Parodie

n’avaient pas de carte » et qu’on « envoie crever » à sa place. Le chef de guerre tyrannique, voici l’une des dénonciations opérées par Céline dans cet extrait. Ces tyrans qui peuvent devenir bourreaux, meurtriers de leurs propres congénères . 3° Des parodies d’ hommes. Cet extrait nous montre que la guerre transforme l’homme. Le guerrier devient une bête de somme, transportant son barda « tout en brinquebalant, garni, croulant sous les armures, accessoire figurant dans cette incroyable affaire internationale

pas le même sentiment). Des personnages opposés La proposit° "avec" indique l'associat° d'Arl. avec sa bouteille → déjà ivre. "Mon patron" indique un lien humain pour Iphicrate (tonalité affective). Arl. répond à l'ordre de son maître (sorte de parodie). Iphi. rappelle le monde de la tragédie, contrairement au nom d'Arlequin qui vient de la Commedia dell'arte. En bref, le thème de la pièce est lancé. Une ambivalence Sorte de parallélisme (Arl. répète à la forme affirmative) → c'est une forme d'invers°

chacun posa près de soi » (l.14). Les deux hommes remarqueront d’ailleurs cette étrange coïncidence : « Tiens, » dit-il, « nous avons eu la même idée » (...) (l.22) 1. Deux âmes sœurs ? Une parodie de scène de rencontre Passage qui présente la rencontre des deux hommes comme la réunion des deux âmes sœurs. Parodie d’une scène de rencontre : La reconnaissance se fait par le biais des chapeaux dans lesquels chacun d’eux ont inscrit leur nom. Procédé qui permet non seulement de donner leur identité au

brocart (moquerie, raillerie piquante ou blessante)". Que l'on brocarde une entreprise par le biais de sa marque et l'effet produit, s'il est comique, pourra aussi être préjudiciable au plan commercial ». « On pourrait concevoir qu'une exception de parodie ou de caricature soit admise en matière de marques, même sans texte ..., au nom de la liberté d'expression, à condition cependant qu'elle ne cache pas des motivations mercantiles (qui cherche à tirer un gain d'argent) ou de dénigrement (déprécier

RABELAIS : Eloge du pantagruélion Intro: Publié en 1546 En quoi la parodie dee l’éloge du Pantagruélion s’inscrit-elle dans une vision humaniste ? I) Eloge parodique : Cet éloge met en évidence les caractéristiques dominante du pantagruélion. Pantagruel veut louer. Il veut que le lecteur reconnaisse la justesse de son discours. Il affirme qualités et vertus du chanvre Progression de l’éloge Indispensable « sans elle », « au moyen de ». Raisonnement progressif et inductif avec ces 2

comparaison entre une jeune femme (sveltesse) et une grosse femme (poids). - la leçon: leçon de plus en plus pressante... Leçon du Carpe Diem. Structure argumentative traditionnelle. II] Une parodie: - Intertextualité:emprunts à Ronsard (Sonnets pour Hélène) à Corneille (Stances à Marquise). - Caractère parodique: Queneau détourne le thème du Carpe Diem avec de l'originalité dans la langue, le registre

se nomme ainsi parce que ses premiers mots ont été « A boyre ! à boyre ! à boyre ! », ce qui a fait s’exclamer à son père « que grant tu as ! », sous-entendu le gosier. François Rabelais utilise des exagérations et des atténuations pour créer des parodies, de l’épopée par exemple, et des caricatures, comme celle des précepteurs sorbonnagres. Grâce au renversement carnavalesque, qui est fondé sur une permutation du bas et du haut, Rabelais mêle sans vergogne le burlesque et le sérieux.

Conclusion: - une part de 'réalisme', dans le croquis de la vie de province; - du romanesque (histoire des 2 jeunes gens, nouvelles hispanisantes...) - mais surtout du BURLESQUE: bagarres nocturnes, insultes, déclarations d’amour ridicules, parodie notamment du Cyrus de Mlle de Scudéry. Nombreuses interventions de l’auteur (procédé qui se retrouvera chez Diderot); - certains traits baroques (le Double). - sens de la fantaisie critique (cf les Libertins).

servait de modèle aux susdits poèmes, pour évoquer le courant précieux du siècle précédent. Ce poème hétérométrique combinant octosyllabes et alexandrins, dans lequel un amoureux déçu s’adresse à une « cruelle Clymène » qui repousse ses avances, parodie en effet le style précieux, ses hyperboles, clichés, et tournures surannées… Son énonciation et son caractère parodique le rapprochent des poèmes « A Clymène » et « Lettre », dans lesquels le « vous » auquel s’adresse le locuteur va devenir « tu »

trio-amoureux. Fin XIXème siècle le théâtre de l’absurde apparait avec en exemple concret : Ubu roi d’Alfred Jarry. Considérée comme précurseur du mouvement surréaliste et du théâtre de l'absurde, Jarry mêle dans cette farce provocation, absurde, satire, parodie et humour gras. Le théâtre du XXème siècle est très sombre et dénonce l’horreur des hommes, il y a principalement le théâtre de la guerre et le théâtre de l’absurde (Beckett et Ionesco).