Partenaires sociaux

traité par des gens qui le font parfois un peu vite et avec une certaine naïveté sociale. Mais dans notre société il y a une place réservée aux « porte-paroles » qui mesurent mal à quel point ils rendent muets ceux qui sont directement concernés. La dénonciation sans l’action concrète rend impuissant. L’impossibilité où se trouvent beaucoup de travailleurs de pouvoir simplement « faire leur travail » empoisonne la vie sociale : activités ordinaires contrariées, travail « ravalé », initiative refoulée

l’individu R. Ballion s’interroge ici sur la modification de la place de l’élève dans le système scolaire. Il rappelle, qu’en France, l’éducation est non seulement une tâche politique mais aussi une tâche sociale. Dès lors, l’école serait une affaire d’individus mais elle reste malgré tout un lieu social où les règles soumettent l’élève à un système politique. La loi d’orientation de 1989 va bousculer cet ordre établi, l’élève devient acteur de sa formation. En organisant le système éducatif autour de

WEPIERRE Amandine DOSSIER PRATIQUE PROFESSIONNEL DEES 2012 DC1 : accompagnement social et éducatif spécialisé Le dossier pratique professionnel IRTS Nord Pas De Calais – Site Métropole Lilloise SOMMAIRE A. Introduction i. Mon parcours ii. Mon projet de formation iii. Mes choix de stages iv. Présentation de la structure B. Pratique professionnelle de l’ES i. Description des différentes activités de l’ES ii. Description

Chapitre 4 Participer à l’information sociale des membres du service Transversalité Ce chapitre permet à l’étudiant(e) de mieux connaître les différentes tâches dévolues à la direction des Ressources humaines et relatives à l’information sociale des salariés. Suivant le contexte, la taille de l’entreprise notamment, le rôle de l’assistant(e) sera plus ou moins complexe : de la simple diffusion d’informations à la préparation des réunions et des élections prévues par la réglementation

3 Les prémices de la loi 2002-2 Le secteur médico-social avant 1975 La loi de 1975 La loi 2002-2 rénovant l’action sociale et médico-sociale L’usager au cœur des dispositifs Les 7 outils prévus par la loi 2002-2 L’autoévaluation et l’évaluation externe L’autoévaluation L’évaluation externe P.4 P.6 P.11 Conclusion Bibliographie P.14 P.16 1 PREAMBULE La loi du 2 janvier 2002, rénovant l’action sociale et médico-sociale vient compléter les carences de la loi de 1975, qui n’intégrait

mobilisant le câdre d'analyse de l'économie politique. Elle opère une synthèse critique des travaux existants en tentânt d'articuler systématiquement deux histokes qui sont souvent déclinées sépatément, l'histoire économique et l'histoire politique et sociale, et mobilise des enquêtes statistiques de première main pour êclatet les componements des actews sociatrx. Le mysærc malg?che à I'aune des théodes de la cmissance et du développement économiques La traiectoue de l'économie malgache se

enfants et adolescents handicapés. L’objectif prioritaire est leur intégration en milieu scolaire ordinaire. Elle est innovatrice puisqu’elle définit des droits fondamentaux aux personnes handicapées : droit à l’éducation, au travail, à l’intégration sociale et donne des moyens financiers pour y accéder. Les personnes présentant un handicap doivent faire face parfois à des dépenses particulièrement lourdes (exemple : aménagement du logement, achat d’un fauteuil roulant …). Au regard de la loi

L’entrée en établissement, d’après l’INSEE[1], reste très marginale, elle ne concerne que 1 personne sur 10 parmi les 80 et 90 ans et 1 sur 3 au-delà de 90 ans. Le souhait de rester chez soi le plus longtemps possible a été encouragé par les politiques sociales avec le développement des aides à domicile. Parfois, la personne dépendante demande des soins et une attention très importante et ne peut donc plus rester chez elle ou en hébergement familial. Il reste donc la solution de l’hébergement collectif

gendérisation du budget, et d’autre part, à repérer les dynamiques et pratiques susceptibles d’entraver ou d’appuyer un processus d’intégration de l’approche genre dans le budget local. La deuxième partie : est consacrée à l’examen du contexte politique et social dans lequel s’inscrit cette initiative et à l’analyse du cadre juridique, institutionnel et opérationnel qui sous-tend le système budgétaire au niveau local. La troisième partie : examine la pertinence de l’analyse genre et des questions de genre

. . . . . . . . . . . . . . . . > L’emploi . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > L’accessibilité . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > La vie sociale et culturelle . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . > Les aides et prestations . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . a Les Maisons départementales des personnes handicapées (MDPH) . . .