Particularisme Culturel

CONTEXTE : Mondialisation, mobilité des populations, communication a l’échelle planétaire (apprentissage des langues étrangères), le concept de la diversité culturelle COMPRENDRE L’AUTRE : la connaissance des formes lexicales et grammaticales ne suffit pas. Comprendre le message de l’Autre dans sa diffusion et son interprétation culturelles. Réactions spontanées face à l’étranger Il ne suffit pas d’être en contact avec l’Autre pour développer une attitude ouverte et tolérante Réflexe de généralisation

▪ leur histoire personnelle ▪ leur interprétation du monde. La globalisation et ses défis ■ L’éducation artistique, sous la pression de la globalisation, pourrait tendre à : ■ Supprimer les particularismes ■ Imposer des modes uniques de penser, de sentir et de voir ■ Standardiser les comportements humains ■ Travailler contre toute forme de diversité ■ L’objectif de la globalisation semble d’aboutir

assimilation et communautarisme reste un enjeu à l'épreuve de la diversité. L'intégration de la diversité qui s'impose aujourd'hui est-elle une remise en cause de l'intégration républicaine française? L'exigence de la reconnaissance de la diversité culturelle et la nécessité d'intégration, des individus issus de l'immigration et des minorités, sont-elles alors conciliables pour former un modèle d'intégration viable? Il semble dans un premier temps que l'intégration républicaine s'essouffle. Cependant

de notre patrimoine culturel, et de l’équilibre à trouver entre sauvegarde et rénovation. La notion de patrimoine culturel, en ce qu’elle est très englobante, peut sembler posséder des contours très flous. Il faut en cela distinguer le patrimoine culturel tel que conçu au sens commun du terme, et le patrimoine culturel tel que conçu en termes juridiques, où la notion est bien plus restrictive. Au sens commun du terme, on peut se fonder sur une définition de l’héritage culturel européen donné par

caractérisent une société ou un groupe social. Elle englobe, outre les arts et les lettres, les modes de vie, les droits fondamentaux de l’être humain, les systèmes de valeurs, les traditions et les croyances. » Déclaration de Mexico sur les politiques culturelles (1982). La culture comprend donc de nombreux éléments. Il y a ceux qui se donnent à voir facilement et ceux qui nous échappent. ( Figure de l’iceberg) Les caractéristiques de la culture La culture est une spécificité de l’homme : l’homme

PERCEPTION INTERCULTURELLE • L’ethnocentrisme Il s’agit d’un concept ethno-anthropologique issu des travaux de Claude Lévi-Strauss. L’ethnocentrisme définit la tendance qu’a l’homme à mettre sa culture en position dominante. Les autres groupes culturels sont alors évalués par rapport à cette tendance. On parle aussi d’eurocentrisme, de francocentrisme et d’afrocentricité. • La perception sociale interculturelle • La perception sociale: « Ensemble des processus par lesquels nous nous donnons

qui résultent d’un contact continu et direct entre des groupes d’individus de culture différente et qui entraine des changements dans les modèles culturels initiaux de l’un ou des deux groupes ». R. Linton, R. Redfields, M. Herkovits, Mémorandum pour l’étude de l’acculturation, 1936. | L’acculturation est un phénomène dynamique ; des traits culturels de chacune des cultures vont être échangés. L’acculturation ne se produit jamais à sens unique. Il y a interprétation et entrecroisement des cultures

civilisation par leur originalité provient des différences géographiques, historiques et sociologiques, et de l’extrême diversité intellectuelle indépendante de la diversité biologique : les cultures sont bien plus nombreuses que les races et la diversité culturelle pose plus de problèmes (est-elle un avantage ou un inconvénient ?). Surtout, il faut rechercher l’origine de cette diversité pour éviter pour éviter la reformation de préjugés racistes. • Diversité des cultures Pour comprendre cette diversité

réalités universelles ? Pour la religion cette question revient à se demander si elle ne serait pas une idée purement occidentale, auquel cas il serait vain de vouloir l'étudier dans d'autres civilisations, ou bien si finalement, malgré les particularismes culturels qui rendent difficiles les communications et les passages d'une culture à l'autre il est légitime de parler de religion au singulier, comme de quelque chose d'universel. Les positions sont extrêmement divergentes sur cette question, pour

En premier lieu, la diversité culturelle est une nécessité pour les hommes et les cultures de se distinguer les unes des autres. Autrement dit les hommes comme tous les êtres vivants, sont soumis à la contrainte du besoin : pour se maintenir en vie, il leur faut se nourrir, se mettre à l’abri. Néanmoins la satisfaction de ces besoins, passe par la méditation de l’homme. L’homme a conscience de ses besoins et peut par conséquent différer leur satisfaction, et choisir les moyens de la satisfaire :