Parménide

est un philosophe de la Grèce antique, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate dont il fut l'élève, ainsi que Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d’élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique et l’éthique, la philosophie de l’art et la politique. Diogène Laërce dit de lui qu'il est de six ans plus jeune que

à Athènes en 428-427 avant J-C, mort en 348-347 avant J-C) est un philosophe grec, contemporain de la démocratie athénienne et des sophistes, qu'il critiqua vigoureusement. Il reprit le travail philosophique de certains de ses prédécesseurs, notamment Socrate, Parménide, Héraclite et Pythagore, afin d'élaborer sa propre pensée qui explore la plupart des champs importants, notamment la métaphysique, l'éthique, l'esthétique et la politique. À part quelques données certifiées, dont la chronologie est d'ailleurs incertaine

philosophie. On peut pourtant les penser en suivant la proposition de Gilles Deleuze : est philosophe celui qui fabrique un concept. Un concept résout un problème général. Les deux premiers philosophes sont alors Pythagore et Thalès. Suivis par Parménide, Zénon d'Elée, Héraclite d'Ephèse, Anaximandre, et tous ceux que l'on désigne comme des présocratiques : Empédocle, Philolaos, Archytas, Leucippe, Anaxagore, et l'imposant Démocrite. Ils sont pour l'essentiel des physiciens de la philosophie et des

Aristote propose avec prudence les activités contemplatives et théorétiques pour y arriver. Socrate prône la cogitation, l'humilité, l'acceptation de son ignorance et le respect absolu des lois de la cité, en l'occurrence : Athènes. Présocratique, Parménide examine dans un poème les chemins de l'être, celui du non-être et la possibilité d'un troisième chemin. Les Cyniques insistent sur la notion de joie individuelle, d'ascèse et de liberté (« Ôte-toi de mon soleil » disait ainsi à Alexandre le Grand

remonter aux philosophes présocratiques, en particulier à l'opposition entre Héraclite, pour qui le changement est l'essence de l'Être toujours en mouvement et en conflit entre les figures des éléments matériels, le feu en particulier, et Parménide, pour qui l'Être est permanence sous l'apparence des changements. Cette opposition radicale traverse les théories du changement. Elle est au coeur du changement dialectique* de la pensée allemande du XIXe siècle (de Hegel à Marx). Elle se retrouve

présocratiques, ils renoncent à l’explication mythique des phénomènes et cherchent à en donner une explication rationnelle. Ils s’interrogent sur la nature (physis) d’où leur nom de physiologues. Les plus connues sont Thalès, Pythagore, Héraclite, Parménide, Empédocle, Empédocle et Démocrite. Leurs œuvres nous sont connues par fragments grâce aux témoignages et aux citations d’autre philosophes. Socrate. On le présente souvent comme le premier philosophe. Et pourtant il n’a rien écrit, amant de la

métaphysique de l’identité. Impossibilité de la fidélité comme vertu. A) exposé de la doctrine de Parménide. « L’être est, le non-être n’est pas » : le principe logique de l’identité (A=A) implique la non-contradiction et exclut le changement. Temps et mouvement sont des illusions qui appartiennent à la doxa (mot grec signifiant à la fois opinion et apparence). La « route vraie » de Parménide est celle de la raison démonstrative qui introduit à l’univers stable des identités logiques et mathématiques

par son interlocuteur et de refuter les objections qu'on oppose aux siennes; c'est l'esprit critique qui fait preuve de sa maitrise en les autres et en fournissant des reponses satisfaisantes questionnant en ce sens que Z?non, Socrate et le Parmenide a leurs questions. C'est mis en scene par Platon, sont des dialecticiens. en partant d'une these de l'adversaire exerce sa Zenon dialectique et en montrant est incompatible avec d'autres theses que l'adver qu'elle saire admet egalement

spéculative grecque Thalès de Milet (-625 ; -546) Philosophe physicien – il essaye de comprendre la création d’éléments naturels par l’observation. Pour lui l’élément premier est l’eau, à l’origine de tout. Il a réussi à déterminer l’éclipse de -585. Parménide (-510 ; -45 ?) Son principe fondamental est l’être. L’être existe, parce que le non-être n’existe pas. Héraclite (-576 ; -480) Philosophe du changement. Le principe de base de la création est le changement. Tout est en devenir. On ne peut pas

«Sagesse». Selon Diogène, il aurait écrit des ouvrages sur l'éthique, les mathématiques, la musique et les arts. Démocrite était un disciple de Leucippe. Leucippe, qui serait probablement venu au monde à Milet vers l'an -500, avait eu comme maître Parménide et Zénon. Son atomisme était fondé sur la notion de vide et de plein. Il découvre le vide comme étant l'espace des êtres possibles. Le vide n'a d'autre propriété que de n'être rien. Il y a aussi le plein qu'il avait défini comme étant les formes