Parasite Dans Tartuffe

gesellschaftliches Kuriositätenkabinett .............................. 31 » L'École des femmes«: grande comédie und Literaturskandal......................... 32 Molières Replik in der » Critique de l'École des femmes« ................................. 35 »Le Tartuffe«: der fast vollkommene Triumph des Heuchlers............................ 43 »Dom Juan ou le Festin de Pierre«: Libertinage als Surrogat des funktionslos gewordenen Feudaladels............................................................... 58 Das

être pris dans plusieurs sens. D’abord, il souligne le côté frappant d’un tel personnage, mais il permet aussi de donner une dimension symbolique, car Knock vient frapper à la porte de notre crédulité. Mais il est aussi, par son nom, l’intrus, le parasite qui vient s’introduire dans notre intimité et jouer de nos peurs les plus profondes. Les autres personnages On peut les regrouper en un groupe spécifique, puisque tous apparaissent comme des moutons de Panurge, même l’ancien médecin à la fin de

Dandin. Rapidement, L'Avare alterne à l'affiche avec d'autres pièces, comme Amphitryon ou Le Médecin malgré lui, puis un coup fatal lui est porté*, si l'on peut dire, par l'autorisation enfin accordée à la troupe, au terme de la fameuse « affaire du Tartuffe » de représenter cette pièce, le 5 février 1669. C'est donc un demi-échec que nous avons du mal à nous expliquer: peut-être l'emploi de la prose y est-il pour quelque chose ? On peut l'imaginer quand on sait l'attachement du public du XVIIe siècle

La pice fut mal accueillie parce que, bien quune grande comdie, elle tait crite en prose. Molire avait-il renonc soumettre le texte aux ncessits de la mesure et de la rime parce quil tait malade, dcourag par la violence des attaques lances contre Tartuffe Il reste que cette prose rend le texte plus simple, plus clair, plus rapide, plus vivant. bien tudier le texte, on y dcle de nombreux vers blancs. Pour le comdien Michel Bouquet, cest une des proses les plus efficaces quon ait jamais crites pour

aussi une satire envers lʼhypocrisie, le fabuliste dénonce, comme Rabelais avant lui, la gourmandise des moines, retirés du monde seulement pour assouvir leurs désirs. Le dévot de la fable abuse de la crédulité de ses congénères et se comporte en Tartuffe. Conclusion:Grace a ce récit,la fontaine nous instruit,développe une satire,elle est traditionnelle pour son époque,elle renvoi surtout à la critique des moines qui ne respecte pas leurs voeux. Nous retrouvons dans Le Rat qui s'est retiré du monde

et des travers. Molière développera cet aspect selon le vieux précepte antique : : la comédie serait l’art de corriger les mœurs par le rire. Cette dimension conduira Molière jusqu’à la polémique et au scandale avec : L’ Ecole des femmes et le Tartuffe. Il explorera aussi d’autres voies, comme celle de la farce, avec, Georges Dandin, Le malade imaginaire, le Bourgeois gentilhomme, puis celle de la tragi- comédie avec : Dom juan. A la différence de la tragédie, la comédie classique n’est pas strictement

également d’argumenter ? Extrait 1 : L’homme qui rit, V. Hugo. Extrait 2 : Le père Goriot, H. Balzac Extrait 3 : Ruy Blas, V. Hugo Extrait 4 : Dialogue entre Armande et Henriette, Les Femmes Savantes, Molière Extrait 5 : Tirade de Cléante, Le Tartuffe, Molière Extrait 6 : Stances à Marquise, Corneille 1) Groupement de texte Extrait 1 : L’homme qui rit, V. Hugo : Notion importante : Différence entre convaincre et persuader. Convaincre revient à présenter des arguments relevant de la raison

L’atellane (d’Atella, petite ville aux environs de Naples) serait l’ancêtre de la commedia dell’arte. Elle se joue sur un simple canevas. Les acteurs incarnent des types comiques fixés une fois pour toutes : le rustre, le vieillard avare, le philosophe parasite, le gros joufflu. C’est une farce très épicée, avec moult quiproquos, coups de bâtons, borborygmes… que corse une pointe de satire politique. Le théâtre religieux médiéval (vignette) Au Moyen Age, l’Eglise condamne le théâtre qui célèbre les

Sophonisbe (tragédie) - 1634 o La Virginie (tragicomedy) - 1636 • Tristan L'Hermite (1601-1655) o Mariamne (tragédie) - 1636 o Penthée (tragédie) - 1637 o La Mort de Seneque (tragédie) - 1644 o La Mort de Crispe (tragédie) - 1645 o Le Parasite - 1653 • Jean Rotrou (1609-1650) o La Bague de l'oubli (comédie) - 1629 o Belle Alphrède (comédie) - 1639 de La o Persécutée de Laure (tragicomedy) - 1637 o Le Véritable saint Genest (tragédie) - 1645 o Venceslas (tragicomedy) - 1647

Besterman, Édinbourg, Court of the Univ. of St. Andrews, 1967, p. 171-87. Robert Favre, « L’Ombre de la mort sur Jacques le fataliste », La Mort en toutes lettres, Nancy, PU de Nancy, 1983, p. 83-93. Otis Fellows, « Présence de Molière dans Diderot : Tartuffe intexte dans Jacques le fataliste », Diderot Studies, 1981, n° 20, p. 99-107. Giovanni Ferrari, « Diderot, Jacques le fataliste et son maître », Les Lettres Romanes, Aug.-Nov. 1982, n° 36 (3, 4), p. 213-233, 295-315. Jean Garagnon, « Diderot et