Parodie

Kaleidoscope. Ecrit et illustré par Geoffroy de Pennart, auteur-illustrateur ou uniquement illustrateur de littérature de jeunesse. Ce conte a reçu le prix de l'album de jeunesse Saint Exupéry dès sa sortie en 1994. Geoffroy de Pennart est un amoureux de la parodie et ses personnages récurrents sont principalement le loup ainsi que des personnages de contes tels que les 3 petits cochons ou le petit chaperon rouge. Le loup apparaît d'ailleurs dans sept de ses douze albums avec diverses personnalités. C'est le

que les deux personnages ne se prennent pas au sérieux. c) L'oralité du texte Texte fait pour être dit à voix haute, joué, pour « faire entendre » ces jeux de langage. Ponctuation expressive. Lien texte et représentation. POURQUOI ? Une parodie de scène d'exposition classique a) Fonction informative partiellement remplie Fonctions de la scène d'exposition : on s'attend à ce qu'elle nous donne les premières informations nécessaires à la compréhension des enjeux de la pièce : sujet

gradation de la violence, prévisible dès le début vu le comportement de Mme B, qui ne laisse pas le choix au D (harcèlement) 3. Une scène parodique a) Parodie d'une scène de séduction car repose sur l'inversion des codes : gestes au lieu de paroles ; violence au lieu de douceur ; femme qui prend initiative et homme qui réagit, avec pudeur b) Parodie d'une scène de combat (Ragotin pense qu'il y a danger) : aucun héroïsme des personnages : Mme B recourt soit à la violence, soit à la ruse (bête dans

singulière avec le ton léger et rustre de la narration habituelle. Cette formulation presque toute faite souligne un effet parodique à la scène : il n'y a rien d'épique dans la "dure journée de labeur" décrite auparavant. De même, à la page 57, la parodie du style administratif contraste également avec le style habituel. L'écrivain ici, voudrait se moquer de la complexité et l'absurdité de l'emploi abusif d'un tel langage, dans les conseils de hauts faits et autres situations compliquées. Autre exemple

chandelle verte ») qui ont contribué à sa célébrité. On mentionnera le fameux « merdre » accommodé de diverses façons (« Bougre de merdre », « Vrout, merdre »), « jarnicotonbleu », et un certain nombre de néologismes, entre référence intertextuelle, parodie étymologique et création plus ou moins fantaisiste : « bouzine », « boudouille, « giborgne » ou « gidouille », pour ne citer que le champ sémantique du ventre du Père Ubu. D’une certaine manière, on peut dire que Jarry a inventé une phraséologie ubuesque

cet écroulement. A partir de la structure de ce passage, on peut se demander comment, à travers cette parodie d’oraison funèbre du roi, se démarquent deux groupes opposés au sein des personnages et comment la mort est-elle symbolisée tout au long du passage ? Comment grâce à la mise en scène absurde, Ionesco mêle du comique à une situation tragique en tournant la mort en dérision par la parodie d’un de ses concepts? Comment, à travers le portrait du roi, il dénonce et condamne un type de pouvoir

être suivie de son contraire sans que les personnages ne s’y arrêtent, une absurdité qui n’échappe pas à Clov : « personne n’a jamais pensé aussi tordu que nous ». Mais la rationalité occidentale est aussi attaquée par les parodies de raisonnement philosophique (notamment la parodie du cogito cartésien : « Il pleure. – Donc il vit. »). L’usage de la logique est ramené à un enjeu dérisoire dans l’épisode du réveil : « Quel penseur ! », s’exclame Hamm lorsque Clov cherche un dispositif qui puisse permettre

dénoncant les violences faites au juifs et demandant l’égalité dans le monde. IV– La comédie dans le film Le film est une comédie • Les parodies C’est une imitation sarcastique d’une œuvre, d’un sujet, d’une personne, d’une expression … Exemple du film : le premier discoure du dictateur est une parodie d’un discoure de Hitler .c’est un mélange de plusieurs langues de bruits et de sons animaux. • Les caricatures C’est une reproduction

écoute. Cette ouverture est surprenante et burlesque : décalée par rapport au décor, à la situation dramatique qui va nous être révélée, l’apologie du tabac tient plutôt de la bouffonnerie. Dom Juan adopte d’emblée le ton de la comédie et même de la parodie (éloge d’un objet assez peu philosophique !). Tirade de Sganarelle : annonce les grades tirades de Dom Juan auquel le valet veut ressembler en impressionnant Gusman par la haute tenue de son discours. Mais comme il préfigure ceux du maître, il les

valeur argumentative. * Formule conclusive : « tant il est vrai que » qui ramène à la thèse défendue. Discours parodique héroï-comique (imitation / discours noble sur un sujet trivial)  visée comique. ( ≠ burlesque : parodie / discours bas sur un sujet noble.) - pédant : il a acquis une certaine culture mal maîtrisée sans doute au contact des maîtres  éloge du tabac : exercice rhétorique  Aristote / le latin « inter nos » ou blâme de DJ : mélange des références culturelles