Particule α

Transferts quantiques d’énergie et dualité onde-particule Chapitre 15 Activités 1 Ondes ou particules ? Les physiciens n’y voient pas clair au début du XXe siècle (p. 376) 1 XVIIe XVIIIe siècle NEWTON Modèle particulaire et XIXe siècles YOUNG, FRESNEL, MAXWELL Modèle ondulatoire XXe siècle EINSTEIN, suite à l’expérience de HERTZ (notamment), LEWIS Modèle particulaire quantifié XXIe siècle DE BROGLIE Dualité onde-particule 2 a. L’effet photoélectrique s’explique par l’aspect particulaire

par champ électromagn. particules chargées minuscules ~ découverte des Électrons charge e =1,6 10-19 C; me ≈ 10-30 kg ↔ 1 kg ↔ ½ mS négative mH ≈ 1800 me • Modèles atomiques (vers 1900) : 1°) de Thomson : Lueur issue de C en métal  e - arrachés des atomes de ce métal… d’où idée que l’Atome ~ 1 « sac d’e entourés d’1 parois +ive » 2°) « planétaire » de Rutherford Exp. F métal lle Source α (1) + rayon α (noyau He) (1) : α non dévié ‘2p + 2n’ (3) : α dévié (2) : Rebond

trigonométrie utilise des fonctions mathématiques : Sinus Cosinus Tangente Cercle trigonométrique : Sin 1 a α 0 Cos b 1 a = sin α b = cos α Sinus : projection d’un angle sur l’axe vertical du cercle trigonométrique Cosinus : projection d’un angle sur l’axe horizontal du cercle trigonométrique Tangente : Dans un triangle rectangle : Côté opposé Hypoténuse α Côté adjacent (( Pour s’en souvenir : SOH CAH TOA : Sinus = côté Opposé/Hypoténuse, Cos = côté Adjacent/Hypoténuse

. . . . . . . . . . . e 8.4 Le rayonnement du corps noir . . . . . . . . . . . . 8.5 L’exp´rience de Stern–Gerlach . . . . . . . . . . . . e 8.6 Le moment angulaire en m´canique quantique . . . e 9 Le comportement quantique 9.1 Comportement des particules - les balles de fusil 9.2 Comportement des ondes - les ondes d’eau . . . . 9.3 Comportement des ´lectrons . . . . . . . . . . . . e 9.4 Les r`gles du comportement quantique . . . . . . e . . . . ` TABLE DES MATIERES 9.5 9.6 9.7 5 Le principe

et très vite confirmé par Marie Curie pour le radium.Certains noyaux atomiques instables sont la source de rayonnements, désignés par les trois premières lettres de l'alphabet grec : alpha (α), bêta (β) et gamma (γ). Ces rayonnements sont des particules émises par des noyaux avec une grande énergie. Les rayons α sont des noyaux légers d’hélium, les rayons β des électrons négatifs ou positifs et les rayons γ des photons de grande énergie. | Pour notre travail la radioactivité est artificiel, comme

tout à fait naturel.On distingue trois types de radioactivité d'origines différentes : les radioactivités alpha, beta et gamma. Ces rayonnements sont des particules émises par des noyaux avec une grande énergie. Les rayons α sont des noyaux légers d’hélium, les rayons β des électrons négatifs ou positifs et les rayons γ des photons (la particule qui transmet l'interaction électromagnétique) de grande énergie. La radioactivité naturelle est très importante mais assez mal connue. Un corps humain contient

nord-est-sud-ouest ? En déduire la durée T d’un tour complet de ce système d’axes tournants. Calculer T pour différentes latitudes : λ = 90° (pôles), λ = 43°35’ (Toulouse) et λ = 0° (équateur). II- Influence de l’accélération de Coriolis sur une particule en chute libre 1- Approche qualitative : Pourquoi la trajectoire de chute libre d'un point matériel n'est pas la verticale? Dans quel sens a lieu la déviation? 2- Approche quantitative : écrire les équations différentielles du mouvement, et les

et ses alliages 1.1Le titane non allié : A hautes températures, la structure cristalline du titane est cubique centrée (titane β) ; A 882°C , il subit une transformation allotropique : sa structure devient hexagonale compacte (titane α). Ce phénomène exerce une très grande influence sur les microstructures du titane et de ses alliages. Phase alpha |   | Phase beta | | <- 882°C -> | | isamenmaille hexagonale compacte |   | cubique centrée |

dm/dt=vitesse de disoolution =masse de Pa disoout /u de tps m=masse de PA dissout à l’instant t A=surf d’échange entre produit non dissout et milieu D=coefficient de diffusion du Pad s le milieu H=épaisseur de la couche de solvant entourant chaque particule de Pa V=volume du milieu de dissolution C=conc du PA à saturation conc max de PA qu’on peut dissoudre Cs conc du PA à saturation Sur cette équation ,on peut jouer sur A et sur (Cs-C) V très important Cs >>>C PA ayant Cs très élevée dm/dt très gde

1°) L’intégrale: 2°) Avec ϕ = est elle convergente? , étudier la convergence des 3 séries numériques: =ϕ , =ϕ − , =ϕ En cas de convergence, calculer la Somme. 3°)Discuter suivant les valeurs du réel α la convergence de la série numérique de terme général: = −α Exercice 2: (5 points) 1°) Intégrer l’équation différentielle (1): (x2-y2)y’=2xy. 2°) Le plan affine euclidien étant rapporté à un repère orthonormé, indiquer la nature géométrique des courbes intégrales de (1)