Parallélisme Le Cid

Commentaire du poème de Corneille, acte IV, scène 3, (du vers 4 au 27) Introduction : Corneille écrit Le Cid en 1637 et la pièce rencontre un immense succès. Apres avoir vengé son père en tuant le comte, le père de Chimène, Rodrigue qui ne peut ni épouser Chimène, ni en aimer une autre, est prêt à mourir. Son père lui conseille alors de prendre la tête des nobles qui se sont réunis pour affronter les Mores menaçant la cité. Rodrigue, revenu glorieux, fait le récit des ses exploits au roi Don

CORNEILLE – Le Cid I) Introduction Générale: Au théâtre, l’auteur cherche à transmettre ses propres valeurs aux spectateurs (= valeur du bien ou du mal). Le Héros incarne le bien et son adversaire incarne le mal. La fiction théâtrale a besoin d’un personnage comme marque unificatrice de l’action sous le nom de se personnage s’élabore le lieu et le sujet d’un discourt. Se texte est un extrait de pièce écrit par Corneille à un moment ou Louis XIV avait interdit les duels pour faire plier les

Pierre Corneille, né en 1606 à Rouen et mort à Paris en 1684, est l’un des plus grands dramaturges français du XVIIème siècle. Dans ses œuvres, il a toujours mêlé politique et amour, comme dans son chef d’œuvre mondialement connu, Le Cid (1637), ou dans Cinna ou la clémence d’Auguste (1640). En effet, cette tragédie, dont cet extrait est le dénouement, relate d’une part l’un des épisodes de l’Histoire de la Rome antique, en faisant référence au climat de la conspiration en France autour de Richelieu

termes principaux, les termes correpondant sont reprient dans l'ordre inverse. A B A B Il faut manger pour vivre Plus l'offenseur est cher B A B A et non pas vivre pour manger et plus grande est l'offense A ----> B A B ] Parallélisme ] un chiasme A ----> B A B Comparaison : la comparaison met en relation 2 termes ayant un point commun , le point de comparaison se fait à l'aide d'outils compratifscomme; comme , tel , ainsi que , pareil à , semblablement à …

et (EF) sont parallèles. Le quadrilatère ABED est un rectangle : les égalités AM = 3 AB et DN = 3 DE entraînent l’égalité des lon4 4 gueurs AM et DN. Il en résulte que le quadrilatère AMND est un parallélogramme (et même un rectangle) et donc le parallélisme des droites (MN) et (BE). (PN) et (NM) sont deux droites sécantes du plan (MNP). Elles sont parallèles, respectivement, à (EF) et (BE), deux droites sécantes du plan (BEF). Nous sommes dans les conditions d’utilisation du théorème 4 : les plans

classique de la scène de confidence Reprise du procédé classique de la scène de confidence pour la présentation de l'essentiel de l'intrigue (exemple : Phèdre-Racine (Hippolyte et Théramène), ou Fourberies de Scapin-Molière (Octave et Sylvestre), Le Cid-Corneille (Chimène et sa gouvernante Elvire) => Hugo s'inscrit dans la tradition en ouvrant sa pièce par une scène convenue. Ce procédé s'inscrit dans le respect de la règle de la vraisemblance, chère aux classiques (cf. Boileau : « Jamais au spectateur

moins pour faire comprendre plus. Le verbe est en général à la forme négative. Fausse atténuation. Effet d'insistance sur un jugement en demandant à l'interlocuteur de décoder le message, créant une connivence entre eux. Chimène à Rodrigue dans Le Cid : Va, je ne te hais point (Corneille). Ce garçon n'est pas très doué, pour dire qu'il est très mauvais. métaphore n.f. RHET Figure qui consiste à instituer une analogie entre un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison)

» (Victor Hugo) ( n.m.) (du grec khiasmos, qui signifie « croisement, en croix ») : Figure qui consiste à intervertir l’ordre de deux éléments syntaxiques ou lexicaux identiques selon le schéma AB/BA pour faire apparaître une opposition ou un parallélisme. ( n.m.) : Expression devenue banale, qui a perdu de sa force pour avoir été trop souvent utilisée. Ex : avoir une faim de loup, vivre d’amour et d’eau fraîche, rire aux éclats... ( n.f.) : Figure de style qui rapproche deux objets, deux idées

Niveau | Nom | Description | Exemple | répétition | [graphique] la figure dérivative | répétition consistant à utiliser deux mots dans une même phrase ayant la même racine | « Ton bras est invaincu, mais non pas invincible »— Corneille, Le Cid | | [rythmique] l'isocolie | [stylistique] répétition d'une cadence sur plusieurs segments de phrase | « Quitté de mes compagnes, je me reposai au bord d'un massif d'arbres : son obscurité, glacée de lumière, formait la pénombre où j'étais assis. »— Châteaubriand

EXEMPLE : « Et l'on voit de la flamme aux yeux des jeunes gens Mais dans l'œil du vieillard on voit de la lumière. »V. HUGO, La Légende des siècles À partir de deux éléments opposés (ici jeunes gens et vieillard), le chiasme établit un parallélisme dans lequel les quatre éléments en jeu sont croisés. ■ L'antiphrase C'est l'expression d'une idée par son contraire ; le ton utilisé et le contexte signalent que les mots ont un sens opposé à leur sens dénoté. EXEMPLE : « C'est du joli » ou