Parlement Marocain

républicain » après son élection à la présidence : le paradoxe apparaît déjà. L’article 20 ajoute que le gouvernement dispose de l’administration et de l’armée, conduisant ainsi la politique de l’état, et qu’il serait responsable politiquement devant le parlement, qui contrôle ainsi son action et peut décider de le limoger. Du fait de son élection au suffrage universel, la fonction présidentielle est renforcée et le déséquilibre s’accentue entre Chef d’état et Chef de gouvernement, ou premier des ministres

pouvoir. Pour finir nous observerons le retour de la droite au pouvoir. Le général de Gaulle et ses successeurs (1958-1981) La Constitution de 1958 bâtit un régime différent du précédent. Le président de la République, élu pour sept ans par le Parlement, a l’essentiel des pouvoirs. Il nomme le gouvernement et peut dissoudre l’Assemblée National. Il est le chef de l’armée, il peut décider d’un référendum et obtenir des pouvoirs extraordinaires (article 16) en cas de menace. Enfin, il contrôle le

et IVème République, l’histoire de celles-ci montre que la pratique des institutions a mis en place un net déséquilibre des pouvoirs au profit du Parlement. En définitif, plutôt que de régime parlementaire à propos de la IIIème et IVème, on peut parler de régime d’assemblée, de régime politique où un déséquilibre des pouvoirs joue en faveur du Parlement. Chapitre I L’héritage constitutionnel Section I – La IIIème République Entre 1789 et 1870, le mariage entre République et régime parlementaire

ministre: Le PM porte la responsabilité du président. Le président, le gouvernement et le Parlement ont besoin du PM. Hiérarchie président / PM + répartition des rôle n'ont changé depuis 1958. Toujours dans l'ombre du président et cela n'a pas changé. Période de cohabitation: plénitude des aptitudes prévues par la Constitution. PM doublement responsable devant le gouvernement dans la pratique et devant le Parlement suivant la Constitution. → régime parlementaire dualiste. Les textes ne le prévoient

on dit que la Constitution est rigide et quand la révision n'est soumise à aucune règle spéciale, les règles constitutionnelles peuvent être modifiées par une simple loi ordinaire, la Constitution est souple. Au Royaume-Uni, la souveraineté du Parlement est fondamentale et il peut à tout moment modifier la Constitution. La Chambre des Communes peut tout faire, extraordinaire souveraineté. Une simple loi adoptée par la Chambre des Communes à laquelle la Chambre des Lords ne peut s'opposer que pendant

celui çi détenait peu de pouvoirs avant cette date, il était tout de même doté de quelques prérogatives qu'il a su préserver (a), cependant la majorité des pouvoirs dont il dispose sont des pouvoirs qu'il partage avec le gouvernement et avec le parlement. a) Les pouvoirs traditionnels A l'étude des différentes constitution qui se sont succédés de 1875 à 1958, on constate des similitudes. On peut qualifier les pouvoirs qui existaient déjà avant 1958 de pouvoirs traditionnels, en ce que, jamais remis

leur propre chef donc un déni de justice. En 1968 le conseil d’Etat va baser sa décision de refus d’écarter une loi postérieure de son traité sur des lois constitutionnelles. Le traité peut émaner d’une volonté générale émanant du peuple donc le parlement ou le gouvernement par ordonnance. B. La primauté du droit dérivé Les lois et les règlements vont devoir être conforme au texte communautaire. L’article 55 vient dire que le traité a une autorité supérieure à celle de la loi. Par rapport au

L'empire libéral ? Comme on a pu le voir lors de la séance précédente, l'instauration du second empire a été l'occasion d'une expérience nouvelle, celle su césarisme démocratique, un régime de type autoritaire qui prend sa source dans la constitution du 14 janvier 1852. Celle ci instaure un pouvoir exécutif presque entièrement détenu par l'empereur, Napoléon III. De plus, comme on a pu le voir la semaine dernière, le législatif est affaiblit, divisé en 3 chambres, ayant chacune des attributions

essentiellement à détailler l'autorisation parlementaire, afin que chaque crédit ait une destination indiquée par la loi de finances. Le respect de ce principe implique que le gouvernement ne puisse modifier la destination des crédits sans l'autorisation du Parlement. En France, ce principe était prévu par l'article 7 de l'ordonnance du 2 janvier 1959. Cet article précisait que les crédits autorisés par la loi de finances doivent être affectés à une dépense déterminée : « les crédits ouverts par les lois de finances

pragmatique aménageant les pouvoirs publics. Concernant l'organisation des pouvoirs publics, elle se composent d'une part des Chambres et d'autre part de l'exécutif . Il y a donc dans un premier temps le pouvoir législatif qui est caractérisé par un Parlement bicaméral , c'est-à-dire que les deux assemblées, la Chambre des députés et le Sénat, ont des pouvoirs identiques . Ces deux assemblées ont l'initiative des lois et doivent les voter en termes identiques au risque de provoquer des «navettes» sans