Parallélisme Le Cid

conséquent une mauvaise interprétation. De plus il peut y avoir un manque d’esthétique dans la représentation, en effet les morts sanglantes, les grandes combats et batailles sont difficile à reproduire dans dégouter le spectateur. Comme par exemple dans le Cid de Corneille, la mort du père de Chimène tué en duel à l’épée est complexe à montrer au public de manière réaliste sans choquer le spectateur, le but de la pièce ne tournant pas autour d’un combat sanglant le public pourrait ne retenir que cette mauvaise

propre mort. Les termes employés expriment la grandeur : v.26,« la foi », 27, « majesté sacrée » des « Dieux », v.29, « serments ». La gradation finale rappelle l'appel aux armes de Don Diègue à Rodrigue (« Va, cours, vole et nous venge ! ») dans le Cid de Corneille. Ce rappel ironique montre bien l'attitude combative d'Hermione : inutile de traîner, s'il doit l'abandonner de toutes façons ! Elle ne laissera pas celui qu'elle aime à quelqu'un d'autre et elle saura s'en débarrasser... III - Conclusion

impossibilité pour exagérer un phénomène, voire même le rendre comique. Ex. : Virgile, Les Bucoliques : « C’est pourquoi on verra, légers, dans l’air paître les cerfs, / les flots laisser à nu au rivage les poissons …» Le chiasme Semblable au parallélisme dans sa construction et dans ses conséquences sur l'effet produit, le chiasme est conçu comme un miroir. On met un parallèle deux éléments (ou deux expressions) mais en renversant le second. Les deux parties de l'énoncé ont ainsi une structure

citation. Cette réconciliation s’opère autour de l’idée de l’effet que doit produire une œuvre littéraire et du but qu’elle doit atteindre. Ainsi le roman, le théâtre, et la poésie sont revenus sur un même pied d’égalité, créant ainsi un effet de parallélisme sémantique avec le début de la citation. Les effets, dont il est question, sont symbolisés par les adjectifs qualificatifs « lyrique » et « dramatique ». Cette citation se conclue sur la mise en opposition entre la « bonne » et la « mauvaise »

d’un capitaine fanfaron. L’Illusion comique (1636) succède à cinq comédies, une tragi-comédie (Clitandre, 1630-1631) et une tragédie (Médée, 1635, qui vaut à Corneille une pension de Richelieu), précède immédiatement Le Cid (1636-1637), pièce suivie de la fameuse Querelle du Cid où interviendra la jeune Académie française. 1636 est une année cruciale. L’Illusion, perçue d’abord comme un divertissement, obtient aussitôt le succès Si l’on s’en tient maintenant à l’acte II, scène 2, Matamore, à plusieurs

la Statue. -Il reste néanmoins fidèle à sa ligne de conduite. B. De l’avertissement à l’inévitable châtiment : une fin tragique Deux scènes qui se font écho Scène 5 : La dernière possibilité de se repentir Scène 6 : Le châtiment -Parallélisme de personnages -Scène 5 : Sganarelle + Don Juan + Le spectre -Scène 6 : Sganarelle + Don Juan + La statue Miroir entre les deux Scènes, Tournure hypothétique du spectre « s’il ne se repend pas ici. » l. 2-3 -Montre l’issue encore possible

de grandiloquent. > Hyperbole : « percé du coup mortel dont vous m’assassinez » vers 1311. > Répétition du « oui, oui » au vers 1309. > Des césures très nettes comme au vers 1306 « c’est une trahison, c’est une perfidie ». Ici il y a un parallélisme, une répétition donc une insistance. > Du vers 1294 à 1300 : répétition du « que » (anaphore de la conjonction). > L’imparfait donne de la force (1986 et 1987). > Dans la partie centrale vers 1295 à 1300 La formulation est sous forme de Maxime

et (EF) sont parallèles. Le quadrilatère ABED est un rectangle : les égalités AM = 3 AB et DN = 3 DE entraînent l’égalité des lon4 4 gueurs AM et DN. Il en résulte que le quadrilatère AMND est un parallélogramme (et même un rectangle) et donc le parallélisme des droites (MN) et (BE). (PN) et (NM) sont deux droites sécantes du plan (MNP). Elles sont parallèles, respectivement, à (EF) et (BE), deux droites sécantes du plan (BEF). Nous sommes dans les conditions d’utilisation du théorème 4 : les plans

L'anaphore (F) : procédé d'amplification rythmique, répétition d'un élément identique en tête de phrases, de membres de phrases ou des vers successifs. «Mon bras, qu'avec respect toute l'Espagne admire,/ Mon bras, qui tant de fois a sauvé cet empire» Le Cid, Corneille  Les effets de l'anaphore sont variés et dépendent de l'intention du locuteur. Ils sont avant tout proches de ceux recherchés dans le phénomène du refrain ou de la répétition : surprise, énumération, symétrie de forme, litanie et incantation

Lecture analytique n° 9 : « Le Cid I,6 » Rodrigue vient d’apprendre l’offense faite à son père , Don Diegue, par le père de Chimène. Don Diègue, âgé, n’a pas pu se venger lui-même et conjure son fils de laver l’affront du soufflet. Il lui remet son épée. Rodrigue se retrouve sel et ne sait pas s’il va venger son père en tuant le père de celle qu’il aime. LECTURE Comment s’exprime le dilemme de Rodrigue ? Nous nous intéresserons tout d’abord au douloureux problème du choix... I-