Paresse

l’autorité devient abusive. 2- Kant : il faut penser par soi-même avant tout (« Sapere aude ») Qu’est ce que les Lumières ?, 1784, Emmanuel KANT Si les hommes utilisent si peu leur raison ce n’est pas par manque d’intelligence mais par paresse ou lâcheté. Lorsqu’on demande à KANT de résumer l’esprit des Lumières il répond : « Sapere aude ! » (Oser penser). Pou KANT tous les hommes disposent de la raison, la capacité de distinguer le vrai du faux, le bien du mal. Mais le problème c’est que

claudication que l’âge et la misère accentueront, elle est courageuse, dure au travail très bonne ouvrière mais aussi elle est faible voir lâche et échouera au final, sa vie est une suite de laisser-aller : au fil du roman, Gervaise est entraînée vers la paresse, la gourmandise et l'alcoolisme. Lantier : Zola en fait un être antipathique, il est l’opposé de Goujet physiquement et moralement, c’est un beau parleur, infidèle, dépensier, ambitieux mais fainéant. Ouvrier chapelier, ne travaillant jamais, ne

Jusque-là ceci ne va pas mal, hein, hein ! ...Et mourrait bientôt. Le vin et la paresse Se disputent mon coeur... Eh non ! ils ne se le disputent pas, ils y règnent paisiblement ensemble... Se partagent mon coeur. Dit-on se partagent ? ... Eh ! mon Dieu, nos faiseurs d'opéras-comiques n'y regardent pas de si près. Aujourd'hui, ce qui ne vaut pas la peine d'être dit, on le chante.(Il chante.) Le vin et la paresse Se partagent mon coeur. Je voudrais finir par quelque chose de beau, de brillant

catégorie des cancres les élèves sérieux mais en difficulté et dans la catégorie des bons élèves, les élèves qui ont des facilités mais qui ne travaillent pas. Il convient donc d’enrichir les définitions précédentes. Le cancre intègre une composante de paresse, de mauvaise volonté, de malhonnêteté. Le bon élève, pour sa part, intègre dans sa définition une composante de dévouement, de docilité, de bonne volonté et, par-dessus tout, de courage. «Donner raison aux cancres» signifie favoriser, accorder son

Les Phares Rubens, fleuve d'oubli, jardin de la paresse, Oreiller de chair fraîche où l'on ne peut aimer, Mais où la vie afflue et s'agite sans cesse, Comme l'air dans le ciel et la mer dans la mer; Léonard de Vinci, miroir profond et sombre, Où des anges charmants, avec un doux souris Tout chargé de mystère, apparaissent à l'ombre Des glaciers et des pins qui ferment leur pays; Rembrandt, triste hôpital tout rempli de murmures, Et d'un grand crucifix décoré seulement, Où la prière en

bords de Camarine. Là, l'hymen, les chansons, les flûtes, lentement Devaient la reconduire au seuil de son amant. Une clef vigilante a pour cette journée Dans le cèdre enfermé sa robe d'hyménée Et l'or dont au festin ses bras seraient parés Et pour ses blonds cheveux les parfums préparés. Mais, seule sur la proue, invoquant les étoiles, Le vent impétueux qui soufflait dans les voiles L'enveloppe. Étonnée, et loin des matelots, Elle crie, elle tombe, elle est au sein des

donner le cadre de la potentielle raison de la dispute future. Il nous explique le jour était « déjà grand », l’utilisation de l’adverbe déjà suivi de l’adjectif grand insiste sur le fait que la journée était déjà bien entamée, ce qui souligne la paresse de Mariette, qui vient de sortir de son « nid ». Mariette est animalisée et comparée à un oiseau : c’est une « petite pie », ce qui est réaffirmé par le parallélisme syntaxique : « du si beau noir et du si beau blanc », ainsi qu’avec les deux adverbes

être important. D’ailleurs, le poète insiste sur la passivité de la femme («le fardeau de ta paresse » ; « la mollesse »). Pourquoi est-ce en ces termes que l’auteur traduit son amour ? Peut-être veut-il par là évoquer l’image d’une femme offerte, docile (« belle d’abandon »). Dans la sixième strophe, « tête d’enfant », « jeune éléphant » précisent que cette femme a le charme de la jeunesse : la paresse semble alors être pardonnée par l’insouciance que paraît dégager l’être aimé. Rapidement,

celle de la France de Vichy. L'Etat Français fait disparaître la devise de la République au profit de la nouvelle devise : Travail, Famille, Patrie. Sur l'image de gauche, la devise "Liberté, Egalité, Fraternité" est volontairement remplacée par "Paresse, Démagogie, Internationalisme". Le régime de Vichy repose sur le retour à des valeurs traditionnelles et le repli sur soi, la famille et la patrie. Les piliers sur lesquels repose la France "restaurée" par Vichy reprennent les valeurs de la devise

famille vit aussi dans la saleté : il y a en effet un champ lexical de la saleté ( « ordures » ligne 6, « poussières » ligne 23, « sales » ligne 23 ) et le rythme ternaire de la ligne 23 appuie ce fait ( « l'épaisseur de la poussière...la misère et la paresse » ). Enfin Gervaise est un personnage qui peut faire ressentir au lecteur une certaine pitié. Elle ne reste qu'une femme dont les rêves de grimper dans l'échelle sociale ont été brisés. Elle est raillée et insultée de « cato qui tortillait son derrière »