Parataxe

des faits est construit comme la mise en scène d'un procès. On retrouve un champ lexical de la justice: ''interroge'', ''protestations'', ''délit'', ''exécution'' et ''aveu''. Rousseau utilise de nombreuses figures de style, comme l'hyperbole, la parataxe ou la gradation (« m'exhortent, me pressent, me menacent »). Nous voyons aussi un mouvement ternaire au paragraphe 30 (« la méchanceté, le mensonge, l'obstination ») trois au paragraphe 33 (« ardent, fier, indomptable », « douceur, équité, complaisance »

brisez ces marbres, brûlez ces tableaux, chassez ces esclaves »). Le texte de Diderot propose un apologue : il raconte l’histoire d’un miracle qui a eu lieu sous Tarquin. Il rend son récit vivant en alternant récit et discours, en proposant des parataxes (l.12-16) et en pratiquant la juxtaposition de verbes d’action « L’augure ne se déconcerte point, consulte les oiseaux et répond » (l.6). Ce récit occupe les trois quarts de l’extrait : l’auteur tient à garder en éveil la curiosité de ses lecteurs

renforcer, donner de l’intensité au nom employé. Sentiments toujours intenses ▪ exclamations : « Ah ! Quelle jeunesse ! » ▪ émotion qui la submerge, elle ne se maitrise pas : points de suspension récurrents ▪ Rythme haché et rapide, parataxe + passage rapide de l’interrogation à l’affirmation « Quand tu m’as vue, n’est-ce pas ? J’avais l’air d’une bête ». Elle fait les questions et les réponses, logorrhée verbale. ▪ accumulation ternaire, avec une gradation : « j’étais grave, écrasée

est l’emploi des éléments par lesquels un locuteur traduit sa plus ou moins grande adhésion à son énoncé : verbes modaux (pouvoir, devoir, vouloir, etc.), adverbes (peut-être, sans doute, bien sûr, etc.), temps (futur, conditionnel, etc.). * Parataxe : (juxtaposer) forme d’asyndète consistant à juxtaposer deux propositions qui devraient être unies par un rapport syntaxique de subordination. * Paronomase : rapprochement de mots dont le son est à peu près semblable. * Polyptote : figure

compte de son lyr/isme et de la structure cyclique (en boucle) du poème. De même les occurences de l'allitération en "m" qui renforce les registres lyrique et élégiaque. 6. à l’intérieur des strophes la juxtaposition des propositions revient (parataxe). Les sentiments, impressions, sensations se mêlent dans un même temps. Une impression de rapidité, de simultanéité renforce le trouble amoureux. Tout peut basculer à l'image de la roue de la Fortune. 7. le poème est lyrique : la première personne

Mais aussi le coup de pied dans le derrière de Candide qui évoque le registre comique de la farce et la gifle. 2) Le mécanique Cf. la scène amoureuse entre C et C dénuée de toute émotion crédible : ils sont décrits comme des marionnettes. Cf. la parataxe et les énumérations.( Bergson définit le rire comme «  du mécanique plaqué sur du vivant ».) 3) L’ironie Elle atteint le comble dans la dernière phrase du chapitre : « tout fut consterné dans le plus beau et le plus agréable des châteaux possibles »

élogieux ( -> l.13, 14, 30,31) ou exprimant le refus ( -> l.32) * La diversité des phrase : - les virgules et les points-virgules (fréquents) effets d’énumération et d’accumulation + crescendo (« les familles.. ») - Juxtaposions parataxes (ensemble de juxtapositions) (l.7) - phrases nominales lancées dans un discours non construit (parole spontanée) - jugements personnels -phrase + longue pour rallonger et exprimer d’une autre manière l’argument

intérieure et cite le fait sans le décrire qu’à l’organisation des occurrences en série qui est un procédé de la péripétie. Le rythme très rapide du récit en fait un texte attrayant. L’auteur joue avec le rythme. Il a recours à l’asyndète et à la parataxe et les phrases courtes prédominent le texte. Ce style coupé privilégie les effets de sens de la ponctuation, qui substitue les rapports rythmiques ou lexicaux aux rapports syntaxiques. De plus, de nombreuses relatives déterminatives et explicatives

sur sa manière de parler. * J. répond au présent de narration, ce que raconte Jacques inaugure mène de rien un roman d’initiation à savoir un jeune qui s’exclu du foyer paternel pour parler. * Les liens de cause à effet sont suggérés par la parataxe (phrases courtes qui s’enchainent). B) Fatalisme et liberté * Tout est l’effet d’une ou plusieurs causes : exemple : pourquoi J. tombe amoureux, 4 raiponces constitue 4 causes. Une image (métaphore) exprime cette idée (L.22) «  les chainons

Description réaliste des vêtements de l’inconnu ; les traces de la misère B. Une innocence menacée : fragilité et douceur du personnage C. Un ultime combat I. A. Des regards perspicaces et bouleversés (l.1) → Longue phrase exclamative B crée une parataxe en supprimant les conjonctions développant les effets du jeune homme sur la société → Tonalité pathétique → Le verbe “lurent” à la 3eme PP fait référence à la physiognomonie et montre l’effet que produit l’inconnu sur les spectateurs de la scène