaigne (Essais, 1580-1588)…

revanche le dénouement est systématiquement heureux. La première version du Cid de Corneille (1636) était une tragi-comédie avant que devant la mode croissante de la tragédie, Corneille ne la transforme en tragédie (version de 1660, celle que l’on lit d’ordinaire). Dom Garcie était donc une pièce sérieuse proche de la tragédie. De plus, on trouve aussi dans cette scène du Misanthrope des échos de la tragédie de Corneille Le Cid, I, 6 (créée six ans avant Le Misanthrope). Comment comprendre ici les échos

Introduction : Ce texte est extrait du Cid, tragi-comédie publiée par Corneille en 1637. Dans ce texte, Rodrigue exprime ses hésitations et son désespoir : son père Don Diègue vient de lui ordonner de venger dans un duel son honneur bafoué par Don Gomès le père de Chimène que Rodrigue devait épouser de façon imminente. La scène 6 de l’acte I comprend six stances ou strophes au terme desquelles Rodrigue donne la préférence à l’honneur c’est-à-dire à la vengeance. Tout en sachant bien qu’il sacrifie

chefs, il pardonne aux complices. Si toutefois pour eux vous craignez son courroux, Quand vous lui parlerez, parlez au nom de tous. Cinna de Corneille est une tragédie en vers écrite en 1640. Il rédige cette pièce pour répondre à la « querelle du Cid » une période durant laquelle il fut beaucoup critiqué. Avec cette pièce, certains le considèrent comme le plus grand dramaturge de son temps. L’extrait que nous allons analyser se situe dans l’acte trois scène 1 et nous montre Maxime, ami de Cinna

grapille, il finouille, Il ne restera couic. Petits Classiques Larousse - 16 – Ubu roi de Jarry Vers le Bac À l’écrit Sujet 3 Objet d’étude : le théâtre, texte et représentation ; genre et registre ; le récit ; la réécriture. TEXTE 1 : Corneille, Le Cid, acte IV, scène 3, v. 1273-1329. TEXTE 2 : Alfred Jarry, Ubu roi, acte IV, scènes 3-4, de « Père Ubu, ne voyez-vous pas dans la plaine […] » à « des torrents de fumée au pied de la colline ». TEXTE 3 : Cervantès, Don Quichotte de la Manche, partie VIII

l'intrigue (voir, par exemple, Racine au début de Phèdre qui s’ouvre sur un dialogue entre Hippolyte et son précepteur Théramène, ou Molière dans l’exposition des Fourberies de Scapin qui débute par un échange entre Octave et Sylvestre, ou encore Le Cid de Corneille avec le dialogue entre Chimène et sa gouvernante Elvire) => Hugo s'inscrit dans la tradition en ouvrant sa pièce par une scène convenue. Ce procédé s'inscrit dans le respect de la règle de la vraisemblance, chère aux classiques (cf. Boileau

désignation métaphorique « boucherie » qui qualifie et condamne la guerre, l’ironie tenant à l’alliance paradoxale des termes « boucherie » et « héroïque » : =héroïque : « qui est digne d’un héros, de ce qu’on appelle un héros » (// Rodrigue dit le Cid) et qui signifie aussi « constituée de héros ». Cet adjectif appartient au style épique. A une idéalisation noble s’oppose la métaphore triviale de la « boucherie ». La guerre n’est qu’une boucherie et les héros, des bouchers… A l’attitude de ces « héros »