Parataxe

1 : 1er mot est “j’entends”, montre déjà l’effet général de ce mvt, centré sur le son. C’est une parataxe, il n’y a pas de lien logique entre les propositions. Cela permet la gradation “il rit, il crie, il éclate”. Assonance en i, insistance sur le son. Métaphore “tonnerre” insiste/explique le verbe “éclate”. Phrase 2 : rupture de style, plus de parataxe mais de la syntaxe. Explique un autre défaut de théodecte, 1e phrase était sur la forme (il parle fort) et là

que l'action soit interrompus par la description, la tension dramatique se déploie. La chapelle est la seule marque de civilisation au cœur d'une nature sauvage, inhospitalière, voire menaçante :  roche, mer, dever bise....  Le style abrupt (parataxe) dû à la post-position du verbe d'état v. 917, favorise la juxtaposition de groupes nominaux et se veut mimétique du cadre spatial.  Tous les éléments semblent se liguer pour menacer le héros: terre = roche, falaise, plein de pierre aaise (gradation

construction syntaxique des phrases qui repose sur la subordination, aboutissant à des phrases complexes. Proust en est un amateur particulièrement marquant, amplifiant à l’extrême la longueur de ses phrases par la multiplication des subordonnées. Parataxe : le rapport logique entre deux propositions n’est exprimé par aucun instrument de subordination ; on a affaire à - des propositions indépendantes [PI] (phrases simples) - des propositions juxtaposées [PJ] (elles sont réunies en une seule phrase

invariable, sémantiquement vide, pas de rôle syntq dans la prop. ∙ pronom relatif ou interrogatif : variable, représente nom/antécédent, fonction syntq dans la prop. → polyvalence de « que » - particularités par rapport au FM  ∙ effet de parataxe : « que » effaçable, surtout conjonction (relatif peut être aussi omis) ∙ conjonction « que » peut introduire un prop. circonstancielle (aujourd’hui, besoin de locutions) I. « Que » conjonction de subordination 1) Introduit

Bruyère (« Ménalque ») : « […] Ménalque se jette hors de la portière, traverse la cour, monte l’escalier, parcourt l’antichambre, la chambre, le cabinet ; tout lui est familier, rien ne lui est nouveau ; il s’assit, il se repose, il est chez soi. ». La parataxe est, quant à elle, une forme d’asyndète qui consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore pour

l’intérieur d’un même syntagme groupe de mots formant une unité par son sens et par sa fonction, à l’intérieur de la phrase. Exemple dans Le Cid de Corneille : « Cette obscure clarté qui tombe des étoiles […] » (acte IV, scène 3). Parataxe (féminin) : La parataxe est l’absence de subordination entre les propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou

ironique de la part de La Bruyère car ce personnage est le type même de l'égocentrique : « Pamphile ne s'entretient pas avec les gens qu'il rencontre » (l.401); plus loin, ses airs sont qualifiés d'« hautains ».b. En quoi la syntaxe (énumérations, parataxe, asyndète...) vient-elle appuyer la construction du portrait moral de son personnage ?Le portrait que fait ici La Bruyère de Pamphile est comme toujours de nature psychologique et non physique, mais pour bien en brosser le caractère, le moraliste

consiste à exprimer une idée par son contraire. L’ironie repose souvent sur l’antiphrase. Antonomase : Remplace un nom par un nom propre et vice versa Assonance : C’est la répétition d’une même voyelle dans une phrase ou un vers. Parataxe : La parataxe est l’absence de subordination entre les propositions. Paranomase : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Stichomythie : La stichomythie est la partie

existe deux grands systèmes qui sont l’hypotaxe et la parataxe. La Cigale décide une fois de plus de manifester sa supériorité par rapport au Renard. Elle montre qu’elle est plus forte et comme elle tient à faire comprendre au Renard qu’il n’est ni plus ni moins qu’un employé pour elle, elle l’oblige à comprendre les rapports manifestés par l’hypotaxe. Le Renard lui l’utilise beaucoup moins et serait volontiers rester dans la simple parataxe. Les adverbes sont présents que dans les discours de la

notions (exemple : « boire la mort » pour « boire le poison »), ou de contenant à contenu (exemple : « boire un verre » pour « boire le contenu d’un verre ») ou encore de partie à tout (exemple : « une lame » pour dire « une épée »). Parataxe (féminin) : La parataxe est l’absence de subordination entre les propositions. Paronomase (féminin) : Une paronomase consiste à employer côte à côte des mots dont le sens est différent, mais le son à peu près semblable. Exemples : « Qui vivra verra. » ou