Parataxe

forme, car elle rend parfaitement compte du caractère et du défaut principal d’Arrias, qui est le bavardage.On peut parler d’un strict rapport d’homologie entre la forme du texte et son contenu, car quooi de mieux que l’utilisation abondante de la parataxe pour rendre compte de la volubilité du personnage. Le champ lexical de la parole est dominant dans cette phrase « prend la parole », « discours », « récite » et « rit » ; rien n’arrête Arrias qui ne cesse de mentir et qui prend un réel plaisir à

nous montre que les victoires guerrières ne compensent jamais les horreurs commises. Parallélisme avec l’état de paix puisqu’après avoir énuméré (accumulation/juxtaposition) les termes positifs, il accumule et juxtapose des termes négatifs (parataxe/asyndète) : la ruine, le désordre social, plus de libertés et le désastre économique (citer le texte). Deuxième argument : Retour à la réalité et registre pathétique. (deuxième paragraphe, à partir du connecteur logique « mais ») : - A travers

nouvelle fois négative . La rapidité de déplacement des français soulignée par la comparaison entre les machines françaises et les voitures lentes d’Asie Ligne 12 . Ligne 12 : « Ils courent , ils volent . » : → Designe les Francais . Exagération → PARATAXE ( proposition simple qui s'enchaine ) , mis en opposition avec les « les voitures lentes de l'Asie » qui reproduit la lenteur Asiatique . Ligne 14: « train » : Renvoi a l'allure excessive . Ligne 15 : « Chrétiens » : Manière de créer une complicité

sera appelée le déterminisme (ensemble de principe laquelle un rapport de cause à effet conditionne tous les faits de lanature, y compris les actes humains). Ainsi, c’est parce qu’il a reçu une balle dans le genoux qu’il a RENCONTRÉ l’amour.  La parataxe(mode de juxtaposition(metre,cote,a ;cote) de phrases, sans mot de liaison) expliquant leur relation utilisée dans ce passage mime l’enchaînement des actions et leurs rapports de cause à effet = La fatalité sous-entend que rien n’arrive par hasard

littérature conventionnelle * La Sensibilité est exagérée ce qui provoque le ridicule * Provision d’images (≠idées) dans les livres lus « Ce n’étaient que … » → énumération (l.10) qui va même jusqu’à l’accumulation * Longues phrases → parataxe * 2 périodes : → roman sentimentaux (15 ans) → (l.16) romans historiques (W.Scott) * Insistance sur les amours romantiques/maudits * Amant aventurier * Femme persécutée → Mythe de la passion liée à la souffrance « Troubles

Alcools : sujet de dissertation Une poésie, pour être moderne, doit-elle systématiquement s’opposer au passé et à la tradition ? Votre réponse s’appuiera sur votre lecture d’Alcools d’Apollinaire.I. Apollinaire s’inscrit dans une tradition poétique : il reprend à son compte un héritage lyrique. Apollinaire s’inscrit dans une tradition poétique, cultive les archaïsmes, les références mythiques pour nourrir sa voix lyrique. 1) Un jeu d’intertextualité

maîtresse (L135 : hyperboles) : énoncé de plus en plus bref. L'absence de didascalies : on imagine les gestes et les attitudes de Cléanthis par la variété de son intonation. Rapidité avec laquelle elle mène le récit : vivacité renforcée par la parataxe (L136-137) ou style coupé. Double destination du théâtre : l'acteur s'adresse non seulement aux personnages sur la scène, mais aussi aux spectateurs. On a donc une vrai mise en abyme : miroir de la pièce à l'intérieur d'un passage précis.

1- Deux points de vue du personnage *Celui d’Arrias lui-même ( il croit tout savoir), et celui du narrateur ( « a tout lu, tout vu » : hyperbole qui montre l’excès de l’opinion qu’il a de lui-m. *Construction par juxtaposition : la parataxe « a tout lu, tout vu, il veut le persuader ainsi » : sous-entendu ‘il veut le persuader ainsi’ = du moins il veut le persuader ainsi . STYLE PLEIN DE SOUS ENTENDUS * « il aime mieux mentir que de se taire ou de paraître ignorer qqch » :

sentiments * Organisation du poème autour de cette antinomie (bonheur/malheur) Recours à de nombreuses antithèses. V1 « je sèche et je verdoie » Recours à de nombreux parallélismes V10 //v12 « quand + verbe+ » * Fusion de deux états contraires Parataxe V1 « je vis,je meurs » qui superpose les deux états Les associations avec la répétition de la conjonction de subordination « et » V1 ;v3 ;v5 ;v6 ;v7 ;v8 ;v10 ;v13 Le gérondif V2 »en endurant froidure » Des expressions comme « tout à coup »/ »Tout

« ventre » par l'adverbe « très » et son âge « un très jeune ventre de 16 ans » repris par le terme « une enfant » et la métaphore ronsardienne «  une fleur à peine éclose » l 7 (cf « Mignonne allons voir si la rose... » poème de Ronsard) Puis par la parataxe, il assène une suite de vérités accablantes qu'il énonce clairement en mettant l'accent sur sa responsabilité : « moi »l 6, « j' » l 8, «ma» l 9. Il emploie des mots très durs pour se qualifier «  assassin » « meurtrier » l 6 et pour caractériser