Parataxe

concentré (énonciation dans le paratexte, élément déclencheur au début, accélération des évènements) montre le caractère instinctif de l’amitié dans la précipitation et l’urgence (succession de verbes d’action, et de passé simples à certains endroits, parataxe, compléments de temps : “demi-heure“, “dix minutes“) - Impression que l’histoire se déroule devant le lecteur (verbe au présent) B. L’humour et le réalisme - L’humour rend la violence très vive (théâtralisation et hyperbolisme

une ampleur majestueuse à l'évocation du personnage : v. 5-6 ; 11-12 ; 19-20 ; 26-28 ; 34-36 Ex : v. 2-4 = double enjambement qui rend bien l'impression d'inéluctable conquête. A l'inverse, v. 13-14 : - L'absence d'enjambement - L'asyndète (parataxe) - L'anaphore / "il entra, il en sortit"         -> Image dynamique de la prise du Pont d'Arcole en 1796 2. Les derniers vers / Napoléon III Pas d'enjambement Précédés d'un double signe de ponctuation très fort : point + tiret Répétitions

féministe. - principaux thèmes : identité féminine, la place et le rôle des femmes dans la société, l’émancipation des femmes, droits des femmes. - texte philosophique , recours au registre didactique et descriptif. - procédés les plus utilisés = parataxe et présent de vérité générale (va ancrer le discours dans une évidence qui se place en dehors du temps et de l’espace) - extrait célèbre : « On ne naît pas femme, on le devient » signifie qu’une femme n’agit pas en fonction de sa biologie mais selon

Colérique. · Frimeur, prétentieux, imbu de sa personne (se croit supérieur) · Imprudent, excès de confiance en lui (dikkenek) 10. Par quelles figures de style, procédés le personnage est-il caricaturé ? · Hyperboles · Enumérations · (Antithèses) · Parataxe · Anti-honnête homme 11. L’auteur juge-t-il son personnage ? Si oui, où et comment ? · Arrias n’est pas ce qu’il voudrait être. · Sethon : jeu de mot 12. Quel est le ton du portrait ? · Ironique et satirique. 13. Ce genre de personnage existe-t-il

l'action. Par ailleurs, la parataxe et les deux rythmes ternaires composés l'un d'adjectifs, l'autre de noms ("rêveur, embarrassé, capable" et "le ministre, la maîtresse, le favori") soulignent l'impression de vitesse dans le récit. Dans le second paragraphe, on assiste à un rapport de paroles au discours direct qui donne l'impression au lecteur d'assister réellement à la scène. On relève notamment une gradation : "ces souhaits, ou imaginations, ces rêves" qui, associée à la parataxe accélère le rythme.

son maître avec des hyperboles « le grand Caire » v. 450, « fleuve de larmes »… avec des mots importants à la rime, tels que « arme » et « larmes» . On retrouve également un affirmation forte avec l’anaphore « aviez », « veniez », « raser ». La parataxe donne aussi un certain effet. Matamore, grâce aux discours de Clindor, devient la parodie d’un héro épique. b) Isabelle Isabelle n’a qu’une seule réplique mais qui renforce le ridicule de Matamore par sa force ironique. Cette réplique est modalisée

haine; je me meurs.      Du sérail d'Ispahan, le 8 de la lune de Rebiab 1, 1720. I. Une femme libre        A. Grâce à la paroleregistre lyrique : utilisation du 'je' → émergence de l'individu au sein d'un groupeaffirmation de Roxane par le « oui » . Parataxe (= au dernier paragraphe) avec un rythme crescendo (opposition affreux et délices). Roxane se met au centre avec 4 'je' comme sujet et 'tu' (désignant Usbek) comme complément.antithèse avec Oui et Non ( (revendication) qui amène de la force au récit

d’amplification a. L’hyperbole : exagération des termes de façon à grandir ou à diminuer excessivement la réalité évoquée. Ex : « Je me meurs, je suis mort, je suis enterré » Molière. N.b. repose sur une asyndète (absence de coordination) et sur une parataxe (absence de subordination). b. La gradation : qui ordonne les termes de lanière croissante ou décroissante. Elle crée un effet de dramatisation. Ex : «  C’est un roc ! C’est un pic ! C’est un cap ! … » Rostand. c. L’anaphore : répétition d’un

De "Electre: Oreste!" jusqu à "M'aimes-tu?": Premières réactions après le matricide et annonce de la malédiction a. L'émotion d'Electre La didascalie,le lexique lié aux émotions , les formule interrogatives et exclamatives des phrases, la parataxe asyndétique (accélère, le rythme) b. Electre , un personnage héroïque Formulation catégorique à la négative (3 occurrences) ou à l'affirmative dont cette phrase qui résonne comme un sentence , sache qu'elle est morte c. Le registre pathétique

ici: - des phrases très courtes - un vocabulaire élémentaire - un minimum de liens logiques: des phrases plus juxtaposées que coordonnées: J'ai pris l'autobus à 2 heures. Il faisait très chaud. J'ai mangé au restaurant chez Céleste". C'est la parataxe. La forme narrative, elle, hésite entre celle du journal où les événements sont rapportés en fin de journée et celle du récit qui s'écrirait pratiquement en même temps que les événements sont vécus, évoqués au fur et à mesure: - le aujourd'hui