Parodie

personnage a depuis longtemps acquis une existence autonome, dépassant le champ de la littérature. Son origine et l’usage qu’en fit Jarry ne sauraient d’ailleurs en aucun cas être réduits à la dimension littéraire, dont il est aussi la négation et la parodie. Venant de Saint-Brieuc, le jeune Alfred Jarry arriva au lycée de Rennes en octobre 1888, en classe de première; il y devint l’ami d’Henri Morin, l’un de ses condisciples, qui lui fit connaître un ensemble de textes dont le héros était M. Hébert

d’un carrosse en passant […] quand un autre à l’instant » (vers 48-49), « l’un mugit, l’autre jure » (vers 55). + L’augmentation numérique : Boileau aime donner des nombres qui ne renvoient généralement pas à une réalité effective. Ils valent comme parodie de l’épopée qui, elle, est fertile en armées et troupes populeuses. Au-delà du simple balancement, c’est « vingt fois » (vers 30) qui résume les tracas : « Mais si seul en mon lit je peste avec raison, C’est encor pis vingt fois en quittant la

Paludes cache des problématiques fondamentales sous son aspect satirique, voire cynique. Ainsi, délaissant Paludes pour l’œuvre littéraire en général, Gide compose une préface métapréfacielle, à la fois préface, préface déjouée, paragraphe critique, parodie d’article de littérateur, ébauche d’essai théorique. Une introduction métalittéraire à une œuvre qui n’existe (presque ?) que par sa dimension métalittéraire. [EXPOSE] (voir « Paludes » sur Wikipédia pour le reste de l’exposé) CONCLUSION

quoi le père Ubu et la mère Ubu sont-ils sympathiques/pas sympathiques Merci d'avance 27 mar 2010 à 19h18 par Anaïs :-) : TiTe GWeN, ton commentaire m'a bien aidé ! Merci :-) J'aimerai savoir si quelqu'un saurai en quoi cette pièce illustre une parodie extrème, un comique dur, sans finesse, excessif, et en quoi cette pièce évite la psychologie Merci a tous, et svp, répondez vite, c'est très urgent, c'est pour demain :) 15 mar 2010 à 21h22 par Red Knight : slt oui c de la merdre, mais j besoin

1)Rabelais (16ème) dans son livre Gargantiua utilise un ton humoristique voire satirique pour parler de religion (ce qui était dangereux à l'époque Ces deux journaux recherchent alors à dénoncer par la caricature, la parodie, et même la satire, soit les erreurs et les maladresses de certaines personnalités en accentuant l'aspect ridicule ou incohérent de leur action, soit les réalités du monde plus grave telles que les guerres ou les génocides. Ces registres sont alors des outils, et même des

trouver de conclusion, est ce que vous pouvez me trouvez une conclusion adapté a cette disseration. Merci d'avance... I) Les aspect comiques d'une pièce de théâtre servent à faire rire. a- b- c- => Ironie, humour noir, les différents rires, parodies, burlesques, comique de caractère, de gestes de mot, de situation, de mœurs (satire social), farce II) Les aspects comiques d'une pièce de théâtre ne servent pas qu'à faire rire. a- b-La fonction de la comédie pour Moliéreest donc certes de

raisonne à la manière de Pangloss. Pangloss fait de Candide un esprit naïf, étroit et crédule condamne surtout le dogmatisme (fanatisme philosophique) tout comme il condamne le fanatisme religieux (dans Candide ; Inquisition, Jésuites?). 3/ Parodie de certains genres littéraires : Rabelais :- titre : clin d'œil à Gargantua que l'on pense que VOLTAIRE a lu peu avant de commencer à écrire Candide. - RABELAIS utilisait des précisions chiffrées ("le moine de Seuilly tua 13622 soldats, sans compter

différentes formes de l’œuvre, Hugo fait une dénonciation du régime de Napoléon III, caricaturé sous le nom de Nabot-Léon. Le recueil est composé de sept livres portant le titre des discours prononcés par l'empereur. Ainsi l'auteur réalise une parodie des belles paroles dîtes par Napoléon. A travers les divers livres, Hugo donne libre cours à la haine qu'il éprouve. Grâce au synonymes et messages cachés de ses poèmes, celui-ci évoque tous ces points de vue, en évitant la très stricte censure imposée

mégalomanie : emploi de déterminants possessifs « MA » , « MES » + emploi de majuscule Opposition entre « moi »/ »je »/ « les nobles » = emploi du pluriel Avarice : enrichissement perso Tyran qui prend toutes les décisions « je » + se fait justice lui-même =parodie de cour de justice royale Nobles ne sont accusables de rien mais n’ont pas le temps de se défendre Ubu avait décidé de l’exécution collective dès le départ (l1) = procès expéditif Politique stupide car suppression de potentiels alliés + appauvrissement

communs à tous les hommes. • Pamphlet : écrit satirique d’actualité, bref, violent, le plus souvent signé, attaquant un homme ou une idée, mais à propos d’une question d’ordre général ; v. dénigrement, moquerie, philippique, brocard, libelle. • Parodie : imitation moqueuse. Quand elle est excessive, elle devient caricature. Travestissement plus ou moins bouffon d’une oeuvre d’art, pour mettre en valeur le ridicule qu’elle porte en germe ; v. pastiche, plagiat. • Pathétique : ce registre cherche