Parataxe

tremblements de terre : « moyen plus efficace », « secret infaillible » ; • le choix des victimes de cet autodafé : lien logique de conséquence entre le 1er et le 2eme § (« en conséquence ») • le déroulement de l'arrestation et de l'exécution : parataxe (les deux-points ayant valeur de conséquence), la signification des dessins peints sur les mitres, les différents supplices infligés. - Or, bien sûr, rien n'est logique dans cette démarche : • L'expression « secret infaillible » (1.5) renvoie

pouvons boire un verre. Ces propositions répondent à la question quand. 4. La participiale peut être temporelle (noyau verbal au participe, construction détachée, gn comme support au verbe) : l’air devenu serein, il partit tout morfondu. 5. Parataxe à l’indicatif : avec la locution adverbiale à peine qui marque l’antériorité du fait subordonné, en tête de proposition, un que de ligature marquant la pause : à peine étions nous partis que l’orage, éclata (postposition du sujet, recours à l’imparfait

assortis de connotations péjoratives (" déchaussé ", " enduits de cire ") et impression un peu pitoyable (" ploiement des genoux ", " beaux vêtements d'apparat "). - Lors de l'entrée au château (paragraphe 2), Maupassant utilise le procédé de la parataxe pour renforcer l'aspect mécanique, voire déshumanisé du moment. 2) Un monde fini - Tout ds cette scène évoque le passé, la survivance d'une autre époque. - " Un vieux domestique ", 2 personnages " sans âge appréciable " (le thème du tps

du texte. Seconde lecture 2) Puis avec des couleurs: - Les champs lexicaux par exemple amour ou mort... - L'énonciation ( je/tu/vous, il/ils, indicateurs spatio-temporels, temps verbaux, point de vue) - La syntaxe, phrases brèves (parataxe) ou phrases longues (hypotaxe) description, démonstration, addition, opposition, connecteurs logiques - Les figures de style (opposition : antithèse, oxymore, épanorthose ; atténuation : litote, euphémisme ; analogie : comparaison, épanorthose

......................................................................................... 4 Asyndète/Polysyndète................................................................................................................................... 4 Parataxe .......................................................................................................................................................... 5 Ellipse.................................................................................

démonstration : 1 : Indicateur temporel de simultanéité. Locution en anaphore, aux vers 5 et 8 formant autour, formant une boucle autour du deuxième quatrain. 2 : Parataxe pou exprimer la simultanéité de la joie et de la peine. V.1 = parataxe qui accélère le rythme pour donner l’impression que tout arrive en même temps. Parataxe = absence du mot de liaison. 3 : Conjonction “et“ pour exprimer la simultanéité des sentiments et sensations apposées. V.1, V.3 : redoublement de la conjonction de coordination

poème. En quoi cet Ode révèle-elle certains aspect de l’esthétique Baroque ? I- Une Ode à la composition et au climat particuliers • 1er dizain : - construction syntaxique particulière : enchaînement de proposition -> procédé juxtaposition/parataxe (sans lien de coordination, simplement avec de la ponctuation [«, » ou « ; »]). ⇨ cette construction forme une seule et même phrase dans chacun des 2 dizains. - emploi qui semble destiné à montrer que les événements s’enchaîne très rapidement

Bruyère (« Ménalque ») : « […] Ménalque se jette hors de la portière, traverse la cour, monte l’escalier, parcourt l’antichambre, la chambre, le cabinet ; tout lui est familier, rien ne lui est nouveau ; il s’assit, il se repose, il est chez soi ». La parataxe est, quant à elle, une forme d’asyndète qui consiste à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. Catachrèse (féminin) : C’est une figure qui consiste à employer un mot par métaphore pour désigner

SI = élément perturbateur direct « un jour » v1 et 2 puis enchaînement péripéties jusqu’à SF v32 « Bref il s’en tire » = 4 syllabes. V14-15 = ellipse narrative = rapidité. - Dynamisme créé par absence de mots de liaison = parataxe asyndétique v16-17-18-19 v 30 31. Parataxe syndétique V20-21 v25 = simplicité de la syntaxe. Enjambements fréquents V5-6 8-9 18-19. - Dynamisme accentué par diversité de la métrique : EP = alexandrin et péripéties = octosyllabe v3 à 12 : impression de rapidité des

d'articulations: -parataxe,subordinat°,coordinat° Dernier vers:retour au départ:poème circulaire 2)Des themes pétrarquistes et platoniciens(cf déf° ds l'Intro) Registre lyrique et élégiaque:chant lyrique funèbre à l'origine=plainte via l'expression de sentiments mélancoliques Ame/corps/Amour 3)et des figures de style... Prolifération ds antitheses :apellé sonnet ds paradoxes Dualité des sentiments Sensat° de chaleur et de froid marquent la presence et l'absence de l'autre Parataxe(juxtaposit°)