Paris Ville Macrocéphalie

l’espace français.  Mouvements de population, urbanisation, métropolisation : Actuellement, les grands traits des dynamiques spatiales de la population française se font au profit des aires urbaines. Aujourd’hui 4 Français sur 5 vivent dans une ville. Ce mouvement d’urbanisation se traduit par une extension spatiale des zones urbaines. Le phénomène qui marque actuellement le processus d’urbanisation est la métropolisation, c’est-à-dire une concentration croissante de la population, des richesses

profondes transformations du système productif et de son articulation au système-monde : les emplois les plus productifs, les plus stratégiques en termes de compétences et de savoirs se trouvent dans les plus grandes villes : la part de la seule ville de Paris dans le PIB français excède par exemple celle de la région Rhône-Alpes, pourtant plus de deux fois plus peuplée. De même, les fonctions les plus sophistiquées de la haute technologie se trouvent dans les aires métropolitaines : 41 % du high-tech

la France un des « greniers à blé » de l’Europe. 1 A côté de ces reliefs, on peut enfin distinguer une suite de climats : Océanique Continental Méditerranéen Montagnard Tropical Ouest, Bretagne, Normandie, Aquitaine… Est et centre du pays, de Paris à Strasbourg Sud-est, Midi et PACA, Corse… Sur les hauts massifs, >1000 mètres d’altitude DOM-TOM Climat humide, douceur toute l’année (en général) Climat plus sec que le précédent, chaud en été et froid en hiver. Sécheresse d’été, climat présent autour

La France en ville : (4/5 heures) Les principales problématiques du programme : - Quelles dynamiques spatiales de la population en France? Quelle distribution ? Quels mouvements sur le territoire ? Quelles inégalités ? - Quelle place aux villes ? Comment se traduit, spatialement, l’urbanisation croissante ? Quelles spécificités de l’armature urbaine ? - Comment le processus de métropolisation touche-t-il la France ? Quels en sont les effets ? - Comment réduire les fractures urbaines ? Quelle politique

en 1995, à combler le fossé toujours plus grand séparant les rives de la Méditerranée, persuadés que seule une volonté politique commune peut réussir à mettre sur pied un véritable espace de libre-échange euro-méditerranéen. Le dernier sommet en date, à Paris en 2008, préconise une accélération de l'ouverture des pays de la rive sud, tout en souhaitant une régulation concertée des flux migratoires. Il n'est pas certain que ces pays, à savoir : le Maroc, l'Algérie, la Tunisie, la Libye et l'Égypte, et en

urbanité : renvoie à la ville (urbain) et à ce qui fait de la ville un objet particulier (urbanité). La ville est une configuration géographique particulière, fondée sur la co-présence et permettant de limiter, au même titre que les transports et les communications, les obstacles opposés par la distance à l’interaction sociale. Le couple densité+diversité (le maximum de réalités sociales dans le minimum d’étendue) constitue un résumé de l’urbanité (ce qui fait d’une ville un objet spécifique). (Lévy

900 millions d’euros (chiffre 2011), dont 60% sont consacrés à l’ONU. Certaines de ces organisations internationales ont leur siège en France. C’est le cas de l’Organisation des Nations Unies pour l’éducation, la science et la culture (UNESCO, à Paris), Interpol (Lyon), le Centre international de la recherche sur le cancer (CIRC, à Lyon également) ou l’Organisation mondiale de l’eau (Marseille). La présence de la France dans toutes les organisations citées renforce donc l’influence de la France

bien une tendance générale à la concentration des habts dans les grandes aires urbaines A2 La fin de « Paris et le désert Français »? A3 les effets négatifs de la métropolisation 3 B. La diffusion =extension surfacique (liée à croissance démographique) B1 , à l'échelle régionale, une dynamique complémentaire la diffusion B2 qui se ressent à l'échelle locale :Ville dense ville étalée: des mobilités complexes 4 C. La fragmentation et la ségrégation de l'espace:les recompositions

les Nations unies. Plus d'un humain sur deux se presse dans une ville et un septième de la population habite une agglomération urbaine millionnaire. C'est là l'une des mutations majeures de l'époque contemporaine. En termes d'espace, le fait urbain reste cependant largement minoritaire : il concerne près de 15 p. 100 de la surface des continents, si l'on veut bien admettre que les villes ont encore des limites précises. La ville déborde très largement du cadre qui était le sien il y a moins de

l'archipel Hochelaga, à la confluence du fleuve Saint-Laurent et de la rivière des Outaouais. Le site de Montréal fut découvert en octobre 1535 par Jacques Cartier, qu'il baptise Mont-Royal, ce qui donnera le nom à la ville. Paul Chomedey de la Maisonneuve fonde le village de Ville Marie, futur Montréal, en 1642. Française, Montréal passe entre les mains de la couronne britannique en 1760, bien que la langue des habitants reste le français. Le document un est un schéma accompagné d'une légende illustrant