Parménide

présentation tendancieuse. Originaires pour la plupart des colonies grecques de l'époque situées dans l'actuelle Turquie (Ionie) et l'actuelle Italie (Grande Grèce), les auteurs présocratiques les plus célèbres sont Thalès, Pythagore, Héraclite, Parménide, Zénon d'Élée, Anaxagore, Empédocle et Démocrite.  

a pas deux penseurs qui disent la même chose. Chaque penseur vient à chaque fois montrer les limites des doctrines précédentes. Ce que dit Thalès sur le principe fondamental de toutes choses, n’est partagé par Anaximène, Anaximandre, Héraclite, Parménide et bien d’autre. Et la conception aristotélicienne du mouvement des corps lourds et légers ne fait pas l’unanimité chez d’autres scientifiques (notamment Galilée, Torricelli, Newton, etc.). Si tel est le cas, alors quelle vérité recherchons-nous 

Personnages Les sophistes : Ils sont les présocratiques athéniens et ils inventent la technique de la parole = rhétorique. Héraclite : Pour lui le monde est en perpétuel changement, en devenir. Parménide : Pour lui, le monde est fixé par l’Etre. Cela ne change jamais. Démocrite : Pour lui, le monde est matériel composé d’atomes Etre) qui s’arrangent de plusieurs manières différentes. Périclès : Il a régné 30 ans à Athènes et a favorisé le développement de la démocratie et du dialogue

encore mieux de créer un meilleur monde. Platon perçois la vie, près d'Héraclite, comme un monde en constant changement. Aussi, il croit que l'homme mesure est influencé par les sensations, les impressions ou rien du tout. Parallèlement, d'après Parménide, le monde est immuable, ce qui fait en conséquence que la vérité n'est pas accessible. Par contre, Platon croit que la vérité est plutôt au-delà du monde sensible. Autrement dit, Protagoras a réfléchi sur le fait que la connaissance est un règne

nécessairement finie dans l’être nécessaire, « être unique, métaphysiquement nécessaire, c’est-à-dire dont l’essence implique l’existence ».Mais, en considérant autrement la question, on peut demander si rien n’est pas quelque chose ? Aristote, contre Parménide, affirmait : « le non-être est : il est non-être » Et pourtant la question elle-même n’a pas de sens. Car, au réel, elle oppose la possibilité d’un « rien », dans un mouvement qui, se croyant suppression de tout, n’est qu’une Peut-on arrêter

mathématicien. Les grecques ont construit le savoir en se posant des questions telles que: « Qu'est ce que le monde? ». Ces questions ont demandé beaucoup de recherches physiques, (physis=nature) soit une étude de la nature, effectuer par Pythagore. Parménide: Ce philosophe se posera une question sur « l'être » (être ou ne pas être), il se demande ce que « être » représente. « Être » ramène à l 'existence, à l'essence. Il essaiera de répondre à cette question. Zéìnon D'Elée: Cette homme deviendra

qu’il ne sait pas. Ce qui oblige une retombée en soi-même, un recommencement. On remarque ainsi l’exigence socratique (« Je sais que je ne sais rien »)   Méthode socratique ou l’ironie socratique  Socrate relève, comme l’a fait Parménide, le principe d’identité, d’accord de la pensée avec elle-même: « Tu étais sûr d’être d’accord avec toi-même, mais tu constates maintenant que tu ne l’es pas. » Ainsi une vérité ne garde pas sa signification si elle est détachée du moi qui la pense

traditionnel) est caractéristique ; on devait étudier dix dialogues en ordre systématique en commençant par Alcibiade I, qui traite de la connaissance de soi, en continuant par le Gorgias, qui traite des vertus politiques, en réservant pour la fin le Parménide, qui se rapporte au principe suprême. Ainsi les dialogues, lus comme il faut, ne sont qu’un vaste guide de la vie spirituelle 3. Des spéculations de Jamblique sur l’âme, nous ne connaissons guère que les fragments d’un traité, de caractère surtout

SYNTHESE DU MENON DE PLATON L’auteur : Platon (428-347) est l’un des rares auteurs de l’antiquité dont presque l’intégralité de l’œuvre nous soit parvenue aujourd’hui. C’est un résumé des doctrines d’Héraclite, Parménide et des pythagoriciens. Ce « monument de la pensée » a développé une thématique fort diversifiée que tout philosophe ultérieur se verra obligé de se définir par rapport à elle, comme le montre cette affirmation du philosophe contemporain Lucien JERPHAGNON : « Qui entre dans Platon

dans l'eau il va nous apparaître brisé alors que si on le touche on verra qu’il est toujours droit. Deux de nos propres sens, la vue et le toucher, peuvent alors se contredire sur un même objet. Comment savoir lequel devrait-on croire? D’ailleurs, Parménide était de cet avis. Pour lui, il y avait deux voies différentes, la voie de la vérité et la voie de l’opinion. La voie de l’opinion était caractérisée par ceci : Les sens sont trompeurs, ils nous laissent donc dans l’opinion. Cependant, la voie de