Pascal Force Et Justice

PHILOSujet : Revient-il à l’Etat de décider de ce qui est juste ? INTRO : Il n’est pas évident de définir ce qu’est la justice, ni de qui doit décider de ce qui est juste. L’idée de la justice semble évoquer pour certains la légalité, qui est établie par des lois autorisant et garantissant les droits des individus et permettant leur coexistence en société. Cette justice légale est assurée par l’Etat, une autorité politique, désignant un ensemble d’institutions, qui permet l’organisation, le règne

interprétations. Savoir si le criminel , celui qui transgresse la loi, est un homme ou un monstre ? Le criminel dépasse t-il la loi parce qu’elle est mal faite ? (injuste). Le PB qui consolide l’intérêt philo, savoir si la justice est morale en son fond ? s’il y a une justice absolue, naturelle à l’homme ? * Les lois sont réécrits, avortements qui était un crime devient légal + légitime. * Légitime défense : tuer en se défendant est autorisé Peine de mort : Exemple => Dissuader

« L’homme, seul de tous les animaux, possède la parole. » : Aristote « La parole a beaucoup plus de force pour persuader que l’écriture. » : Descartes « Les paroles seules comptent, le reste est bavardage. » : Ionesco 8) LA RELIGION "C’est l’homme qui fait la religion, ce n’est pas la religion qui fait l’homme." : Karl Marx “Impossible que Dieu soit, impossible que Dieu ne soit pas.” : Pascal "Toute religion est née de la peur et du besoin." : Nietzsche "Les religions sont comme des routes

l'évolution des mœurs ont permis de passer de la vengeance privé à une justice publique. De nos jours, nul ne peut se faire justice soi même, c'est l’État qui dispose du monopole de la contrainte et c'est donc à lui de rendre justice et d'appliquer les sanctions nécessaires en cas de viol de la règle de droit. B) La sanction du non-respect de la règle de droit L’État détient le pouvoir par l'intermédiaire de représentants de la justice de contraindre une personne à respecter la règle de droit. Afin

poussière livide ». Les souvenirs sont vains et momifiés (maisons et terrains ont été vendus; les principaux protagonistes sont morts); trousseau de Concetta a vieilli. Le déclin des forces physiques du prince Salina : de la vie à la mort. De la force et la fougue à la faiblesse et à la mort. A travers son cas personnel, on nous raconte le déclin de toute une famille et de toute une classe. La durée de la fiction : remarques. Durée une cinquantaine d’années : chapitre I : 12 mai 1860 (p 51)

condamnables. Argument1 : La contrainte de la justice est une violence qui n’est pas condamnée Exemple : La justice emprisonne les délinquants, les voleurs, les fauteurs de troubles, les pyromanes etc.… afin qu’ils puissent arrêter leurs actions et changer de comportement. L’emprisonnement de ces malfaiteurs est une violence envers eux. Cependant celle-ci n’est pas à condamnée. Argument2 : IV : INTRODUCTION « L’homme n’est ni ange ni bête » a écrit Blaise Pascal. Car l’homme a le gout de la tendresse

peuples concernés. • Surtout donner le plus tôt possible la parole, et les responsabilités, à ces derniers. C’est « l’intervention respectueuse » ou « l’intervention modeste ». L’Europe a plus agi par sa force d’attraction que par une politique active. • Entre la force et la loi, il y a la norme, la coutume, la délibération et la négociation. • Entre la dominance et la gouvernance, entre la monarchie universelle et l’égalité des Etats, entre la liberté d’action de ceux-ci

plus, Rousseau dans le chapitre 3 du livre 1 Du Contrat Social, nous précise que la force installe une obéissance qui est éphémère, car personne ne peut rester indéfiniment le plus fort : il nous montre que le rapprochement des termes de "droit" et de "force" n'est pas légitime. Il nous dit également que lorsqu'on obéit à la force, on le fait par nécessité et non pas par volonté. Ce qui nous explique donc que la force n'est pas la bonne manière de diriger, a fortiori l'individu ne devrait pas redouter

Sujets / La politique / La justice et le droit / Un début de problématisation ... Le droit se réfère à une norme morale ou à une norme sociale. C'est ce qui est permis, autorisé par la conscience ou par les règlements en vigueur, c'est ce qui est licite ; mais c'est aussi ce qui est exigible par ces mêmes instances. Le droit s'oppose ainsi au simple fait, au réel, comme le légitime à l'illégitime. Or, ce qui peut être, ou ce qui doit être légitimement, suppose précisément l'instauration d'un

comportements individuels compatibles entre eux, il apparaît que la finalité politique de l'État est bien la justice. Un Etat est donc juste s’il permet aux individus de vivre ensemble dans la plus grande harmonie possible. Quelles sont alors les critères qui permettent de définir si un Etat est juste, quelles en sont ses limites et pourrait-on se passer de l’état pour exercer la justice au sein d’un groupe d’individus ? I Quelles sont les critères qui permettent de définir qu’un Etat est juste