Partage Des Profits Marx Keynes Ricardo

Étienne MANTOUX (1913-1945) Économiste libéral (1937) “La «Théorie générale» de M. Keynes” Un document produit en version numérique par Serge D’Agostino, bénévole, professeur de sciences économiques et sociales Courriel : Sergedago@aol.com Dans le cadre de la collection : "Les classiques des sciences sociales" Site web : http ://www.uqac.ca/Classiques_des_sciences_sociales/ Une collection développée en collaboration avec la Bibliothèque Paul-Émile-Boulet de l'Université du Québec à Chicoutimi

l’allocation des ressources disponibles. (= partage) De ce fait elle est une science de la rareté. Toutefois cette rareté objective des ressources (capital, travail, nature) fait face a des besoins illimités de l’individu. C’est pourquoi l’économie s’interroge sur l’accumulation des richesses qui parfois est encouragée par l’Etat. Le point de départ est le besoin économique qui se définie comme un manque comblé par la consommation donc la production de B & S. Keynes différencie 2 catégories de besoins:

sorte qu'il y ait selon la formule Mercantiliste « abondance d'homme et de d'argent » (forte quantité de travail et forte production). Exige des taux de salaires faibles: faiblesse du cout du travail rend les produits plus compétitifs et permet des profits plus élevés. b. l'Etat doit prendre des mesures pour rendre excédentaire la balance extérieure → aider les exportations grâce aux subventions versées aux entreprises exportatrices et des privilèges envers certaines manufactures → limiter les importations:

et d’une première version acceptable du libéralisme économique. Partie III : Les Classiques (première moitié du XIX è jusqu’à 1840) Second semestre : Partie IV : Pensée économique de Karl Marx et pensées économiques socialistes. Partie V : Présentation synthétique des Néo-classiques. Partie VI : Keynes et les keynésiens, ainsi que les différentes formes de keynésianisme. Bibliographie : 1. Histoire des idées économiques tome 1 (1er semestre), tome 2 (2e semestre) Nathan, collection CIRCA

crée la première Banque Centrale. L'invention de la machine à vapeur par James WATT (1764) a marqué un tournant décisif car l'industrie ne dépendait plus désormais de la force de travail. Les gains de productivité c'est-à-dire l'augmentation du profit lié à l'augmentation de la production avec l'utilisation d'un même capital ont bien entendu été conséquents. En 1800, il y avait 500 machines à vapeur en Grande-Bretagne puis 15 000 en 1830 et ce, grâce à la mise dans le domaine public de l'invention

L’école classique ou l’avènement du capitalisme libéral ............................................. 10 1.2.3. Karl Marx et la pensée socialiste ................................................................................ 16 1.2.4. Les néoclassiques...................................................................................................... 18 1.2.5. John Maynard Keynes................................................................................................ 21 Conclusion du chapitre

productivité. 2. Comme le travail mesure la valeur des marchandises, il n’y a pas besoin de la monnaie pour cela. B- Une théorie de la valeur-travail non monétaire 1. Puisqu’il y a dissociation entre valeur d’usage et valeur d’échange pour Smith et Ricardo, la VE doit avoir un fondement objectif indépendant des caractéristiques de la marchandise et de l’usage qui est fait par l’utilisateur. 2. La monnaie est assimilée aux métaux précieux qui la composent. Or la valeur de ceux-ci varie [Smith, p. 101]

11L20066 Enseignant : M. ZOA Année académique 2011/2012 PLAN INTRODUCTION I. QUI EST JOHN MAYNARD KEYNES ? A. SA VIE B. SON ŒUVRE II. LES POSTULATS DE KEYNES A. LA ‘‘THEORIE GENERALE’’ DE KEYNES B. L’ECOLE KEYNESIENNE III. LES OPPOSITIONS AU KEYNESIANISME A. LES THEORIES MARXISTES B. FRIEDMAN VERSUS KEYNES CONCLUSION BIBLIOGRAPHIE INTRODUCTION L’histoire de la pensée économique permet de mettre en évidence

abondance à l’état de nature ; l’homme doit donc les produire. L’homme doit donc opérer des choix sur la nature des biens à produire et la quantité des biens à produire. L’économie est donc une science des choix en contexte de rareté. John Maynard KEYNES, en 1930, dans ses essais sur la monnaie et l’économie, évoque cette notion de besoins économiques illimités éprouvaient par les individus. Il explique qu’il existe deux catégories de besoins économiques : besoins absolus que l’individu ressent quelle

pour l’obtenir tout serait simple mais dans le prix il y a le profit du capital et la (rente financière ) les profits se règlent sur le capital employé et les rentes du sol ne sont pas une rémunération d’un travail les rapports entre les prix des marchandises et leurs coûts en travail seraient pour Adam Smith plutôt vérifiable dans l’époque précédente l’accumulation des capitaux et l’appropriation des sols cependant pour David Ricardo l’explication des marchandises par leurs contenus de travail