Parallélisme Le Cid

Vivre en ses parents le reste de son âge. (clausule) Signalons, pour terminer, qu'il existe aussi une période dont les membre successifs augmentent régulièrement (ou diminuent régulièrement) de volume, comme dans les déplorations de Don Diègue, dans Le Cid de Corneille : « Ô rage ! ô désespoir ! ô vieillesse ennemie ! ». Dans ce cas, on parle d'une période rhopalique (du grec rhopalos, la « massue », dont une extrêmité, la masse, est beaucoup plus grosse que l'autre, le manche). (ii) Le parisosis est

Renaissance est très passionné et humaniste. Les poètes parlent de la beauté, de la tristesse de la perte et des amours qui « durent en tout temps ». Le sonnet «  Tant que mes yeux pourront larmes épandre... » décrit l'amour perdu. Le poète utilise le parallélisme et un champ lexical rempli des mots négatifs pour exprimer son désespoir. Dans « Quand vous serez bien vieille... », Ronsard essaye d'immortaliser l'amour et en même-temps d'évoquer l'importance de la phrase « Carpe diem ». Finalement, en « Chant

: un sens propre une métaphore poétique une métonymie une synecdoque une métaphore lexicalisée Întrebarea nr. 255 «La jeunesse change ses goûts par l'ardeur de sang et la vieillesse conserve les siens par l'accoutumance.» [La Rochefoucauld] Le parallélisme des deux propositions ccordonnées dans cette phrase est fondé sur : trois paires de synonymes trois paires d'antonymes trois métaphores trois métonymies 0 points Save Întrebarea nr. 256 0 points Paris met cette compagnie d'assurances

le fond du poème mais également dans la forme qu’il choisit. 4Passent les jours et passent les semaines Ni temps passé Ni les amours reviennent Sous le pont Mirabeau coule la SeineVienne la nuit sonne l’heure Les jours s’en vont je demeureLe parallélisme de construction : « Passent les jours passent les semaines » du v 19 montre qu’Apollinaire finit par se résigner. Alors qu’il utilisait, plus tôt, le topos du temps qui passe, il surprend le lecteur avec un motif inattendu celui du temps qui ne

d’écriture : - utilisation de maximes et de formules générales - l’emploi de la litote qui permet le respect de la bienséance - la multiplication des effets de parallélisme et de symétrie Manifestes et écrits théoriques : - Commentaire sur Desportes (Malherbe, 1608) - Art poétique (Boileau, 1674 1683) Ecrivains et uvres : - Corneille, Le cid (1637) - Bossuet, Oraisons funèbres (1668 1687) - Racine, Andromaque (1667) - Molière, L’Avare (1668) - La Fontaine, Fables (1668 1693) - Mme de La

comique suscite le rire du lecteur. Pour cela, le texte met en œuvre : Des répétitions Des figures de style par analogie (comparaisons, métaphores, etc.) Des figures de style par amplification (hyperboles, gradations, etc.) ou par construction (parallélismes, hypallages, etc.) Un lexique connoté Une alternance des registres de langue soutenu et familier Registre épidictique Un discours au registre épidictique tend à faire l'éloge ou le blâme de ce qu'il évoque (personne, situation, objet, etc.). Pour

|Figure consistant à dire moins pour faire |Effet d'insistance sur un |Chimène à Rodrigue dans Le| | | | |comprendre plus. Le verbe est en général à la |jugement en demandant à |Cid : Va, je ne te hais | | | | |forme négative. Fausse atténuation. |l'interlocuteur de décoder le |point (Corneille). Ce | | | |

moins pour faire comprendre plus. Le verbe est en général à la forme négative. Fausse atténuation. Effet d'insistance sur un jugement en demandant à l'interlocuteur de décoder le message, créant une connivence entre eux. Chimène à Rodrigue dans Le Cid : Va, je ne te hais point (Corneille). Ce garçon n'est pas très doué, pour dire qu'il est très mauvais. métaphore n.f. RHET Figure qui consiste à instituer une analogie entre un comparé et un comparant, sans comparatif (contrairement à une comparaison)

«orateur»), est l'art ou la technique de persuader, généralement au moyen du langage. Thème de l’opposition Chiasme-Antithèse-opposition-Antiphrase-Ironie-Antilogie- contradiction -Zeugma-Anacoluthe-Oxymore Thème de la répétition Anaphore-Parallélisme-Pléonasme-répétition -Assonance -Allitération Thème de la comparaison et de la substitution Comparaison-Métaphore-Métonymie-Antonomase-Catachrèse-Hypallage Thème de l’exagération et de l’atténuation Accumulation Hyperbole Gradation (et

c'est une atmosphère de conflits qui est réciproque : nous nous incommodons. Ce conflit est marqué par les oppositions de pronom personnels tels que : je ? vous; nous nous ? vous vous. Cela renforce l'idée d'une situation conflictuelle. Les parallélismes : vous êtes las; je suis bien las montrent quel est l'état d'esprit de Dom Louis, son découragement, sa lassitude, et qu'il s'agit d'une situation de crise. 2 Lamentations du père : apostrophe à lui-même: Il y a une opposition entre ce qu'il