Paralogisme

de paroles ou des idées Stéréotypies, persévérations 9 05/04/2011 a-Dissociation intellectuelle      Altération du langage Écholalie : répétition en écho des dernières paroles Néologismes : emploi de mots inexistants Paralogisme : emploi impropre d’un terme existant Schizophasie : langage incohérent, hermétique b-Dissociation affective   Déconnexion entre le contenu de la pensée et le vécu affectif Réactions émotionnelles inadaptées au contextes (rires immotivés)

L’orateur se sert de l’exemple pour frapper la vue de l’auditoire en s’appuyant sur des faits concrets. b- LE RAISONNEMENT DÉDUCTIF : L’orateur part du général pour s’appliquer au particulier (comme dans le syllogisme). 3- Les arguments FALLACIEUX (PARALOGISMES ou SOPHISMES) —> pour avoir raison, l’orateur quitte le champ de l’affectif ou du rationnel et tente de manipuler son auditoire par des méthodes parfois contestables : a- La PÉTITION DE PRINCIPE, qui pose comme admis ce qu’on devrait prouver («

trompent quelquefois, je voulus supposer qu’il n’y avait aucune chose qui fût telle qu’ils nous la font imaginer. Et, parce qu’il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes , jugeant que j’étais sujet à faillir autant qu’aucun autre, je rejetai comme fausses toutes les raisons que j’avais prises auparavant pour démonstrations. Et enfin, considérant que toutes les mêmes pensées que nous avons étant éveillés, nous peuvent

parfaitement) doit nous inciter à prendre en compte la sensation mais ne pas en déduire une quelconque connaissance. Ensuite l’absence de confiance que l’on peut placer dans la raison (même non altérée par une maladie mentale) peut nous mener vers des paralogismes, voire des sophismes. Chacune de ces formes respecte en apparence les règles de la raison mais est capable de parvenir à des résultats erronés. (ex. : il y a de gruyère plus il y a de trous, plus il y a de trous moins il y a de gruyère donc plus

vérité, quand bien même toute la réflexion se constitue de vouloir le confondre avec elle (quand je réfléchis, je suis forcé de nommer « vérité » la réponse que l’on aurait raison de donner aux questions que je pose, et par là d’être aveugle au paralogisme que cela constitue). Il n’y parvient pas pour une raison très bonne et repérée depuis longtemps : à toute réponse il faut encore accorder ce que les stoïciens nommaient notre « assentiment » c’est-à-dire une validation par quoi chacun fait advenir

conséquence est incluse dans les prémisses, le résultat est dit analytique, si la conséquence est extérieure aux résultats, le raisonnement est dit synthétique. Syllogisme/ Paralogisme: Le syllogisme désigne un raisonnement analytique, une déduction à partir de prémisses dont on extrait de nouvelles informations. - Le paralogisme désigne un raisonnement comportant toutes les apparences d'une déduction logique, mais dont le déploiement s'avère faux, et ce, dans le but de tromper volontairement l'auditeur

liberté, l'âme). La raison « pense » par principes et lorsque l'application des principes se fait hors de l'expérience, c'est-à-dire dans le champ des noumènes (par opposition aux phénomènes), cela risque de se manifester par des antinomies, des paralogismes, etc. Kant critique ainsi l'application qui peut être faite du cogito de Descartes au service d'une pseudo-connaissance métaphysique de l'âme comme substance, et le risque que certaines applications entraînent des raisonnements fallacieux. Auguste

lorsque j’accomplis par moimême le raisonnement, je ne suis pas à l’abri de toute erreur. Comme le remarquait Descartes, « il y a des hommes qui se méprennent en raisonnant, même touchant les plus simples matières de géométrie, et y font des paralogismes » ; et comme je suis « sujet à faillir autant qu’aucun autre », alors il me faut rejeter « comme fausses toutes les raisons que j’avais prises auparavant pour démonstrations ». S’il suffisait de raisonner pour bannir toute erreur, alors nous

chose résiste-t-il au doute à partir duquel édifié un savoir véritable ? L'itinéraire de la pensée est ici une version simplifiée de celui des Méditations métaphysiques. Les sens sont trompeurs Mon esprit est sujet à faillir : argument du paralogisme, rejet des sciences Mes pensées seraient-elles douteuses ? Argument du rêve Le cogito : je suis, j'existe (simultanéité de la pensée et de l'existence). Certitude de l'existence de Dieu. Mais, si c'est une plus grande perfection de connaître

problème majeur : la visibilité. Si on fait abstraction de la méthode pour se concentrer sur les résultats attendus d'une politique, l'histoire semble révéler l'efficacité des politiques économiques. Cependant ce raisonnement équivaut à formuler le paralogisme suivant : « la politique économique X à pour but Y, quelques années après avoir mené X à terme on a atteint Y, donc X est efficace ». Cette axiome est totalement incertain dans la mesure où il ne prend pas en compte la conjoncture. Malgré l'accomplissement