Parataxe

signification que celle d’un simple caprice. Acte sans grande importance. Usage de la parataxe dans tout ce paragraphe 2 : phrases qui s’enchainent par simple juxtaposition. Succession rapide d’action * La mention de la perte du ruban, son usure ainsi que la subordonnée causale : ‘Comme je ne le cachais guère » minimise la gravité du vol. - L’enquête et la dénonciation : * Accusation de Marion (= même usage de la parataxe). Présent de narration qui réactualise la scène. * Rousseau explique l’accusation

dénoncent aussi la malnutrition et l'embonpoint de Giton (ch lex du corps + développé chez G, il se montre alors que Ph se cache) e) chute finale « Il est riche/Il est pauvre »2phrases brèves qui proposent l'explication , construct° sans connecteur = parataxe. C'est le lecteur qui établit le lien logique de cause, implicite. f) « ON » = les gens qui en général entourent ce type de pers ont eux aussi un comportement ridicule (il s'arrête et l'on s'arrête » « il continue de marcher et l'on marche »... =

personnages sont des marionnettes, des portes paroles. 3). Le lancement de l’intrigue Grâce au schéma narratif : - SI : présentation, stabilité, euphorie Péripéties : accumulation d’’aventures avec abondance & construction en parataxe (81~90) Élément de résolution : lorsque le baron découvre Cunégonde & Candide, et chasse Candide  lance toutes les aventures. Situation finale : « Tout fut consterner » = retour a la stabilité=figée. 1).Référence littéraire

découvre Nihad, le frère des jumeaux, qui, plus tard, se révélera aussi être le père, Abou Tareq. I. Une scène d’action 1. Didascalies à fonction narrative et descriptive • Met en scène le personnage : « Un jeune homme en haut d’un immeuble » • Parataxe qui marque l’efficacité et la rapidité de Nihad, et donc la maîtrise de son « art » : « Tire de nouveau,
recharge, s’’immobilise et tire encore. », « Il tire un coup, recharge très rapidement », etc… • Insiste sur la rapidité et la précision : «

voir en actions (effet d’objectivité) B. Un portrait excessif: - Une course effrénée du matin au soir 26 verbes d’action dont 14 de mouvement sur 34 verbes au total. - Un pantin tournant en rond Accumulation d’actions sans lien entre elles ; parataxe. 3 fois le verbe « revient » d’où l’impression d’un pantin, aux gestes saccadé tournant en rond. - Une passion exagérée et théâtralisée ü « vous le voyez planté.. » impression de théâtre : actions peu naturelles, exagérées. ü « où il se fixe,

hiérarchie (mort de sa mère = mort de l'oncle d'Emmanuel ) -Mise à plat des différents éléments consignés , écart sévère par rapport à la norme traditionnelle . Ecriture sans image , rien de littéraire (qualifiée d'écriture blanche) . Privilège de la parataxe à la syntaxe . -Impression qu'on aurait pu l'écrire en CM2 , style immature , écriture enfantine === > > > Tout est flou , sentiment d'être exclue créer la surprise , sentiment d'être à l'écart nous donne envie d'aller plus loin . II_ Un personnage

être profond → illusion (« vous croyez », « doit vous paraître »). └> Souligne le caractère injuste de ce jugement : opposition de la noblesse de son être à la médiocrité de son paraître mais échec → RB pathétique. Discours déstructuré (parataxe, pas de lien logique) et décousu (propositions indépendantes courtes) = pensée désordonnée (culpabilité → amour → culpabilité → amour) → pathétique. « toujours à genoux », « joignant les mains » : didascalies avec intensité croissante → pathétique

de la concision, condensation, puisqu’il il décrit sa vie en 2 paragraphes. Sa vit se déduit de l’implicite. On a un portrait dynamique, en mouvement. Le portrait est dynamique par la construction paratactique des phrases. On a ici affaire à une parataxe asyndétique (pas de mots subordonnants). Cela accélère le rythme des phrases du texte. On a un rythme de l’ordre, de l’allegro. On a un art de l’accumulation et de l’oxymore. En fait Pamphile est peint comme un acteur le serait, un acteur du theatrum

si inattendu que la poétesse a l’impression qu’ils sont simultanés. [C/ Rythmes et syntaxes mettent en avant la souffrance amoureuse] [1) Principe de la juxtaposition] La souffrance est mise en avant par un rythme assez vif rendue par la parataxe (absence de liens logiques) et par aussi, dans le vers 1, la césure marquée par le point virgule. [2) Un rythme martelant] Vers 1 : « Je vis, je meurs ; je me brûle et me noie » Vers 5 : 4 + 2 + 4 ; Vers 7 : 4 + 4 + 2 ; Vers 8 : 4 + 2 +

ses origines, de sa famille, de sa jeunesse. 2. Le regard du héros sur son histoire Meursault se désintéresse de sa propre histoire. Loin de chercher à occuper le devant de la scène, il reste spectateur de sa vie, ne s'exprime souvent que par parataxe, ignorant toute analyse de ses propres sentiments. On peut même se demander s'il est capable d'éprouver réellement des sentiments, lorsqu'on voit son insensibilité face à la mort de sa mère, sa froideur face à Marie, qui le distrait seulement, ou