Paris Ville Macrocéphalie

55% de la population est urbanisée. Page 106, document 1 : Les villes de plus de 100 000 habitants Les principales villes européennes font partis de la mégalopole ou dorsale européenne. Cet espace est le plus densément urbanisé en Europe. Paris n’est pas vraiment incluse. Les villes inclues sont les mégapoles : des grandes villes qui on un population qui dépasse 8 millions d’habitants. La conurbation est un phénomène d’agglomération, un ensemble urbain fait de plusieurs villes dont

des populations rurales (des campagnes) vers les zones urbaines (les villes). Ce fait s'est généralisé dans les pays développés grâce à la Révolution Industrielle : rechercher de travail, besoin de main-d'oeuvre (usines), qualité de vie meilleure en ville, mais aussi par le développement du secteur tertiaire : 1/3 de l'emploi en 1900, et qu'à la fin du XXème siècle, c'est plus de 3/4 des emplois.Tout cela dû à l'augmentation de la population rurale consécutive à la transition démographique. En 1860

qu'on trouve les 4 premières métropoles de la hiérarchie urbaine: Paris, Lille, Marseille, Lyon. C'est la qu'on trouve également la majorité des unités urbaines les plus peuplées. Il existe une diagonale qui s' étend des Ardennes au nord est au Pyrénées en passant par le massif centrale dans laquelle les métropoles de plus de 500000 habitants sont absentes. Cette armature urbaine est très hiérarchisée, elle est marquée par la macrocéphalie parisienne, elle est marquée par le fait que les grandes villes

population urbaine dépasse la population rurale (ce qui n’avait jamais été le cas jusque là dans l’histoire du pays). Aujourd’hui, 82% de la population française vit dans les ville centre espaces à dominante urbaine ou aires urbaines : il s’agit d’espaces qui regroupent les pôles urbains (espace urbain banlieues composé d’une ville centre et de ses banlieues comprenant couronne au moins 5000 emplois) et la couronne périurbaine périurbaine (ensemble des communes dans lesquelles au moins 40% de la population

Introduction : Les métropoles sont les locomotives de la croissance, chargées de répandre à travers le reste du territoire cette dernière, et d’initier le développement territorial. C'est-à-dire le processus volontaire cherchant à accroître la compétitivité des territoires en impliquant les acteurs dans le cadre d’actions concertées, généralement transversales et souvent à forte dimension spatiale. Le système de métropolisation est donc ce qui va permettre de développer les ressources locales grâce

grandes FTN, ceux qui possèdent les plus grandes bourses (New York, Tokyo…) où le flux de capitaux est permanent et ceux qui contrôlent les organismes internationaux. ¤ le rôle des métropoles mondiales : villes globales (New York, Tokyo, Londres, Paris), métropoles mondiales plus spécialisées (Washington pour l’influence politique, Chicago et Los Angeles dans certains secteurs économiques clés). ¤ des façades maritimes actives (littoralisation des activités), qui participent à la mondialisation

différents types : des régions naturelles, dont l’identité serait fondée sur un même paysage (le Massif central), des régions historiques qui partageraient un passé commun (la Bretagne) ou des régions fonctionnelles basées sur les relations à une ville (région parisienne). Ces distinctions correspondent en fait à des ressentis souvent partagés. C’est afin de se rapprocher des citoyens et de mieux gérer le territoire que des régions administratives ont été crée par les États. Les régions

GRANDE VILLE QUEL OBJET GEOGRAPHIQUE ? • Célèbre en 2000 car la population est majoritairement urbaine • Ville importante car elle accueille les habitants mais est médiatiquement inquiétant • Rôle économique et politique (étude sur la mondialisation qui se joue dans les TGV) • Ne sont pas un lieu de vie majoritaire des urbains de la planète • TGV forment un réseau à part EX : cadres très spécialisés, DOLLFUS « archipel mégalopolitain mondial » ⇾ Le coté attractif d’un hinterland : la ville • S’émancipe

de « ville ». Un concept géographique? Peut-être, mais la géographie, en tant que discipline, a longtemps entretenu un rapport ambivalent au fait urbain : ainsi, la géographie « classique » du début du XXe siècle, dans une optique de « scientificité », a longtemps privilégié une approche régionale, construite principalement sur des fondements physiques et ruralistes. Cela a, de fait, eu pour conséquence de marginaliser les études de géographie urbaine de longues années durant. En fait, la ville restait

Le modèle de la ville méditerranéenne : mythe et réalité La Méditerranée, c’est le monde de la ville : jusqu’au XVIè siècle, on a là la région la plus urbanisée du monde ; plus de 2 méditerranéens sur 3 vivent aujourd’hui dans des villes dont 24 dépassent 1 million d’habitants (avec deux mégapoles : Le Caire et Istanbul). L’idée d’une civilisation urbaine méditerranéenne pose problème sur deux points qu’on peut distinguer pour l’analyse, mais qui sont intrinsèquement liés : Y a-t-il une identité