Parataxe

la tonalité est laissée à l’appréciation du lecteur…· Réaction de Pauline : · Transformation physique : jeu de miroir de l’horreur (cf connotations négatives)· Monstruosité (transformation physique, découpage des parties du corps)· Propositions en parataxe => simultanéité des actions· Désir effrayant, parce qu’il est animal ; et parce qu’il est lié à la diminution de la PdC, avec le « chatouillait » quasiment burlesque· Effet évocateur de l’érotisme de ce passage (désir grandissait, peau, contractait

syntaxiquement inutiles. On loue la vertu; mais on la hait; mais on la fuit; mais elle gèle de froid. (Diderot, Le Neveu de Rameau) PARATAXE (n.f) : omission délibérée de la subordination logique. Vous n'êtes point gentilhomme, vous n'aurez pas ma fille. (Molière, Le Bourgeois Gentilhomme,) HYPOTAXE (n.f): explicitation de la subordination logique (c'est le contraire de la parataxe). La grandeur de l’homme est si visible qu’elle se tire même de sa misère. Car ce qui est nature aux animaux, nous l’appelons

inconnu). → Effet de découverte renforcé avec les termes «ailleurs » et « gens », «ce peuple d’ailleurs » et les pronoms personnels « eux, ils, elles ». → Modalisateurs = «Comme Si », « ils semblent ». = subjectivité → Utilisation du procédé de la parataxe = tout est mis sur le même plan (pas de subordination entre les propositions). « Celui là chez eux est sobre et modéré, qui ne s’enivre que de vin : l’usage trop fréquent qu’ils en ont fait le leur a rendu insipide». → Asyndète (pas de liaisons

ne pousse que sur de la bonne terre), menue et tendre... Il imagine une monarchie idéale, une vision où le peuple se trouve dans les conditions idéales. L’impression de paix : Cf. : phrases longues, image du troupeau imperturbable, énumération et parataxe (juxtaposition sans connecteur logique), verbes d’action au présent qui donnent un effet répétitif. L’impression de paix renforce l’idée du bon pasteur. La Bruyère prend à témoin le lecteur. Cf. : " quand vous voyez, vous paraît ?.. " Il utilise

remarquable, extraordinaire. Or, dans ce texte, le coup d'éclat réside dans le fait de faire voler les vitres en éclats. (Bobo « lance » pot sur Houssaye) III- L'élaboration d'une nouvelle poétique : La longue phrase entre parenthèses qui est une parataxe propose diverses explications aux manifestations incontrôlées de violence. La phrase est longue, ponctuée de nombreuses virgules, la construction syntaxique contribue à perdre le lecteur qui peine à se retrouver parmi les multiples interprétations

qui comporte une morale. Assonance : répétition expressive de la (ou des) même(s) voyelle(s) ou du même son vocalique. « Je fais souvent ce rêve étrange et pénétrant […] » (Verlaine, Poèmes saturniens, « Mon rêve familier »). Asyndète : forme de parataxe où l’on supprime les mots de liaison (les conjonctions de coordination). « Ils demandent le chef ; je me nomme, ils se rendent. » (Corneille, Le Cid). Burlesque : adjectif qui qualifie un comique outré, reposant sur l’extravagance des situations

été une sorte de transposition de son amour pour sa mère sur sa maîtresse (l. 6-7). Le « moi » est aussi présent par la présence de l’écrivain Stendhal (l. 5-24-28). Celui-ci retombe d’ailleurs en enfance en quelque sorte, comme le souligne les parataxes et répétitions comme si l’écrivain était emporté par l’amour dans son écriture. La dernière phrase de ce texte peut être considérée comme la conclusion à celui-ci. En tout cas, elle met en évidence les conséquences de la mort de sa mère sur l’enfant

première vue cela est fait sans plan. Les hommes et les femmes, la perruque et enfin les grands et le roi dans la chapelle royale. Masse des courtisans au début et ensuite les grands. Nous décelons mal le texte, le narrateur utilise le procédé de la parataxe, absence de lien entre les phrases, un texte descriptif pas vraiment argumentatif prouve la naïveté. d) recours aux paragraphes, il évite la précision, donc un homme qui raconte le récit d'autres hommes. Il utilisera: "peindre" au lieu de "maquiller"

Royaume » –> métonymie / Ordre sans effet, la mort ne reçoit pas d’ordre. « Peuple, je dois mourir » –> Épiphore, répétition en fin de phrase ⇒ Leitmotiv de la scène ⇒ Terme obsédant dans la bouche du personnage « On répond . . . me sauver » –> Parataxe, absence de mots de liaison –> Lien de cause/conséquence ou hypothèse ⇒ Le Roi réclame une assistance mais seul répond l’écho ⇒ Solitude. Attention, absurde : considérer que sa propre voix constitue une réponse aux angoisses associées à la mort.

décousue a. un narrateur neutre au point de vue restreint - "je": narrateur interne, personnage principal, Meursault, qui ne livre pas son nom ni de détails personnels - phrases simples et courtes: constat, neutralité, absence de liens logiques (parataxe) => le narrateur livre froidement la réalité qu'il perçoit - peu d'informations sur les événements et les personnages => point de vue intérieur, vue subjective mais neutralité de la voix b. un narrateur qui mélange les événements et annonce un