Parlementarisme Et Monarchie

forme de gouvernement. La difficulté de choix entre le régime républicain et la régime monarchique. Le choix du parlementarisme, lequel faut-il appliquer? Cette époque de avant 1958 se subdivise encore en 2 périodes: Révolution-1970 (défaite de Napoléon à Sedan), marquée par l'adoption définitive de la forme républicaine et aussi par les premières expériences du parlementarisme. 1870-1958, marquée par les crises et instabilités dû aux mauvaises applications du régime parlementaire. Section

prit fin à l’avènement de la Révolution française en 1789. Cette période se caractérise, d'une part, par un fort mouvement de remise en question ainsi que par l'établissement d'une plus grande tolérance et, d'autre part, par l'affaiblissement de la monarchie, suivi de la fin de la suprématie française en Europe et du début de la prépondérance anglaise. Des personnalités comme Voltaire, J.-J. Rousseau, B. Franklin ont certainement marqué leur époque de même que FrédériLa situation politique et sociale

pencherons sur les facteurs qui vont permettre le développement des pensées libérales, et enfin dans quelles mesures le libéralisme s’est-il développé pendant la 2ᵈ moitié du 19e siècleplan : 1) Situation de la première moitié du 19e sièclea) une monarchie fermement installéetraité de Vienne, prince de MetternichAllemagne pas encore unifié, en tant que membre du traité de Vienne, la Prusse combat les insurrections aux côtés du prince de Metternich profondément anti-libéral.George 4 ( 1820-1830, réactionnaire)

antique Constitution » I. La Constitution de l’Ancien Régime A. L’absolutisme royal B. Les Lois fondamentales du Royaume 1) Les Lois fondamentales du Royaume protégeant les intérêts de la Couronne 2) Une Loi Fondamentale d’organisation de la monarchie II. Les idées politiques des Lumières A. Le contrat social B. La séparation des pouvoirs (renvoi) Section 2 : La naissance du droit constitutionnel moderne I. Le transfert de souveraineté du Roi à la Nation II. La Constitution du 3 septembre

régimes se sont succédés: la monarchie constitutionnelle de 1791, puis le régime de la Convention, le Directoire, le Consulat puis l'Empire, la Restauration puis la Monarchie de Juillet, la seconde République, le second Empire et les troisième, quatrième et cinquième Républiques. Cependant, depuis 1870 et l'installation de la IIIe république, l'histoire constitutionnelle française semble s'être apaisée, le cycle paraît s'être brisé. La République et le parlementarisme se sont finalement imposés

en organisant « l'irresponsabilité » du Président de la République, face à un Parlement tout-puissant. Après la démission de Thiers, un monarchiste arrive au pouvoir le 24 mai 1873 : il s'agit du maréchal Mac-Mahon. Longtemps, un retour à la monarchie sera espéré, ce qui freine la rédaction de la nouvelle constitution. Cependant, le 30 janvier 1875, le vote de l'amendement Wallon marque l'acception de la forme républicaine. Concrètement en 1875, pour mettre en pratique les institutions, il fallait

soutenue. L'opinion publique ne veut pas entendre ce socialiste en raison de son traumatisme dû aux événements de juin 1848 ; le dernier personnage à se présenter est Louis Napoléon Bonaparte : connu pour avoir manqué ses deux coups d'Etat sous la Monarchie de Juillet, il n'est rattaché à aucune tendance politique mais jouit du prestige de son nom, seule chose que les français, bercés par les légendes napoléoniennes, vont retenir. Le taux d'abstention est relativement faible. Les résultats étonnent

réflexions de philosophes Français et étrangers après observation du système de monarchie parlementaire en Grande-Bretagne. Cette théorie a surtout été élaborée par Locke (1632-1704) et Montesquieu (1689-1755) durant le XVII° siècle. Montesquieu disait : "Pour qu’on ne puisse pas abuser du pouvoir, il faut que, par la disposition des choses, le pouvoir arrête le pouvoir." Il part du constat que dans le régime de la monarchie absolue, les trois fonctions sont le plus souvent confondues et détenues par

Titre 1er : l’histoire constitutionnelle française L’Ancien Régime était qualifié de monarchie absolue. C’est un régime autoritaire : on a le droit de penser différemment tant qu’on ne veut pas prendre le pouvoir (sinon => répression). Dans un régime totalitaire, on ne peut penser d’une autre façon et il y aura répression même si on ne veut s’emparer du pouvoir. Différentes institutions : Les Parlements d’anciens régimes (qui enregistraient les ordonnances du roi). Les Etats généraux (1788

dès lors devenue une coutume au Royaume Uni. C’est le seul pays de la planète actuellement dont la Constitution est coutumière, elle n’est pas écrite, elle se transmet. EX 2 : La France avant 1789 avait une Constitution coutumière. La Monarchie était une monarchie absolue donc le pouvoir législatif, exécutif et une grande partie du judiciaire étaient aux mains du Roi donc il n’était pas dur de mettre en place du constitution coutumière. Les seules lois écrites étaient celles d’accession au trône